Le titre est bien choisi car Françoise Hardy a écrit là une autobiographie sincère et sans doute pas "politiquement correcte". C'est d'ailleurs ce qui m'a fait autant l'apprécier. Après "Le désespoir des singes" j'ai beaucoup aimé cette "suite" de la vie de l'auteur, émaillée de réflexions sur la vie et la spiritualité. Je la rencontrerais volontiers.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.