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2,54

sur 219 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je suis très surprise et étonnée que Maestra soit le premier bouquin paru aux Editions de la Bête Noire. La Bête s'est donc bien rattrapé depuis ce ratage, en tout cas c'est ainsi que je l'ai ressenti lors de ma lecture.

Ratage à tout point de vue l'héroïne très belle, très désirable qui a une très belle garde robe, d'ailleurs l'auteur a-t-elle été sponsorisée par lesdits marques? Il y a de quoi se poser la question.

Lorsqu'elle rejoint son ami pour travailler dans un bar elle plait bien sûr au gros dégoutant de service, dégoulinant de sueur etc....

Et puis sur un yacht elle va tomber sur la seule personne au monde qui ne veut pas coucher avec elle bref cliché sur cliché.

J'ai même trouvé des redites à deux moments dans ce livre donc quand l'auteur a un trou de mémoire elle remonte une centaine de page plus haut?

Un mélange des genres entre roman noir/érotisme/marché de l'art qui ne fonctionne pas du tout bref....

Comment a-t-on pu autant entendre parler de ce livre? Qui en plus se déclinera en plusieurs tomes?
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J'ai choisi ce roman parce que j'affectionne les thrillers et qu'une intrigue sur fond de corruption dans le monde fermé de l'Art était une bonne idée de départ. Une fois la dernière page tournée, voici ce que je retiens de ce roman : shopping intensif (où chaque article comporte plusieurs zéros) offert à des femmes vénales par des hommes richissimes, grosses liasses de billets de 500 euros minimum dans les vestes ou sacs à main, palaces, yachts, démonstration de richesse et débauche dans la luxure à outrance. J'ai vraiment eu du mal à entrer dans l'histoire, d'autant que je n'avais aucune empathie pour l'héroïne.

Le côté thriller se fait plus que désirer… 370 pages en totalité. 300 pages où l'histoire ne m'a pas vraiment captivée, trop lente, trop longue, trop d'énumérations de "soirées" réservées à quelques initiés, trop d'énumérations vestimentaires… le fait de porter des chaussures Louboutin, un foulard Hermès, un fourre-tout Chanel (vous trouvez l'énumération longue ? C'est vrai. Comme dans le roman alors…) ne rend pas l'histoire ou l'action plus intéressante. Et enfin les 70 dernières pages où finalement il se passe quelque chose d'intéressant. Cependant, je trouve l'écriture fluide et incisive et L.S. Hilton maitrise son sujet quand elle parle d'art (elle a étudié l'Histoire de l'Art et a été critique d'art).

Pour moi, il ne s'agit ni d'un thriller, ni d'un polar noir. Rien de choquant non plus que ce soit dans le mode opératoire des meurtres ou dans les scènes de sexe (elles sont crues, c'est tout). L'auteure a peut-être voulu surfer sur la vague de la littérature érotique, très en vogue depuis la sortie des "50 nuances de Grey" en y apportant un côté thriller pour attirer les amateurs de ce genre. Je n'ai pas été convaincue par le résultat. D'ailleurs, je ne comprends pas la comparaison qui est faite avec cette trilogie qui, elle, pour l'avoir lu, relate une histoire d'amour un peu guimauve. Alors qu'ici, pas de romantisme, c'est trash, l'héroïne aime le sexe sans tabous, l'argent, le luxe et, attirée par le pouvoir de l'argent facile, prend goût au meurtre pour arriver à ses fins.

C'est un roman qui se lit facilement, sans prise de tête. Je ne dirai pas qu'il est mauvais (pour preuve, d'autres ont aimé) mais je n'y ai pas trouvé ce que je recherche dans un thriller comme l'impatience de reprendre rapidement la lecture, des personnages accrocheurs, le suspense et l'angoisse qui nous maintiennent en haleine par exemple. C'est le premier volet d'une trilogie. Mais une suite est-elle nécessaire, si ce n'est que commercial ? Au risque de se répéter, quelles autres démesures l'auteure inventera-t-elle ? Pour ma part, je ne sais pas si je lirai le suivant.

Je termine ma critique en y incluant celle de mon mari qui a lu ce roman avant moi et reconnait qu'il ne l'aurait pas choisi de lui-même (il aime les romans historiques et n'est pas attiré par les policiers et les thrillers). Mais étant en vacances à l'étranger et n'ayant sous la main que les quatre romans que j'avais apportés, il a choisi celui-ci et à ma grande surprise l'a vraiment apprécié. Il attend de lire la suite qui devrait paraître en janvier 2017.
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La curiosité est un vilain défaut et à nouveau je me suis faite avoir (bang le ton est donné).

Maestra ... Maestra ... Présenté comme le thriller le plus original ect ect ect .... Et bien mes amis je déchante je déchante.

Pour résumer la situation ? Et si Anastasia Steel avait été un minimum culturée ? Parce que oui voilà l'attrait principal du roman: tenter de rendre l'héroïne un peu moins cruche (ce qui ceci dit entre nous n'était pas bien dur) que celle d'une autre trilogie à succès (que j'ai détestée elle aussi). Prenons donc une experte dans le domaine de l'art, imaginons là en tailleur talons aiguilles (ça c est pour émoustiller), trouvons lui une vieille copine sortie de nulle part, un soutif en dentelle et un reluquage plus tard là voilà employée dans un endroit douteux où tous les fantasmes sont permis.
La bonne nouvelle? Pas de déesse intérieure, pas de mordillage de lèvre, pas de tic chiant bref on nous a au moins épargné ça.

C'est pas tout ça mais avançons ...

Une intrigue sur base de corruption et de faussaires (avouez c'est quand même un peu plus classe que l'autre qui parle à sa queue), pimentée par des scènes hot aux répliques cultes (et ce dès les premières pages ( "Alors c'est comme ça que ça fonctionne?" - "oui c'est comme ça" nous voilà prévenus tiens), de quoi être tenu en haleine s'ennuyer sur quelques pages.

Vraiment je vais être bien vilaine (le mot vilaine était drôle non vu le sujet ?), ce bouquin tente pour moi de surfer sur la vague de succès des romans érotiques en ajoutant le versant thriller pour rameuter plus de populasse. Et à mes yeux ça na pas pris. Purement commercial et c'est bien dommage.

Mais ... Mais pas de panique parce que malgré que je sois un être chiant / râleur / méprisant (je m'auto flagelle pas besoin de balancer des tomates je l'ai fait toute seule), je sais que ça se lit facilement, sans prise de tête, au bord d'une piscine l'été, et que ce bouquin sera sans aucun doute le summer thriller de beaucoup de lecteurs (et en plus deux autres vont suivre que demande le peuple ?).

A vous de vous faire votre opinion!

Merci à Netgalley et à la Bête noire pour la découverte.
Lien : http://desmotssurdespages.ov..
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J'ai voulu laisser une chance à ce roman malgré ses handicaps de départ. Citer la Fille du Train et 50 shades comme influences ne sont pas, pour moi en tout cas, des lettres de noblesse.
Bref, l'éditeur nous annonce un thriller noir et érotique ... Je les attends encore.
Il n'y a pas de thriller à proprement parler et en guise de scènes érotiques on a plutôt droit à du porno amateur vulgaire.
Je préfère masquer la suite, au cas où certains seraient intéressés par le livre, ce dont vous avez parfaitement le droit :)

Pour être honnête ce bouquin vaut à peine un 5/20 ... et encore c'est uniquement pour soutenir la traductrice.
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Qui aime faire du Shopping ?
Qui aime les fringues griffées ?
Qui aime la grosse vie salle ?
Qui aime les vacances 360 jours par année ?

He bien pas moi !
Je me suis fait rouler dans la farine.
Berné par la publicité du second tome, qui m'a fait acheter le premier et le 2e.

Des description à en plus finir sur les marques de vêtements, de souliers, des boutiques, des coupes de cheveux, du maquillage, ...

Ne jamais mettre un livre "chick list" dans la section des Policiers Thriller.

Un petit personnage qui deviendrait, du jour au lendemain, capable de réaliser plusieurs "meurtres parfaits", prémédités en moins de 24 heures.

Pourquoi 1 seule étoile ?
C'est déjà trop.

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Il y a des livres comme ça où j'ai l'étrange impression d'être passée à côté ou ne pas avoir saisi l'auteur. C'est le cas avec Maestra qui pourtant, m'avait l'air prometteur. Surfant sur la vague de l'érotisme, ce roman aux allures de polar érotique ravivait la flamme d'espoir en moi après en avoir décousu avec Cinquante nuances de Grey et compagnie...mais non. Ayant en mémoire les films des années 90 comme "Basic Instinct" ma déception fut grande. Tout d'abord par l'histoire: une jeune femme qui travaille dans le monde de l'art à Londres n'est attirée que par luxe et volupté. On apprend assez vite qu'elle s'invente une vie loin de sa petite bourgade natale afin de percer dans la mégalopole où les opportunités sont démultipliées. Mais évidemment sa déception est grande puisque grande ville veut dire individualisme et requins, surtout dans le milieu fermé de l'art où le champagne et l'hypocrisie coulent à flot. S'ensuit une rencontre avec une vieille "amie-ennemie" du lycée qui l'initiera aux joies des extras dans un club à champagne, où le rôle de "dame de compagnie" pour monsieur en mal d'amour lui renflouera son portefeuille, afin de pouvoir évidemment s'acheter de beaux vêtements. Jusqu'au jour où, par un weekend luxueux dans un hôtel de la côte d'azur, son "bienfaiteur" meurt accidentellement d'un mélange de barbituriques. Et là je me dit, chouette, enfin de l'action, de l'intrigue! Mais non....fuite en Italie sous couvert de vacances avec pour objectifs de se trouver un beau pigeon qui pourra lui offrir une vie agréable faite de shopping et de bonne bouffe. Comme si l'intérêt principal de toute femme est de se trouver un homme riche, beau si possible, doté d'un patrimoine et d'un patronyme digne de ce nom contre quelques acrobaties sexuels!
Pour être totalement objective, peu après, une intrigue prend vie suite à un meurtre commis sous fond de vol de tableau, mais l'ambiance tourne au vinaigre. L'image de la femme vénale sous fond de tension sexuelle afin de décharger ses émotions est d'un cliché que je n'ai que moyennement apprécié! Toutefois, le seul aspect que j'ai apprécié à mesure que ma lecture avançais est le mystère de ce personnage qui finalement reste inaccessible. On pense avoir cerné le personnage dès le début mais une nouvelle facette de son caractère se révèle un peu plus à chaque meurtre jusqu'à se perdre dans sa personnalité. Donc je suis partagée entre dégoût de l'image de la femme qui est véhiculée mais à la fois intriguée par ce personnage qui me révulse. Attirance/répulsion ça vous parle? Voilà qui ressemblerais à du mauvais thé tiède mais où vous trouvez, ô joie! de vieux gâteaux ...rassis trouvés au fond du sac.
Lien : http://bookncook.over-blog.c..
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Un seul suspense : est-il possible de lire ça jusqu'au bout ?

Sinon ? Sexe, fric et meurtres.
Lien : http://noid.ch/maestra/
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Un roman sans vraiment grand intérêt …. Une écriture pas des plus gracieuse … Des personnages, même l'héroïne, pas du tout attachants ! Bien au contraire, tous aussi antipathiques les uns que les autres ! Une histoire inintéressante … On n'est jamais vraiment dans le thriller ni dans le roman érotique … Bref, on sait pas ce qu'on fou là !! On a juste envie de se barrer !! … J'ai tenu, comme d »habitude, par optimisme, pensant avoir une fin qui dépote : Que nenni … Une fin aussi insignifiante et barbante que le reste … Vittttte on passe à autre chose !!
Lien : http://www.ilestbiencelivre...
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Judith est assistante auprès d'un grand groupe qui gère des ventes aux enchères d'oeuvres d'art. Désabusée par ce milieu où elle pensait avoir plus de considérations, elle se met à travailler en parallèle dans un bar de nuit où elle joue les hôtesses sexy auprès d'hommes volages, jusqu'au jour où elle découvre une escroquerie à l'hôtel des ventes, et qu'elle se retrouve virée avant d'avoir pu creuser cette affaire. Judith décide donc de fuir avec un de ses clients du bar, direction la France...

Le sexe, ça fait vendre, que ce soit bon ou mauvais, ça on l'a bien compris avec Fifty Shades. du coup, quand Maestra a débarqué dans nos contrées, la presse généraliste n'a pas hésité, que dis-je, s'est empressée de faire le lien avec la saga de E.L. James, alors que ces livres n'ont rien en commun ( C'est à se demander si ces journalistes lisent vraiment les livres... Ou juste les communiqués de presse). Mais est-ce que Maestra est bon ? J'en ressort sacrément mitigée...

Ce roman est un thriller érotique, et je ne suis pas convaincue par ce mélange, l'auteure n'ayant pas su doser correctement les deux genres. D'un côté, on a le thriller qui ne m'a pas convaincue. Maestra porte cette étiquette pour ses trois-quatre meurtres et sa pseudo-enquête de fin un poil tirée par les cheveux. Concernant le côté érotique, ce n'est pas ça non plus. Alors oui, la notion de consentement est respectée ici, Judith assume et vit pleinement sa sexualité, mais c'est tout. Ce n'est pas émoustillant, rien. On reste dans une surenchère entre les meurtres et les scènes de sexe, l'auteure n'ayant pas su s'arrêter à temps. Toujours ce problème de dosage. Rajoutons à ça des personnages pas attachants, malgré le passé larmoyant qu'on essaye de leur coller...

Mais cela reste fluide, L.S. Hilton a du vocabulaire et on ne tombe pas dans une répétition agaçante. Il y a une bonne documentation sur le marché des oeuvres d'art et tout ce qui entoure ce domaine, et c'est bien le seul point positif de Maestra. Il paraît qu'une suite serait prévue, mais que raconter de plus, si ce n'est que de continuer à surenchérir sur les deux tableaux ? Sexe, meurtres, et alors ? Quoi d'autre ? Car c'est comme cela que nous est présentée la fin. Il paraît même qu'un film verra le jour, mais alors là, ne comptez pas sur moi, de même si la fameuse suite est publiée un jour.

En bref, Maestra est un thriller érotique absolument pas convainquant, qui reste dans la surenchère du début à la fin. Les personnages ne sont pas attachants, le seul côté que j'ai apprécié, c'est quand Judith remettait le pied à l'étrier et se remettait dans le marché des oeuvres d'art. Mais comme cela ne dure pas longtemps au profit de plus de meurtres et de sexe...
Lien : http://onceuponatime.ek.la/m..
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A moitié polar, à moitié thriller et à moitié roman érotique. Tout est dit : il n'est rien de tout ça.

Manant lecteur, passe ton chemin – ce n'est qu'un attrape-nigaud, qui ne mérite pas ma critique...
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