Il n’avait jamais oublié le vieil adage de la Seconde Guerre Mondiale : « La moitié des pilotes qui meurent ne sont pas abattus par l’ennemi ; ils périssent à cause d’un problème moteur ».
- Je sais que je me répète, gémit Billy, mais quel coin atroce. Je veux dire… Il pleut tout le temps, nom de Dieu.
- Nan, Billy, il pleut que six jours par semaine, répondit Dillon (…).