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Citations sur Les autos tamponneuses (90)

Qu'elle ait quitté son mari après avoir tout supporté de lui, je trouve ça parfaitement répugnant. Et stupide. Qu'elle le tue, j'aurais compris. Ca aurait eu de l'allure, au moins : un coup de couteau, du poisson, ça oui. Mais qu'elle le quitte, c'est minable.
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Mais la nouvelle génération aux affaires n'est pas bonne, vous savez. Ils n'ont aucun talent. Ils ne créent pas de richesses, ils les exploitent. Ils sont toujours au service de l'argent. L'argent est leur maître. Or, l'argent est un serviteur, voilà pourquoi il faut le respecter, au moins le ménager.
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En fait, chez moi, c'est là où je suis. J'ai toujours considéré que, dans un restaurant, la meilleure table est celle où je me trouve, dans un hôtel la meilleure chambre et dans mes bras la plus belle des filles. Je n'ai jamais regardé ailleurs, jamais. La vie quotidienne est quotidienne partout.
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En plus, depuis que la chienne Trompette était morte, l'atmosphère de Baot était devenue aussi cafardeuse qu'une émission de Michel Drucker.
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"Qu'est ce donc que des jours pour valoir qu'on les pleure ? Un soleil, un soleil. Une heure, une heure."
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Je suis seul. Donc libre.
Je suis libre. Donc seul.
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Paris est une capitale comme un travesti est une femme.
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Mais elle n'a pas raison non plus. Si nos enfants s'occupent de nous comme nous nous sommes occupés d'eux, il se passera du temps avant qu'ils nous rendent visite.
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La cuisine étoilée m'agace, en général, raffinement voyant, pour voyageur de commerce en goguette. Je n'ai jamais pu comprendre pourquoi les chefs acceptent la tyrannie du Gros Livre rouge. Ils veulent montrer leur virtuosité et se perdent en subtilités inutiles. Ils se regardent cuisiner comme on s'écoute parler. Résultat : leur ordinaire est une musique dont les arrangements couvriraient la mélodie, on perd le fil, l'émotion s'envole et on est bien incapable, le lendemain, de se rappeler de quoi on a dîné.
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Mais le temps ne passe pas, Hélène. C'est nous qui passons dans le temps.
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