Je suis Pilgrim

A l'encontre de l'avis général, je ne trouve pas que ce roman soit le plus grand thriller sur l'espionnage jamais écrit et qu'il mérite autant de mise en avant.
Les critiques positives liées à ce livre me font le même effet que celles que l'on écrit pour le dernier mission impossible. Les surproductions américaines manquent trop souvent de subtilité.
Tout d'abord on se trouve en présence d'un thriller qui est (il faut bien le reconnaître), très détaillé. On rentre dans l'intimité de chaque personnage et principalement du protagoniste et narrateur de l'histoire à qui on nous dresse un portrait complet de sa vie, ses pensées, ses peurs, ce qui nous permet de nous familiariser et de l'apprécier dans son rôle. le récit nous conte un face à face entre deux hommes, d'un avec un gentil qui tente de trouver et d'éliminer le méchant. Et c'est à ce moment que mon intérêt pour le roman est retombé. On nous inflige des stéréotypes sur le monde musulman qui font suite aux attentats du 11 septembre, à faire grincer les dents.
L'auteur qui d'après sa bio a su aider à la réalisation de nombreux films d'espionnage, use dans son livre de toutes les techniques du gros bloc Buster Américains, qu'on nous inflige chaque années. Bon ou mauvais celui-ci repose sur les mêmes codes, ce que l'auteur utilise ici. Attention, je n'ai rien contre les films d'action et j'affectionne même de les regarder. Néanmoins, il faut arrêter ; Non le monde ne survit pas grâce aux américains, et Non on ne trouve pas que des gentils flics Américains qui ne commette aucunes bavures et qui sont bien sous tous rapports.
C'est le problème de ce roman, il nous dresse une image gentil/méchant, Américains/Musulmans trop caricaturale pour être vrai et nous pousse à nous demander les intentions de l'auteur.
Ce thriller est de mon point de vue, un livre assez banal, on ne rentre pas dans une histoire innovante. le récit suit son cour, sans retournement de situation et sans grande surprise SPOILER : Les Américains sauvent le monde !
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Conçu comme un page turner, ce roman se laisse lire de bout en bout, mais m'a gêné aux entournures. D'une part parce que la traduction est parfois approximative ( Turkey Scratch, équivalent de Trifouillis les Oies, traduit par "grattage turc" ouais... Certaines phrases laissent même à penser que l'auteur est souvent raciste, à tout le moins xénophobe, mais là encore je laisse planer le doute de la traduction. En tout cas les Albanais sont des bons à riens, les Turcs sont tous corrompus, les Saoudiens sont tous des sacs à m... Je cite l'auteur! donc parfois on a envie d'abandonner le livre car on a des doutes.
Enfin, si l'on admet l'invraisemblance des deux intrigues croisées (alors que chacune séparément tient la route) il est difficile de laisser passer les approximations géographiques alors qu'il eut suffit d'ouvrir une carte du Moyen-Orient pour les éviter. L'auteur nous annonce naïvement que son agent hollywoodien négocie les droits pour un film...

Il faut se méfier des premières de couvertures et avis toujours très appuyés. Certes c'est un premier roman mais je crois que l'auteur a voulu trop en faire ou trop bien faire.Le postulat du départ avec ce "livre révélation" d'un ancien du SA interne de la CIA est totalement invraisemblable. Mais c'est un roman donc on cherche à se faire prendre. le livre débute véritablement à mis parcours.
Franchement il aurait enlevé les 3/4 des détails inutiles et le roman aurait atteint 400 pages plus digestes.
Habitué de Grangé et Thilliez je n'ai vraiment pas mordu à ce premier roman mais vous l'aurez compris !

Un livre très moyen que je n'ai pas eu la patience de finir … Il y a beaucoup de longueurs, beaucoup trop de descriptions (et pas forcément intéressante pour le coup), un personnage principal que je trouve absolument imbuvable, beaucoup trop de flashback …
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Plus de neuf-cents pages dont la moitié auraient pu (dû) être supprimées. Car notre agent des services secrets américains ne se contente pas de nous relater sa mission pour sauver la planète d'un terroriste islamiste qui veut propager un virus mortel. Il se disperse en nous contant des souvenirs professionnels, et son histoire possède de nombreuses ramifications qui réapparaissent parfois après plusieurs centaines de pages. Pas simple alors de se rappeler qui est qui, à moins d'avoir tenu un répertoire des personnages!
Ceci dit, l'histoire en elle-même ne m' a pas emballé non plus. Je trouve qu'un bon thriller doit posséder un minimum de vraisemblance. Ici, tant l'itinéraire du "Sarrasin" (le terroriste) que les initiatives de notre héros (au sens propre: le héros américain dans toute sa caricature) sont abracadabrants du début à la fin. L'un et l'autre n'avaient aucune chance d'atteindre leur but respectif, mais à chaque étape, un petit miracle se produit...
J'ai toutefois eu la patience d'aller jusqu'au bout, ma curiosité désirant connaître la fin de l'histoire. mais à aucun moment je n'ai ressenti les "frissons garantis" promis par la quatrième page de couverture.

Que dire de ce livre ? Dans le veine d'un scénario de « James Bond »…. J'ai eu du mal à accrocher.
Sûrement qu'un roman d'espionnage… ne doit pas être mon style de prédilection. Je me doute qu'oeuvrer pour un roman doit être tout une aventure pleine de courage et de découragement – d'autant plus pour un premier roman. Mais j'ai eu du mal à accrocher.
Pourtant bien commencer, je me suis laissé entraîner dans un afflux de détail du personnage principal. Trop de détail souvent peu utile pour un roman – qui m'a fait perdre le fil. Puis vient le second personnage. intriguant. Donc, j'ai continué malgré tout… Troisième personnage. Trop de détails. Et à ma grande surprise vers la moitié du livre tout s'emboîte et je reprends avec plus d'enthousiasme la lecture jusqu'à la 632ème pages.

Trop de détails pour un roman était un risque de tuer le roman - mais qui ferait un très bon scénario pour une adaptation cinématographique selon moi. A voir !

Le début était prometteur. L'histoire est bien racontée, semble intéressante, et puis bam ... tout bascule.
L'auteur commence à parler du parcours professionnel de Pilgrim (enfin que je crois que c'est de lui dont il parle). Je me suis dit bon c'est normal qu'il parle du personnage, et puis je tourne les pages, et je tourne et je tourne à n'en plus finir... A aucun moment, on ne revient sur l'histoire du début.
Au bout de 200 pages j'ai laissé tomber.

L'histoire principale peine à démarrer et il manque très franchement d'actions notables ce qui est vraiment dommage sauf à la fin .
L'autre enquête qui s'annonçait passionnante se révèle par la suite décevante parce qu'elle était au point mort jusqu'à environ 50% de l'ouvrage. Cette investigation connait un rebondissement inattendu qui la relance mais au final sa résolution et les motivations du meurtrier sont sans intérêt. Je pense que l'auteur même s'il finit par relier les 2 affaires ensemble aurait pu ne pas inclure cette investigation qui n'apporte rien de plus au récit.
Lien : https://www.babelio.com/livr..

Par où commencer ? Je vais annoncer la couleur … c'est une déception ! Une grosse déception… J'attendais beaucoup de cette lecture.



Aucun moyen de rentrer dans le livre, à aucun moment dans les 900 pages, je me suis dit, « c'est parti ».



Pourtant, je n'ai vu que du positif avant de le commencer et c'est en grattant un peu, que je me rends compte que les avis sont bien mitigés.



Dans la partie 1, j'ai clairement du mal à rentrer dans l'histoire mais je me dis qu'on pose le récit, les circonstances.



En continuant le thriller, je ne suis pas captivée ni concentrée. Je n'ai pas envie de savoir ce qu'il va se passer mais je laisse une chance à ce thriller qui en fait, pour moi n'en est pas un.



Le quatrième de couverture parle d'un thriller d'espionnage exceptionnel. Pour moi, nous sommes uniquement dans un roman d'espionnage. Je ne ressens aucune excitation ni aucun suspense en lisant ce livre. C'est trop long et plat. La seule chose qui m'intéresse, c'est l'histoire de Ben, rescapé des attentats du 11 septembre. Malheureusement, ces passages sont minimes…



J'ai également l'impression que, pour arriver à 900 pages, il a fallu broder. C'était trop, beaucoup trop.



Vous l'aurez compris, chers lecteurs, je n'ai absolument pas apprécié cette lecture.
Lien : https://livresquement-djusti..

Alors que ce livre attirait mon regard depuis longtemps et malgré toutes les critiques positives, je n'arrive pas vraiment à me mettre dans l'histoire. Est-ce le contexte actuel ? La lecture décousue par manque de temps ? J'ai abandonné au bout de 120 pages mais je compte réessayer bientôt.