"Quand j'ai franchi le portail du cimetière... l'odeur de son sang m'a assailli tel un déluge."
Yûki: Tu nous as suivis? Approche! Hi hi! ♥ Tu es si choupi! Je vais t'acheter un joli collier! ♥
Aidô (horrifié): Un collier...? Mais ce loup... c'est... c'est...!!!
Yûki: Depuis que tu as grandi, mon frère... j'ai l'impression de que tu me caches toujours ton cœur...
J'ai endormi... les souvenirs qui me gênaient.
Cette si triste séparation qui ne laisse derrière elle qu'un remords éternel et ce sentiment profond que quoi qu'il arrive, je ne serai plus jamais seul.
Plus de la moitié de mes frères... pense qu'il faut tous les transformer pour en faire des nôtres. Non... Plutôt que des nôtres... Je devrais dire des serviteurs obéissants.
Tu te trompes... Yûki.... JE NE SUIS PAS TON FRÈRE.
Vers où te tourne-tu pour me parler ? Tu sais pourtant que je ne suis pas ici... Quel idiot tu fais, Zero... JE SUIS... à l'intérieur de toi, Zero.
Contradiction et désespoir. Voilà ce que tu es... ce que tu seras pour l'éternité.
Tu crois qu'en refusant d'aimer qui que ce soit tu n'auras à faire usage de tes crocs contre personne et que tu pourras tromper le démon de la soif... ? C'est idiot, ça ne fonctionnera pas éternellement...