Fingus Malister, tome 2 : Crâne bavard, grimoire et magie noire

J'ai trouvé le second tome bien meilleur, plus mâture et plus abouti. Fingus a grandi dans ce tome (pas de beaucoup, mais il a gagné un peu plus de plomb dans la cervelle) et évolue d'une façon que j'ai eu plaisir à voir abordée. de nouveaux personnages apparaissent, loufoques (le crâne du grand père), sombre et inquiétant (le Monarque de l'Automne). le rythme est rapide, les événements s'enchaînent, mais cela n'empêche pas d'aborder des sujets d'importance, comme le pardon, la repentance, le deuil, la résilience et l'influence des humains sur leur environnement.
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J'ai préféré ce second tome au premier. L'humour est toujours très présent, tout comme l'aventure, mais j'ai trouvé Fingus plus touchant. Je suis même un peu triste qu'il n'y ait pas plus de tomes pour cette saga jeunesse sombre et drôle. Bref c'était une bonne découverte :)
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⚠️Attention potentiels spoils du tome 01 ⚠️

On retrouve Fingus peu de temps après la fin du tome 01. le jeune magicien a raté son examen d'entrée pour l'académie de sorcellerie mais il n'a pas pour autant renoncé à devenir le seigneur maléfique de la ville de Bedlam. Avec l'aide de son grand père, toujours sous la forme de crâne, il part à la recherche du M.E.C.H.A.N.T un Grimoire ancien de magie noire qui avait jadis appartenu à la famille Malister.
Mais une fois n'est pas coutume, le plan de Fingus et de son grand père ne va pas exactement se dérouler comme prévu...

Quel bonheur de retrouver Fingus, Polly et Ammonia pour cette suite et fin.
Tout comme pour le tome 01 le ton est vite donné avec de l'humour noir, des idées farfelues et des plans toujours plus dangereux.
Fingus et ses amis nous amènent avec eux dans un voyage à travers l'espace temps pour tenter de prendre le pouvoir de la ville de Bedlam mais ils vont apprendre que le pouvoir n'est pas forcément source de bonheur. Fingus va aussi apprendre l'importance de l'amitié.
Avec une plume toujours aussi addictive et fluide Ariel Holtz termine ce diptyque en beauté. Une duologie jeunesse qui saura faire rire et frissonner les plus jeunes comme les plus grands.

Je suis triste de me dire que c'est déjà la fin pour les aventures de Fingus Malister car j'ai eu un vrai coup de coeur pour ce gentil méchant.

Ariel Holzl signe une duologie sympathique. Il dispose d'une patte singulière, mêlant malice, ironie et sarcasme en tout genre. C'est ce qu'on aime chez l'auteur ! Je suis curieuse de continuer mon exploration de ce jeune auteur
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