AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,07

sur 342 notes
Quand Lena Eriksson appelle la police de Västerås parce que son fils Roger n'est pas rentré, elle ne semble pas très inquiète. L'adolescent a très bien pu avoir envie de faire une virée à Stockholm pour le week-end. Pensant à une fugue, les policiers ne s'inquiètent pas non plus outre mesure et ne commencent à enquêter que le lundi à midi. Pour découvrir son corps, lacéré de coups de couteau au fond d'une mare. Consciente d'être dépassée par une affaire mal engagée, Kerstin Hanser, chef de brigade, décide d'appeler la crim' de Stockholm à la rescousse. C'est ainsi que Torkel Höglund débarque à Västerås avec son équipe : l'enquêtrice Vanja Lithner, la scientifique Ursula Andersson et l'informaticien Billy Rosén. Ils sont bientôt rejoints par le profileur Sebastian Bergman, de passage dans la ville pour vendre la maison familiale après le décès de sa mère. Coureur de jupons arrogant et cynique, le psychologue ne fait pas l'unanimité dans l'équipe mais il a des raisons personnelles de se mêler à l'enquête et a su jouer de son amitié avec Torkel pour y participer. Ensemble, ils se lancent sur les traces de l'assassin de Roger, adolescent sans histoires, élève dans un lycée huppé de la ville.

Quand on croit avoir fait le tour des polars nordiques, il nous arrive ce petit bijou signé à quatre mains par Michael Hjorth et Hans Rosenfeldt ! Nous sommes à Västerås, petite ville suédoise assez tranquille pour avoir une police un peu défaillante. Ici comme ailleurs les flics jonglent avec des horaires de travail décalés et des vies privées compliquées. de là à négliger la disparition d'un adolescent, il n'y a qu'un pas qui est franchi par un policier frustré de ne pas avoir été nommé chef de brigade et vidé par une épouse qui veut à tout prix tomber enceinte. C'est donc alors que l'enquête est très mal partie qu'intervient la brigade criminelle de Stockholm, des hommes et des femmes unis et solidaires, des professionnels aux personnalités tranchées qui ont crée entre eux un équilibre des forces leur permettant de briller chacun dans leur domaine sans se marcher les uns sur les autres. Une belle équipe d'experts donc, qui est un peu mise à mal par le psychologue qui se joint à eux. L'homme est un goujat qui ne se soucie ni de tact ni de sentiments. Il se sait le meilleur et ne se prive pas de le dire. Ce personnage phare du roman est détestable a priori mais ses analyses pertinentes et le drame qu'il a vécu font de lui un caractère ambigu dont on accepte les défauts les plus flagrants comme son comportement odieux envers les femmes.
La force de Dark secrets c'est justement cette galerie de personnages forts sans jamais être caricaturaux alliés à une enquête intense qui s'égare de fausses pistes en rebondissements, mâtinée de réflexion sur l'amour, la famille, le couple et qui tient en haleine jusqu'à la toute fin,
Une belle réussite qui n'est que le premier tome d'une trilogie qu'on espère de la même qualité. A lire !
Commenter  J’apprécie          450
C'est un peu bizarre de rentrer aussi facilement dans une histoire alors qu'un des personnage principaux est antipathique au plus haut point.
Sebastian Bergman, psychologue de son état n'a aucun tact avec les victimes, il est arrogant, ne respecte personne, et a des relations avec les femmes qui laissent vraiment à désirer.
L'enquête policière concerne un adolescent de 16 ans retrouvé mort dans une petite ville suédoise, alors qu'il semblait sans histoire.
Mais justement, dans cette affaire, rien n'est aussi simple qu'il n'y paraît, chacun cache des choses et les secrets vont émerger les uns après les autres.
J'ai été littéralement harponnée par cette enquête que j'ai trouvé palpitante en dépit de Sebastian Bergman, personnage hors norme.
Ce volume est le premier d'une trilogie et je vais lire la suite avec plaisir.
Commenter  J’apprécie          390
Un excellent polar, un pavé de qualité pour les amateurs d'intrigues policières.

Attirée par les critiques sur Babelio de Cicou45 et Nameless, j'étais quand même sceptique au vu du quatrième de couverture qui parlait d'une série télévisée. Mais finalement, j'ai vraiment été conquise par une bonne intrigue fort complexe et bien menée.

Point de départ du suspense, c'est l'horreur ! le cadavre d'un garçon est trouvé dans un étang, mais il ne s'agit pas d'une noyade, car le corps est criblé de coups de couteau et on l'aurait même éventré et une partie du coeur a été prélevée.

On suit d'abord la piste du psychopathe sadique, mais heureusement l'éruption sanglante semble s'arrêter. le champ des investigations s'intéresse plutôt à l'entourage de la victime, son isolement social, le harcèlement vécu à l'école, la pauvreté et l'ambiance familiale difficile.

Le thème de la famille et du couple, on le retrouve aussi dans les tensions dans les vies des différents enquêteurs qu'on apprend peu à peu à connaître. On y rencontrera, par exemple, une inspectrice dont le père est atteint du cancer et un psychologue dépressif et affligé de donjuanisme, qui a subi sa jeunesse dans la petite ville suédoise où l'action se déroule.

Un polar d'origine nordique, mais qui pourrait être de n'importe quelle société moderne, avec une enquête à tendance psychologique où les personnages sont consistants, ainsi qu'une intéressante complexité dans les ramifications et les recoupements des histoires criminelles.

Une lecture qui annonce sans aucun doute un alourdissement de ma PAL : deux tomes supplémentaires sont déjà parus (2015).
Commenter  J’apprécie          390
Ouawh, ce livre est une véritable bombe à retardement ! Reçu lors du dernier Masse Critique, je tiens tout d'abord à remercier Babelio et les éditions Prisma de m'avoir envoyé cet ouvrage.

Alors, pourquoi est-ce que j'emploie l'expression "bombe à retardement" ? Tout simplement parce qu'il y a sans cesse des nouveaux rebondissements et que les auteurs s'amusent à emmener le lecteur sur de fausses pistes (tout comme ses protagonistes d'ailleurs, ce qui est, à mon avis, un véritable coup de maître !

L'histoire se déroule dans une petite ville de Suède du nom de Västeras où un jeune adolescent âge de seize ans, Roger Eriksson est porté disparu. Ce qui aurait pu être une simple fugue s'avère en réalité bien plus complexe (et dramatique) qu'il n'y paraît lorsque le corps de ce dernier est retrouvé. Celui-ci à été poignardé ç vingt-deux reprises et son coeur a disparu. Rituel vaudou ? Rien n'est jamais aussi simple dans cette petite ville qui, jusqu'alors, menait une petite vie tranquille, et qui d'un coup, fait la Une de tous les médias. Thomas Haraldsson, en charge de l'enquête, se voit bien vite dépassé et est vite dessaisi de l'enquête par sa supérieure, Hanser qui ne voit d'autre solution que de confier l'affaire à la Crim'. C'est ainsi que trois nouveaux personnages interviennent : Torkel, Vanja et Billy, tous trois des professionnels dans leur domaine. Ursula, elle aussi experte pour trouver ce qu'un oeil non avisé ne saurait voir, rejoint elle aussi l'enquête accompagné, à son grand désespoir, de Sébastian Bergman, un psychologue extrêmement arrogant, détestable au possible, et qui pourtant, se révèle être extrêmement brillant. Ayant rejoint l'équipe, non pas dans le but d'élucider cette affaire comme tout porte à le croire, mais pour des raisons personnelles (je ne vais quand même pas tout vous dévoiler), Sébastian a le don de mettre ses collègues sur les nerfs tant il est égocentrique et sûr de lui (cependant, bien souvent, à juste titre) ne s'intègre pas facilement dans l'équipe même si tous doivent se résigner sur un point : ils ont besoin de lui !
Le meurtre de Roger s'avérera bien plus difficile à résoudre qu'il n'y paraît car d'autres meurtres suivront et bien que l'équipe ait souvent eu des espoirs d'enfin voir leurs efforts récompensés et justice rendue, les apparences ne sont jamais ce qu'il semble être !

Je fais l'impasse, et ce, sciemment, sur bien d'autres détails, afin de vous inciter à découvrir ce livre qui, à mon goût, est un véritable chef-d'oeuvre, bien que les faits relatés ici n'aient rien de réjouissants...bien au contraire. L'écriture est fluide et lipide et le lecteur ne peut pas se lasser dans sa lecture, ayant sans cesse envie de savoir quels nouveaux éléments vont être révélés au chapitre (voire dans les pages) suivant. A découvrir !
Commenter  J’apprécie          370
Me voici à mon tour entraîné dans Dark Secrets, premier volet d'une trilogie, et premier roman de deux auteurs suédois Michael Hjorth et Hans Rosenfeldt .

Dès les premières pages nous nageons en eaux troubles : un homme immerge le cadavre d'un jeune adolescent dans une mare au coeur de la forêt …

Des lors le lecteur entendra régulièrement la voix de ce fossoyeur, ponctuant le récit d'un récurrent « Je ne suis pas un meurtrier »…

Mais qui est-il ? Que doit retrouver la Brigade criminelle ? Un psychopathe, un tueur en série, un adepte d'un club très étrange, un néo vampire…

A Västeras , une grosse bourgade située a une centaine de kilomètres à l'ouest de la capitale, par un hiver très pluvieux, la police locale après un temps de latence (le signalement de la disparition de la victime a lieu un week-end) s'ébranle, s'emballe pour au final recourir à la Brigade criminelle de Stockholm !

L'originalité de ce polar scandinave réside dans la profusion des protagonistes qui peu à peu prennent par au jeu mais surtout dans le dévoilement progressif de leur psychologie.

En effet une galerie de personnages se met en place aussi bien du côté des policiers (révélant les animosités, les divergences, les amitiés, les rivalités) que du côté de la victime, des témoins et des suspects.
Le constat : vivre fatigue, beaucoup de figures blessées, meurtries, traumatisées et quelques âmes troubles voire noires.

Comme décor, une société bien repue mais qui va mal, et le tableau de concitoyens dépeints avec leurs soucis, leurs échecs, leurs tracas quotidiens et leurs peines.

Mais revenons à nos moutons :
- la victime, Roger Eriksson, jeune adolescent, longtemps harcelé et persécuté, semble avoir une personnalité complexe
- le profiler, Sebastan Bergmann, qui participe à l'enquête (dans un but personnel) semble lui aussi plus que névrosé
- Torkal, le chef de la Brigade criminelle de Stockholm est accompagné de ses plus proches acolytes, Ursula, l'experte scientifique, Billy, le spécialiste informatique et ils composent avec les personnalités de l'équipe de la police locale, Kerstin Hansen à leur tête, Vanja, la jeune enquêtrice et son coéquipier Haraldsson.

Toutes les pistes et fausses pistes mènent à l'école de prestige et bien pensante de Västeras, le lycée de Pamlövska où Roger était élève mais, tous les protagonistes portent des secrets que les auteurs nous délivrent au fil des pages .

L'affaire Roger Eriksson après maintes investigations et autres victimes sera élucidée.

Une lecture agréable grâce à une écriture simple, limpide et les ingrédients nécessaires pour un polar réussi.

Une chose est sûre : l'hiver est froid à Västeras et y suivre une filature à cette saison (même à l'abri d'une voiture) peut vous conduire à une hypothermie.
Commenter  J’apprécie          300
Un bon polar écrit à quatre mains qui remplit congrûment son contrat.
Dans la petite bourgade de Västeras, le corps d'un adolescent est retrouvé dans une mare, poignardé 23 fois et une partie du coeur arraché. La police locale constituée de Kerstin Hanser et de Thomas Haraldsson va faire appel à une équipe de la brigade criminelle suédoise, Torkel Höglund, Billy Rosen et Vanja Lithner pour les aider. le plus grand profiler du pays, Sebastian Bergman va être recruté pour les assister. Rapidement leurs investigations vont révéler la face cachée de leurs interlocuteurs ...
Il y a pas mal d'idées nouvelles dans la rédaction de cette enquête policière, ce qui renforce l'intérêt du lecteur sans pour autant révolutionner le genre. En général on a l'habitude de suivre les investigations d'une équipe soudée, or là ce n'est pas le cas. D'emblée les auteurs nous confrontent aux distensions, aux jalousies et aux caractères bien trempés de ces limiers. le titre en lui-même est une originalité car comment envisager un meurtre sans meurtrier. C'est un roman bourré de surprises toutes plus inattendues les unes que les autres et ce jusqu'à la dernière ligne.
L'histoire est assez bien construite car elle ne laisse que peu d'indices ou de pistes pour deviner l'auteur(e) des méfaits. Il y a donc du suspens jusque vers les dernières pages ce qui amène le lecteur au bout de ces 575 pages avec facilité.
Mais il y a pas mal de passages où les auteurs digressent et délayent le récit avec des renseignements, des anecdotes sur les protagonistes qui ne sont pas indispensables. D'où quelques longueurs.
Dans l'ensemble c'est bien écrit et bien imaginé. « Celui qui n'était pas un meurtrier » n'est pas dans le top des polars les plus intenses ou addictifs mais il reste une intéressante découverte qui mérite que l'on s'y attarde.
Traduction de Max Stadler.
Editions Acte Sud, Babel Noir, 575 pages.
Commenter  J’apprécie          270
je n'aime pas abandonner un livre en cours de route - mes scrupules sont cependant inversement proportionnels à la quantité, encensée et navrantre, d'ouvrages médiocres, dans des temps et une époque similaires, où les réseaux sociaux littéraires ont été activement complices d'un naufrage (Babelio compris) - mais à la lecture des cent premières pages de "Celui qui n'était pas un meurtrier" HJORTH & ROSENFELDT (Nouvelle édition Babel Noir, 2022), je constate :


- la pauvreté des dialogues, et de l'intrigue qui n'avance pas,


- la médiocrité de la traduction. Il n'est nullement besoin de parler le Suédois pour le comprendre,


- l'intrigue est délaissée au profit de la narration de la vie sentimentale, psychologique et des frasques sexuelles des personnages, alors qu'un bon roman peut revêtir ces caractères, de façon également Intense, avec subtilité, sans divertir le lecteur de l'intrigue qui, en l'espèce, est poussive et reléguée au second plan.


L'écriture, c'est, également, l'art de l'équilibre.


Mauvais et très décevant.


Michel

Lien : https://fureur-de-lire.blogs..
Commenter  J’apprécie          226
Qu'il y a bien trop de personnages dans ce polar bavard ne m'a pas vraiment dérangée, or, qu'il a fallu rentrer dans la tête de quasiment chacun (!) afin de connaître ses états d'âmes expliquant ses agissements, est devenu vite monotone et lassant. Des pages et des pages de descriptions « intimes » des protagonistes et d'environnements (y compris les restos où ils mangent, p.e.), une enquête qui fait constamment deux pas en avant pour en faire presque autant en arrière et qui aboutit enfiiiiin avec -pour moi- un petit regain d'intérêt... font que je me suis ennuyée.
Je savais bien sur (puisque c'est écrit au dos du livre) que j'allais rencontrer un psy-flic particulièrement antipathique, mais je ne pensais pas le détester à ce point. Ce personnage principal est un goujat, coureur de jupons, un empaffé imbu de lui-même, (certes) très intelligent, prenant tout le monde de haut. La tragédie personnelle qu'il a dû vivre ne l'excuse aucunement (sinon le monde sera peuplé d'ostrogoth).
Je ne peux nier le bon style littéraire de ce pavé composé à quatre mains, mais je suggère aux auteurs de prendre quelques cours d'économie narrative.
Commenter  J’apprécie          200
Roger Eriksson n'est pas rentré chez lui, sa mère Lena va contacter la police de Västeras mais l'inspecteur Thomas Haraldsson qui "féconde" sa femme pour avoir un bébé ne s'inquiète pas outre mesure pensant que le garçon de 16 ans a du faire une fugue à Stockholm et il attend jusqu'au lundi : la découverte par des jeunes scouts du corps de Roger noyé dans une mare, avec le coeur arraché ! Sa chef : Kerstin Hanser décide d'appeler la " Crim' " de Stockholm en renfort et, c'est Törkel Höglund aidé d' Ursula, de Vanja et de Billy : informaticien qui va s'occuper de l'enquête !
Et, dans un premier temps, les soupçons se portent sur Léo Lundin qui harcelait son camarade au lycée Palmlövska dirigé par l'intransigeant Ragnar Groth !
En parallèle, nous faisons la connaissance de Sebastian Bergman : un psychologue/profileur qui a travaillé avec Törkel et, qui pour des raisons très personnelles va demander à ce dernier de l'accepter dans son équipe ! Sebastian est un coureur de jupons, cynique, méprisant, arrogant qui fuit son passé comme son présent depuis la mort de sa femme et sa fille noyées dans un tsunami ! Il vivait à Västeras car son père était directeur du lycée et, suite au décès de sa mère : il a décidé de vendre rapidement la maison familiale et, de se servir de Billy pour accéder à des dossiers confidentiels !
Les co-auteurs : Hjorth et Rosenfeldt : romanciers, réalisateurs, scénaristes et producteurs vont nous embarquer en 575 pages dans une enquête truffée de fausses pistes, de découvertes, de cadavres pour chercher " celui qui n'était pas un meurtrier " avec leur nouveau profileur : Sebastian Bergman ! ( à suivre ).
L.C thématique du polar de juin 2023 : Babel Noir.
L.C thématique de juin 2023 : un HOMME.
Commenter  J’apprécie          170
Roger, un jeune adolescent, est retrouvé assassiné.
Sebastian Bergman, psychologue qui a un temps travaillé avec des policiers mais s'est éloigné de la vie professionnelle suite à un grave traumatisme dans sa vie privée, demande à Torkel, policier en charge de l'enquête sur le meurtre de Roger, de l'intégrer dans son équipe, au grand désespoir de ceux qui le connaissent car, si ses compétences professionnelles ne sont plus à démontrer, son caractère cynique, désabusé, provocateur, mufle, est loin de faire l'unanimité. D'autant plus que les motivations de Bergman sont tout autre que la résolution de ce meurtre, du moins, au départ.

Malgré les 575 pages de ce pavé, ça se lit très vite. C'est le premier opus d'une série avec Sebastian Bergman, autant dire que j'ai hâte de lire les suivants. Il y a pas mal de personnages avec qui se familiariser mais ça ne gène en rien l'immersion immédiate dans cette histoire, car à aucun moment on ne se perd. Les personnages sont attachants, c'est bien rythmé, l'écriture est fluide, on est happé par cette enquête aux multiples rebondissements. Tout est cohérent, le suspense dure jusqu'à la fin.
C'est brillant. Bravo aux auteurs.
Commenter  J’apprécie          170




Lecteurs (811) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2817 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..