Quand reviendras-tu ?

Avant la lecture de ce roman, j'avais quelques appréhensions sur la qualité de l'intrigue. Mes appréhensions se sont confirmées sur les premiers chapitres car le style y est très léger et les dialogues sont parfois grotesques.

Néanmoins, ces mauvaises impressions, se sont vite envolées. J'ai lu ce roman avec beaucoup de plaisir. En effet, le suspens demeure tout au long des pages, si bien qu'on ne peut pas lâcher le livre avant de connaître le dénouement. le lecteur s'identifie facilement à Alexandra Moreland.

Dès le départ, le lecteur est averti qu'il s'agit d'une usurpation d'identité mais qui est le mystérieux chef d'orchestre et jusqu'où ira cette machination infernale ? Mary Higgins Clark réussi à semer le doute, c'est donc un bon thriller.

Autre remarque, ce roman sur l'usurpation d'identité est une commande de l'éditeur, Mary Higgins Clark le précise dans les dernières pages. Ce côté commercial du livre me déplaît beaucoup car l'idée ne vient pas de l'auteur mais de l'éditeur, c'est dommage.
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Cela faisait des années que je n'avais pas lu un livre de MHC ! J'ai décidé de relire ceux que j'avais, qui n'étaient plus très frais dans ma mémoire..

Un bon livre, loin d'être un coup de coeur, et d'être le meilleur si je me souviens bien.
J'ai apprécié retomber dans sa façon d'écrire. Ce qui a été un réel point positif pour moi étaient les nombreux chapitres présents. Présentant chacun un des personnages, un point de vue concernant l'intrigue.

L'intrigue quant a elle n'est a mon sens pas très présente. En effet, assez rapidement nous comprenons qu'il s'agit d'une usurpation d'identité et que finalement la question du "est-il vivant" est vite éclaircie.
Cependant, nos soupçons concernant le protagoniste a l'origine de l'intrigue perdurent au fil des pages, même si lorsque l'on le connait, on se dit que nos doutes étaient fondés.

En résumé, un livre non prise de tête et agréable a lire que je recommande entre deux lectures un peu plus poussées, un peu plus intriguantes.

Sans pour autant me donner envie de me mettre à la littérature à suspense, j'ai apprécié la lecture de Quand reviendras-tu ?, menée par une plume légère mais si énigmatique. Peut-être trop légère pour le genre ? Ce n'est pas le roman à suspense le plus surprenant, à mon avis, mais c'est une bonne entrée en matière pour les lecteurs qui sont un peu réticents par rapport à ce genre. Si un jour je me retrouve avec un polar entre les mains, je vais peut-être y réfléchir à deux fois avant de le mettre de côté maintenant.
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J'avais abandonné Mary Higgins Clark depuis plusieurs années puis, une inconditionnelle me l'a donné cet été. Je l'ai abordé avec l'appréhension que j'allais encore tomber sur le drame d'une jeune femme aux prises avec les manipulations d'un être machiavélique. J'imaginais que la fin heureuse me sortirait d'un suspens haletant.
Bonne pioche! les ingrédients classiques de notre chère Mary sont toujours là! Même si je m'en étais lassé, j'ai quand même éprouvé du plaisir à lire ce roman sans prétention (j'espère) car il m'a fait passer un moment de détente comme on retrouve une vieille photo jaunie au fond d'une boîte à chaussure dans le grenier.
En résumé ce fut sympa.

Je n'ai pas ni aimé ni détesté. Ce que je n'ai pas apprécié c'est la narration car on passe de la troisième à la première personne, et je n'apprécie pas ce style. Je préfère que ça soit l'un ou l'autre. En dehors de ça, l'histoire suit une suite logique. On sait que ça ne sera pas la personne soupçonnée depuis le début, même si parfois on peut avoir des doutes. L'intrigue n'est pas faite pour nous mettre des doutes sur la santé mentale de la jeune femme. Quant à révélation du kidnappeur, je n'ai pas été surprise non plus. Quelque part, j'ai trouvé ce livre assez fade. Je l'ai quand même terminé mais je n'ai pas eu l'impression d'avoir un rebondissement extraordinaire. Et je n'ai toujours pas compris pourquoi Glory avait donné son vrai nom à l'enfant…

Zan est une mère désespérée qui a vu sa famille volée en éclat après la disparition de son petit garçon Matthew. L'histoire se passe trois ans après le drame et l'enquête est en quelque sorte relancée quand une photo apparaît dans le journal : Zan aurait-elle kidnappé son propre fils ? le roman est en fait basé sur la recherche de la vérité, qui est l'auteur du crime ? C'est une histoire qui se lit vite, bien écrite mais sans grand frisson, certes j'ai soupçonné pas mal de monde sauf le principal intéressé d'où l'intérêt de la lecture, bien mené par Mary-Higgins Clark, j'ai passé un bon moment mais sans plus.

Zan se voit privée de son fils enlevé alors qu'il n'avait que 3 ans et sous la garde de sa baby sitter. 2 ans plus tard, des photos montre Zan ou quelqu'un lui ressemblant enlever son fils ce fameux jour. On reste dans le même genre que d'habitude, facile à lire, un peu cousu de fil blanc et tout fini bien mais je ne m'attendais pas à une surprise.

Alexandra Zan Moreland est une jeune architecte d'intérieur talentueuse. Après la disparition mystérieuse de son fils deux ans plus tôt elle s'est lancée dans le travail à corps perdu pour tenter d'oublier sa douleur. Mais voilà qu'elle est accusée d'avoir elle-même organisé l'enlèvement du petit Matthew. Tandis que la police la prend pour une menteuse et une comédienne de talent, ses amis les plus fidèles la croient victime d'un dédoublement de personnalité. Zan est bien la seule à penser qu'elle est la cible d'un complot. Elle est surtout persuadée que son fils est toujours vivant.

Assez rapidement en lisant ce livre on comprend que tout finira bien : le petit Matthew est en effet bien vivant. le suspense réside dans la découverte du coupable. J'ai arrêté de lire la série de Camilla Läckberg parce que je trouvais trop systématique -et déprimant- le fait que l'auteur de crimes atroces soit mis hors d'état de nuire deux secondes après avoir tué sa dernière victime. Ici le méchant est neutralisé deux secondes avant son premier meurtre. J'imagine que c'est cette alliance du suspense et de la happy end -Zan trouve aussi l'amour- qui a fait le succès de Mary Higgins Clark. Il y a aussi de nombreux personnages féminins. Quant à moi je l'ai lue sans déplaisir mais sans enthousiasme particulier non plus.
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