Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Newcastle upon Tyne , le 27/07/1929
Mort(e) à : Jersey , le 09/04/2022
Né(e) à : Newcastle upon Tyne , le 27/07/1929
Mort(e) à : Jersey , le 09/04/2022
Biographie :
Jack Higgins est le principal pseudonyme du romancier britannique Henry Patterson.
Il a aussi publié sous les pseudonymes Harry Patterson, Martin Fallon, Hugh Marlowe et James Graham.
Né de parents irlandais, il quitte l'école à quinze ans puis enchaîne divers métiers, avant de partir pour l'armée en République démocratique allemande entre 1947 et 1950. À son retour de l'armée, il décide de retourner étudier la sociologie à la London School of Economics tout en travaillant à côté comme chauffeur, garçon de ferme ou même aide dans un cirque (1950-1958). Il devient enseignant après avoir suivi les formations nécessaires à Leeds et commence à écrire des romans d'aventure.
Il obtient son premier contrat d'éditeur en 1958 et son premier roman, "L'Or des marais rouges" (Sad Wind from the Sea) paraît en 1959.
Ses premiers romans, mêlant aventure, espionnage et enquêtes policières, ne rencontrent pas à ses débuts le succès escompté. Il publia pourtant plus de trente-cinq récits entre 1959 et 1974 (parfois trois ou quatre par an) soit sous son vrai nom, soit sous divers pseudonymes. Il reçu tout de même un relatif succès à la fin des années 1960 et au début des années 1970 son style ayant évolué avec un réalisme plus poussé dans les décors de ses histoires.
Il finit par quitter son poste de professeur en 1970, c'est également à cette époque qu'il adopte son pseudonyme de Jack Higgins (qui était en réalité un de ses oncles irlandais). Depuis "L’Aigle s’est envolé" (The Eagle Has Landed), publié en 1975, tous ses romans sont des best-sellers internationaux.
En 1992, Higgins ré-oriente son œuvre. Alors qu'il avait jusqu'ici fait intervenir beaucoup de héros différents au fil de ses romans, il ne se concentre, à partir de "L'Œil du typhon" (Eye of the Storm), qui relate une tentative d'assassinat sur John Major, que sur un seul héros, Sean Dillon, ancien soldat irlandais, qui demeure jusqu'à aujourd'hui le héros récurrent des ses romans.
Jack Higgins est aussi expert en plongée sous-marine et tireur d’élite. Père de quatre enfants, il vit avec sa seconde épouse à Jersey.
+ Voir plusJack Higgins est le principal pseudonyme du romancier britannique Henry Patterson.
Il a aussi publié sous les pseudonymes Harry Patterson, Martin Fallon, Hugh Marlowe et James Graham.
Né de parents irlandais, il quitte l'école à quinze ans puis enchaîne divers métiers, avant de partir pour l'armée en République démocratique allemande entre 1947 et 1950. À son retour de l'armée, il décide de retourner étudier la sociologie à la London School of Economics tout en travaillant à côté comme chauffeur, garçon de ferme ou même aide dans un cirque (1950-1958). Il devient enseignant après avoir suivi les formations nécessaires à Leeds et commence à écrire des romans d'aventure.
Il obtient son premier contrat d'éditeur en 1958 et son premier roman, "L'Or des marais rouges" (Sad Wind from the Sea) paraît en 1959.
Ses premiers romans, mêlant aventure, espionnage et enquêtes policières, ne rencontrent pas à ses débuts le succès escompté. Il publia pourtant plus de trente-cinq récits entre 1959 et 1974 (parfois trois ou quatre par an) soit sous son vrai nom, soit sous divers pseudonymes. Il reçu tout de même un relatif succès à la fin des années 1960 et au début des années 1970 son style ayant évolué avec un réalisme plus poussé dans les décors de ses histoires.
Il finit par quitter son poste de professeur en 1970, c'est également à cette époque qu'il adopte son pseudonyme de Jack Higgins (qui était en réalité un de ses oncles irlandais). Depuis "L’Aigle s’est envolé" (The Eagle Has Landed), publié en 1975, tous ses romans sont des best-sellers internationaux.
En 1992, Higgins ré-oriente son œuvre. Alors qu'il avait jusqu'ici fait intervenir beaucoup de héros différents au fil de ses romans, il ne se concentre, à partir de "L'Œil du typhon" (Eye of the Storm), qui relate une tentative d'assassinat sur John Major, que sur un seul héros, Sean Dillon, ancien soldat irlandais, qui demeure jusqu'à aujourd'hui le héros récurrent des ses romans.
Jack Higgins est aussi expert en plongée sous-marine et tireur d’élite. Père de quatre enfants, il vit avec sa seconde épouse à Jersey.
Source : Wikipedia
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Luciano - Jack Higgins - LTL # 173
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Il n’avait jamais oublié le vieil adage de la Seconde Guerre Mondiale : « La moitié des pilotes qui meurent ne sont pas abattus par l’ennemi ; ils périssent à cause d’un problème moteur ».
Mon cher, tout est possible pour l'Union corse, sauf peut-être de faire élire son candidat à l'Elysée.
Quand le major Tony Villiers entra dans le mess des officiers des grenadiers de la Garde, à la caserne de Chelsea, il trouva la salle vide, mais pleine d'ombres. La seule lumière provenait des bougies qui clignotaient dans les candélabres de la longue table cirée. L'argenterie du mess reflétait les flammes.
Un unique couvert était mis pour le dîner, au bout de la table - ce qui le surprit - mais une bouteille de champagne attendait dans un seau à glace d'argent. Du Krug 1972, son préféré. Il s'arrêta, regarda la bouteille, puis la prit et dégagea le bouchon en tendant l'autre main vers les flûtes de cristal, sur la table. Il versa lentement, avec précaution. Il s'avança vers la cheminée et posa les yeux sur son reflet dans le miroir, au-dessus de l'âtre.
Un unique couvert était mis pour le dîner, au bout de la table - ce qui le surprit - mais une bouteille de champagne attendait dans un seau à glace d'argent. Du Krug 1972, son préféré. Il s'arrêta, regarda la bouteille, puis la prit et dégagea le bouchon en tendant l'autre main vers les flûtes de cristal, sur la table. Il versa lentement, avec précaution. Il s'avança vers la cheminée et posa les yeux sur son reflet dans le miroir, au-dessus de l'âtre.
- Je sais que je me répète, gémit Billy, mais quel coin atroce. Je veux dire… Il pleut tout le temps, nom de Dieu.
- Nan, Billy, il pleut que six jours par semaine, répondit Dillon (…).
- Nan, Billy, il pleut que six jours par semaine, répondit Dillon (…).
Il se mit à ramer vers la côte, qu'il distinguait confésument à travers le brouillard et la pluie. le rivage était loin, mais pas aussi loin que celui vers lequel kate Rashid était partie.
_ L'honneur est une vertu cardinale pour mon peuple. Les hommes y sacrifient leur vie. Selim va perdre la sienne, car il n'a pas d'honneur.
Au moment où la Land-Rover tourna à l'angle de la rue, Kelly passait devant l'église du Saint-Nom. Il se glissa vivement sous le porche, ouvrit la lourde porte et entra, puis maintint la porte entrebâillée pour surveiller le véhicule.
C'était une Land-Rover désossée, réduite à l'essentiel : rien ne dissimulait le conducteur et les deux gendarmes accroupis à l'arrière. Ils portaient l'uniforme gris sombre traditionnel de la gendarmerie d'Ulster, les pistolets mitrailleurs Sterling prêts à intervenir sans délai. Ils disparurent dans la rue étroite conduisant au centre de Drumore, et Kelly demeura encore un instant dans son refuge de pénombre, sensible à l'odeur familière.
"Encens, cierges et eau bénite, dit-il à mi-voix, et il tendit deux doigts vers la vasque de granit, à côté de la porte.
- Que puis-je pour vous, mon fils?"
La voix n'était guère qu'un murmure, et quand Kelly se retourna, un prêtre sortit de l'ombre, un vieillard en soutane élimée. Ses cheveux très blancs brillaient à la lueur des cierges. Il tenait un parapluie.
"Je m'abritais de la pluie, c'est tout mon père", lui répondit Kelly.
C'était une Land-Rover désossée, réduite à l'essentiel : rien ne dissimulait le conducteur et les deux gendarmes accroupis à l'arrière. Ils portaient l'uniforme gris sombre traditionnel de la gendarmerie d'Ulster, les pistolets mitrailleurs Sterling prêts à intervenir sans délai. Ils disparurent dans la rue étroite conduisant au centre de Drumore, et Kelly demeura encore un instant dans son refuge de pénombre, sensible à l'odeur familière.
"Encens, cierges et eau bénite, dit-il à mi-voix, et il tendit deux doigts vers la vasque de granit, à côté de la porte.
- Que puis-je pour vous, mon fils?"
La voix n'était guère qu'un murmure, et quand Kelly se retourna, un prêtre sortit de l'ombre, un vieillard en soutane élimée. Ses cheveux très blancs brillaient à la lueur des cierges. Il tenait un parapluie.
"Je m'abritais de la pluie, c'est tout mon père", lui répondit Kelly.
Le K.G.B. est le service de renseignements le plus vaste et le plus complexe du monde ; il contrôle totalement la vie de millions d’êtres humains en Union soviétique même et ses tentacules s’étendent sur tous les pays. Le cœur du service, son noyau le plus secret, est constitué par le Département 13 – la section responsable des meurtres, assassinats et sabotages dans les pays étrangers.
C'était un nom bien irlandais que celui de Daniel Quinn. Et typique de l'Ulster. Catholique de Belfast, son grand-père avait participé aux côtés de Michael Collins à la guerre d'indépendance de l'Irlande, puis, sa tête mise à prix, avait fui aux Etats-Unis en 1920.
J'ai connu toutes sortes d'hommes vous savez et, pas toujours des meilleurs
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