AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Le Passage des éphémères (20)

J'ai encore des lambeaux d'enfance... Ce sont des petits coins de sauvagerie dans un jardin bien cultivé, et je crois que j'y tiens.
Commenter  J’apprécie          50
Comme c'est étrange ! Comme cela m'est incompréhensible ! Il me paraît si naturel de toucher ceux que l'on aime, de caresser leurs cheveux, de baiser leur joue ! Clarisse ne peut pas, et c'est tout. Elle aime quand même.
Commenter  J’apprécie          30
Vous écrire, c'est-à-dire être en pensée auprès de vous, ne console pas de la distance, mais au moins je peux imaginer que vous m'ouvrez les bras.
Commenter  J’apprécie          30
Santé, argent, amour : ce sont les trois thèmes dont traitent les horoscopes, ce qui prouve qu'il n'y a rien d'autre.
Commenter  J’apprécie          21
L'humanité est longue, mais l'homme est si court ! Il doit se résigner à n'être qu'un maillon et aimer la chaîne dont il fait partie : quelle horreur !
Commenter  J’apprécie          20
Et puis, les Mortels me font tellement pitié ! Leur vie est si courte et leur ambition si grande que chacun aurait besoin de plusieurs siècles pour la réaliser.
Commenter  J’apprécie          20
-Ma foi, Madame, il n'y a pas grand peine. Je me suis toujours demandé pourquoi, hors l'amour qui fait tout endurer, une femme se donne la fatigue de mettre un homme dans son lit. Cela tient éveillée quand on a sommeil et s'endort quand on voudrait causer.
Commenter  J’apprécie          10
A peine sont-ils sortis de l'enfance que l'âge adulte les requiert, à dix-huit ans ils prennent les décisions qui engagent leur vie et meurent avant d'avoir accompli la moitié de leur rêve.
Commenter  J’apprécie          10
Le temps est une notion si étrange. J’avais quinze ans, je regardais une étoile et je me disais que les photons qui frappaient ma rétine l’avaient quittée des milliers d’années plus tôt : ils étaient mon présent et le lieu d’où ils venaient ne ressemblait en rien à ce qu’il était au moment du départ. En cet instant, d’autres s’élancent, qui arriveront dans cent mille ans : où est maintenant ? Et même : y a-t-il un maintenant dans l’univers ? Cette nuit le ciel sera clair, je pourrais m’asseoir devant un télescope et regarder : je verrais le passé pendant que, là-bas, une image s’envole à travers le cosmos et commence à voyager, voyager… L’éternité est partout. Mes quinze ans sont partis, ils traversent l’espace, peut-être quelque part quelqu’un a un télescope si puissant qu’il me regarde regarder sa planète. (p. 119-120)
Commenter  J’apprécie          10
on dit qu'un homme averti en vaut deux, je doute que quatre milliards -bientôt cinq paraît-il- en vaillent huit.
Commenter  J’apprécie          00






    Lecteurs (190) Voir plus



    Quiz Voir plus

    La littérature belge

    Quel roman Nicolas Ancion n'a-t-il pas écrit?

    Les ours n'ont pas de problèmes de parking
    Nous sommes tous des playmobiles
    Les Ménapiens dévalent la pente
    Quatrième étage

    15 questions
    63 lecteurs ont répondu
    Thèmes : roman , littérature belgeCréer un quiz sur ce livre

    {* *}