Claaassique malgré que l'héroïne soit une jeune fille ronde pour casser le mythe de LA bombe sortant avec LE prince charmant ! Tsumugi est toute mignonne, toute "moelleuse" et ne s'attend pas forcément qu'un jeune homme s'intéresse à elle. Ainsi, quand Yukiya s'accroche à elle, elle va finir par être touchée par ce jeune homme.. touchée dans tous les sens du terme ... Ça se veut drôle comme comique de répétition mais la redondance en fait trop et rend Yukiya peu crédible. le manga perd en profondeur. A l'occasion, je poursuivrai.
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J'ai voulu lire ce manga pour son originalité, c'est à dire son héroïne qui est ronde. Voir comment l'auteur aller traiter ce sujet.
L'héroïne est touchante, elle dit des vérités et essaie de rester positive dans l'adversité. Elle essaie d'affronter le regard des autres et de s'aimer. Elle est un peu naïve, en amour mais ce n'est pas grave et c'est normal.
Tagami est bizarre et il me dérange un peu au début parce qu'il passe vraiment pour un pervers. Hors, ce n'est pas parce qu'on aime les rondes/ronds, qu'on est pervers... L'auteur aurait pu faire mieux avec ce personnage masculin. Mais il est intelligent, gentil et attentionné donc ça compense. J'ai apprécié ce premier tome.
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Une lecture sans plus.
Avec ce genre d'histoire, il y a toujours un risque de mise en avant de fétichisme un peu bizarre, et même si l'auteur essaie d'insister sur les sentiments des personnages, cela reste un peu tordu par moments.
Les personnages sont attachants cependant, et leur relation, bien que crée pour de mauvais motifs, est mignonne dans l'ensemble. J'aime aussi le fait que cela n'évolue pas lentement comme dans la plupart des shojo. C'est juste dommage que Yûki soit écrit comme un accro des trucs moelleux, ce "délire" aurait dû être minimisé car j'ai sans cesse l'impression que la manière dont il aime l'héroïne n'est pas vraiment saine. Cela gâche la lecture je trouve, et je ne suis pas sûre d'avoir envie de lire 8 tomes autour de ça.
Sansplus/20.
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Voici un shôjô, je l'ai pris au hasard à la médiathèque.
Tsumugi est une jeune femme ronde et souriante. Yukiya Tagami est un élève de seconde très beau, mais bizarre. La première originalité est que Tsumugi Motohashi est légèrement plus âgée que son soupirant. Sinon ce manga suit un schéma assez classique.
Tagami est étrange. Il aime malaxer les choses rondes et moelleuses, dont Tsumugi. Je trouve ce personnage assez dérangé, surtout quand il explique l'origine de son amour des rondes et sa fascination pour toucher Tsumugi en public. Il a beaucoup de mal à se retenir, ce qui rappelle qu'il est un adolescent.
J'ai apprécié voir le cheminement qui permet à la jeune fille d'être elle-même et de s'accepter. Ce manga montre aussi qu'il s'agit d'un travail de tous les jours.
Les dessins rendent mieux en noir et blanc. Les personnages ne sont pas beaucoup tramés, par contre les décors le sont un peu trop.
La série est assez courte, je vais donc tenter de la lire en entière si cela m'est possible. Ainsi je verrais si les personnages et l'environnement s'étoffent.
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Motohashi est une lycéenne très appréciée pour sa joie de vivre communicative. Seule ombre au tableau : ses rondeurs, mais elle tâche de ne pas s'en apitoyer. Un jour, Tagami, un beau gosse taille mannequin vient lui faire la cour. D'abord décontenancée, Motohashi va apprendre à le connaître et à l'apprécier. Car le jeune homme, contre toute attente, aime les filles rondes qui s'assument, et il aime le toucher moelleux d'un bras boudiné ou d'un ventre rebondi.
Un shojo sympathique bien qu'assez inégal au niveau des planches : on a parfois trop de texte entre les dialogues entre les personnages, les monologues et autres petites remarques imbriquées dans les cases. C'est gentillet et plein de bienveillance : à l'horizon, pas de peste ni de petit con qui vient se mêler de cette histoire d'amour atypique.
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