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3,89

sur 87 notes
Tsukimi a perdu sa mère lorsqu'elle était enfant.
C'est lors d'une visite d'un aquarium avec elle qu'elle a découvert les méduses et qu'elle a débordé un amour, une fascination absolument débordante pour ces créatures.
Maintenant qu'elle est adulte, elle n'est peut-être pas la jolie princesse dont sa mère rêvait, mais elle est toujours aussi fan des méduses, et elle vit à Tokyo, dans une demeure qu'elle partage avec des colocataires aux amours aussi hors norme que le sien !
Entre otaku, on se comprend, et tout ce beau (?) monde vit en parfaite harmonie autours de la "chef", dessinatrice de mangas yaoî, avec des règles très simples, comme la plus importante : pas de garçons !
Tout se passait merveilleusement bien jusqu'à ce qu'à cause d'un hasard malheureux, Tsukimi croise le chemin d'une jolie fashionista au franc-parler désarçonnant.
Cette jeune fille va s'incruster dans la vie de Tsukumi, et tout va être complètement bouleversé pour elle. Et peut-être bien pour toutes les personnes gravitant autour également ...

J'avais entendu parler de ce manga via mon amie qui avait vu la version animée et avait beaucoup aimé.
Du coup, j'étais assez impatiente de voir ce que la version papier pouvait donner, et j'étais heureuse de savoir qu'Akata allait bientôt nous sortir cette histoire.

Ce qui marque en premier lieu, c'est le sujet abordé.
En effet, c'est pas souvent qu'on a l'occasion de voir en héroïnes des filles otaku totalement ringardes
Bien qu'il semblerait qu'il y ai un petit effet de mode sur le fait de détruire l'image toute lisse des filles en général, comme avec Switch Girl ou School Girl, par exemple.
Ça fait du bien de voir des filles avec des VRAIS défauts, de véritables tue-l'amour parfois.
Dans ce manga, il y a aussi une dimension très touchante, de par son amour des méduses justement.
Quand elle en parle, on pourrait presque les aimer autant qu'elle, en se disant qu'il y a quelque chose de très noble dans cette passion.
C'est très attendrissant et joliment décrit.

Mais bien sûr, que serait un shojo sans histoire d'amûûûûr ?
Pourtant, c'est très mal partit pour Tsukimi !
Avec son look débraillé et ringard, et son comportement un peu suspect par moments, on peut pas dire que les hommes se bousculent au portillon.
L'arrivée dans sa vie d'une jeune fille hyper branché va changer le quotidien pépère de Tsukimi. Surtout quand celle-ci apprendra que cette jeune n'est pas vraiment ce qu'elle paraît être ...

C'est un manga très frais, vraiment très drôle et que j'ai trouvé super original.
Il y a beaucoup "d'action", ça part un peu dans tout les sens grâce à des personnages survoltés et hors du communs !
Et en même temps, l'histoire possède un côté très doux, et il laisse quand même la part belle aux émotions fortes et touchantes.
Pour un premier tome, on sent énormément de potentiel, et j'ai vraiment hâte de découvrir ce que cette série nous réserve !
Ne passez pas à côté de ce petit ovni plein de bonne humeur.

Le premier tome sortira dans nos librairies le 12 octobre 2011, nous pourrons lire le second volume le 30 novembre 2011 et le troisième, quant à lui, le 08 février 2012.
La série est en cours au Japon avec 8 tomes.
Lien : http://archessia.over-blog.c..
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Etant donné que la série est (enfin) terminée, je me suis lancée dans une relecture de ce manga afin de découvrir la suite et fin.
Et comme la première fois, j'ai adoré ce manga! Un josei qui vaut vraiment le détour et qui aborde des thèmes très variés. Ce premier tome est très touchant mais aussi très drôle. En effet, nous suivons le quotidien des jeunes femmes "nolife" habitant dans une résidence réservée aux jeune femmes qui ne réussissent pas à s'intégrer dans la société. Tout leur monde va se voir bousculé lorsque l'héroïne Tsukimi va rencontrer un jeune fashionista...
Un manga à lire, relire sans modération!
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Tsukimi Kurashita est une jeune fille faisant partie d'une collocation exclusivement réservée aux femmes mal dans leur peau, se surnommant les nones. Elle va être confrontée à Kuranosuke Koibuch, une fille qui a tout pour plaire mais qui en vrai est un homme !

Ce livre est touchant, drôle, triste, je l'ai vraiment apprécié, les personnages sont marrants, sympas. On se familiarise vite avec l'ambiance des colocatrices qui sont totalement cinglées. Je vous conseille vraiment ce livre. (Mélina)
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Tsukimi n'est pas ce que l'on pourrait appeler une jolie fille. Elle est banale et a une passion pour les méduses! Bref, elle a tout pour plaire non? Elle va aller vivre à Tokyo en colocation avec d'autres filles comme elle: des amar. Et dans cette pension bien sûr, pas question de parler de garçon ni même d'en faire venir! C'est un sujet interdit, tabou. Et voilà que Tsukimi se trouve une nouvelle "copine" qui n'est autre qu'un garçon habillé en fille: Kuronosuke! Il est une "Humana coquetta". Mais se cache derrière cette apparence un profond sentiment de solitude, d'incompréhension. Lui, fils de politicien qui s'ennuie dans ce monde qui n'est pas fait pour lui. Il va relooker Tsukimi, elle sera méconnaissable! D'ailleurs Shô, le frère de Kuronosuke va en être ébloui! Il faut voir dans ce manga au-delà de l'humour qu'il se dégage, il faut y trouver la peine et y voir la vie de toutes ces personnes qui ne sont pas conforme à la société. L'apparence fait beaucoup, mais qu'en est-il de ce que l'on trouve au fond de son coeur et de son âme? Ce manga n'est pas un gros coup de coeur comme j'ai pu avoir pour Switch Girl qui relate également les aventures d'une fille dont l'apparence font le succès mais il se laisse lire.
Lien : http://chezcookies.blogspot...
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Aaaaaah je découvre un peu plus en profondeur le monde des "Otaku" et c'est vraiment génial ! Un début de manga complètement hilarant ! Il me tarde de découvrir la suite :P
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De quoi ça parle ?
Tsukimi est une jeune otaku vivant en colocation avec d'autres filles comme elle (otaku, c'est une jeune femme réservée, ne se souciant pas de son apparence et dotée d'une passion aussi originale qu'envahissante). C'est donc à Tokyo qu'elle habite, passant son temps à dessiner des méduses, visiter l'aquarium de la ville ou flâner dans la boutique de poissons tropicaux. Un jour elle fait la connaissance par hasard de Kuranosuke, une jeune fille belle et fan de mode qui va passer la nuit dans leur résidence. Mais le lendemain matin Tsukimi découvre que c'est en fait un garçon travesti. Horrifiée, elle tente de vite le faire partir avant que ses colocataires ne le découvre, les hommes étant bannis de chez elles.

Mon avis :
C'est un manga comique, ou shôjo, que je vous propose de découvrir, ou pas ! C'est le second manga que je lis, le premier n'étant pas un shôjo, et encore une fois je reconnais que c'est un style particulier qui ne fait pas dans la demi-mesure, très extraverti.
Ici, c'est l'histoire d'une rencontre incongrue entre un bel homme fan de mode qui se travestit et une jeune femme réservée, fan de méduses et pour qui le seul fait de parler à un garçon paraît insurmontable. Deux opposés extrêmes donc, avec lesquels l'auteure va s'amuser et créer des situations cocasses et drôles.
Le style est donc simple voire enfantin, il y a des bulles dans tous les sens et on plonge vraiment dans le style manga surexcité.
Les personnages sont très caricaturaux mais je pense que c'est propre à ce style dans lequel je suis encore novice. Ils sont tous plus barrés les uns que les autres comme Mlle Banba à la coupe afro et fan de trains.
Pour ce qui est du dénouement de ce premier tome, pas de grandes surprises et c'est même très prévisible mais il incite à vouloir découvrir la suite.
Les illustrations sont sympas mais les personnages ne sont pas spécialement beaux à mon sens ils ressemblent plus à des cartoons.
Cela reste donc une lecture légère peut-être trop pour moi d'ailleurs. Je me demande même si finalement il n'est pas destiné à un public jeune. L'humour est bien là, j'ai décroché quelques sourires par ci par là, notamment grâce aux otakus et le contraste entre ces dernières et la jeunesse moderne, mais ce n'est pas un humour qui me botte plus que ça.
Fans de mangas peut-être que vous l'adorerez mais personnellement je me suis ennuyée et le côté caricatural m'a même agacée. Encore une fois c'est probablement le style qui ne me correspond pas mais je n'ai pas apprécié cette lecture. Cependant je n'abandonne pas et tenterai encore l'expérience manga mais dans un style différent du shôjo...
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Je partais avec quelques appréhensions sur ce manga et pensais lire un shojo bien cul-cul la praline. Mais cette histoire de méduses me déroutait et je voulais au moins voir ce que donnait le premier tome... Au final, c'est une belle surprise ! Alors qu'elle cherche à sauver une méduse d'une mort certaine, une jeune fille vient en aide à Tsukimi. Belle et très coquette, elle est à l'opposé de notre héroïne, qui ne cache pas son admiration pour cette gravure de mode. Cette nouvelle amie, qualifiée d'"humana coquetta", ne sera pas la bienvenue parmi le petit groupe de colocataires. Elle le sera encore moins quand elles découvriront son secret... Et si, en plus, elle décidait de relooker Tsukimi ?

Le personnage de Tsukimi, otaku au look d'intello qui ne jure que par les méduses, est attachant et drôle, sans être énervant ou ridicule, et sa rencontre avec la belle Kuranosuke donne lieu à bien des situations coquasses. Dur de ne pas trop en dévoiler sur le reste de l'histoire, plus complexe que l'on pourrait penser...

Un shojo aux personnages attachants et au scénario à la fois amusant et surprenant. Une série que je poursuivrais !
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L'histoire a un potentiel comique mais elle s'enlise dans des dialogues difficiles à saisir avec de nombreux astérisques. Ceux-ci sont, certes, nécessaires pour comprendre les références géographiques et culturelles propres au Japon mais la lecture devient fragmentée et les gags n'ont plus d'effet. Il est difficile de s'attacher aux personnages principaux même si le scénario essaie d'inclure des flash-back pour les rendre plus complexes et crédibles.
Princess Jellyfish reste finalement un shôjo à l'histoire conventionnelle. Derrière chaque fille moisie sommeille une princesse et c'est finalement dommage.
Lien : http://www.how-i-melt-your-b..
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Depuis la fin d'Otaku Girls, j'étais à la recherche d'un manga humoristique sur les fujoshis (littéralement filles moisies) l'équivalent féminin des Otakus. Voila chose faite avec Princess Jellyfish.
On suit les aventures de Tsukimi, mega fan de méduses, qui vit en colocation dans la pension Amamizu avec
5 autres otakettes, toutes aussi déjantées. Toutes vivent en autarcie dans leur résidence suivant des règles très strictes, mais leur tranquillité va être perturbée par l'arrivé d'une jeune fille qui représente tous ce que nos fujoshis détestent.
J'ai accroché tout de suite à ce manga, qui est très dynamique et drôle, mais sans être poussif. Les personnages sont à chaque fois bien décrit et on les apprécie rapidement malgré leurs fichus manies. le style de la mangaka est très beau bien qu'un peu particulier mais on s'y fait très vite.
Au niveau de l'édition, Delcourt nous a vraiment gaté. Les couvertures sont magnifiques, la qualité du papier très bonne, et des notes de bas de page et un lexique sont présent pour nous aider dans la compréhension des blagues et répliques des personnages.
En conclusion, Princess Jellyfish est très bon manga, qui m'a fait passer un bon moment. Je vais guetter avec impatience la sortie du tome 3. La série comporte pour l'instant 8 tomes au Japon et est encore en cours, j'espère que la mangaka va réussir à conserver la fraicheur et l'originalité des premiers tomes de la série.
Lien : http://over-books.blogspot.f..
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Quel plaisir d'enfin découvrir le premier manga de Akiko Higashimura !
Son dessin est toujours aussi beau et vraiment différent de ce qu'il se faisait dans le shojo à cette époque. Ce premier tome, annonce une série pleine d'humour comme à son habitude, et j'ai hâte de continuer à découvrir ses personnages.
Un vrai régal !
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