Un mariage en 10 actes

Tom et Louise suivent une thérapie de couple après un incident de parcours résultant d'une certaine routine mal supportée. Chaque semaine, ils attendent dans le pub avant leur session et commentent les comportements du couple qui les précède chez la thérapeute. Dix séances pour rejouer leur mariage.

Bof, bof, bof... Mais qu'est-ce qui m'a pris, ce matin-là, d'aller flaner dans les allées de cette grande surface culturelle et surtout d'y acheter des livres ? Surtout celui-ci, les autres ça a été. En fait, je me suis trompé de Nick, je croyais que j'avais déjà lu Nick Hornby, mais c'était manifestement un autre. Ne pas se fier à sa mémoire lorsqu'une impulsion d'achat se pointe la cinquantaine passée...

Le livre est hyper dialogué, pas ce que je préfère, ça tourne autour du couple, mais ça ne va pas très loin. J'aime pourtant l'humour anglais, mais là, je le trouve plat, consensuel.

Une -toute- petite lecture qui pourra plaire à des lecteurs qui ont "du temps de cerveau disponible", de ceux donc qui sont recherchés sur TF1 -ceci dit sans aucun mépris, il en faut pour tous les goûts, même si là, bon... quand même !
Lien : http://www.lyvres.fr/

Je ne m'attendais pas à ça lorsque j'ai acheté ce livre, je ne m'attendais pas à la description de leur vie conjugale déclinante, descendante sans jamais faire mention de la description physique des personnages ni de leurs entretiens chez la psy, leurs discussions autres que dans ce bar.
Pendant 10 semaines, qui se résument à 10 chapitres, j'ai vécu leurs disputées, leurs reproches, leur séparation, leur retrouvaille si bien qu'au fil du livre, j'avais envie de les rencontrer à nouveau et de les écouter parler de leur mariage prenant l'eau, tout en me disant qu'il manquait quelque chose (ce que j'ai écris plus haut et les interactions avec les autres couples rencontrés dans ce bar).
Si bien qu'au chapitre 10, à la fin du livre, je ne m'attendais pas à cette fin, à ce versant là de leur mariage mais à l'autre.

Un court roman sous forme de dix conversations entre Tom & Louise sur l'appréciation du mariage. Ils se retrouvent tous les jours dans un pub avant d'aller à leur consultation pour la thérapie de couple qu'ils sont entrain de suivre.

Un concept intéressant, qui se lit très vite. le flux de dialogue entre les deux personnages apporte un certain rythme & certaines répliques irrésistibles.

Cette lecture offre une réflexion sur les relations à long terme. de l'attirance des premiers temps à cette routine qui s'installe et qui parfois vient grignoter la sérénité du couple.
Ce face à face va avoir pour but de les réconcilier ou bien de mettre un terme à leur histoire.

Nick Hornby creuse sur les relations humaines avec une très grande observation. le seul souci est de part la brièveté du récit je suis restée un peu sur ma faim.

Un mariage en dix actes est un court roman (144 pages) de Nick Hornby, romancier anglais qui a connu un gros succès dans les années 90 avec, notamment, ses romans Haute Fidélité et About a boy, tous deux adaptés au cinéma.
Dans ce roman, l'auteur met en scène Louise et Tom, un couple en pleine crise conjugale qui se retrouve chaque semaine autour d'un verre, avant leur séance de thérapie conjugale, pour discuter de leur séance, de leur couple, de tout, de rien.
Le livre s'annonce comme un roman mais il prend une forme presque théâtrale, il n'est quasiment écrit que sous la forme de dix dialogues entre Louise et Tom.
La construction originale de ce roman m'a séduite, mais ça s'arrête là. La 4eme de couverture nous annonce « une comédie franchement désopilante », ce n'est pas ce que j'ai lu.
J'ai plutôt lu pendant 144pages, attaques, piques ironiques et désabusés, pelletées de sarcasmes entre deux personnes caricaturales (lui, ex critique musicale au chômage et adepte de la bière et des jeux vidéos; elle, médecin en gériatrie et en recherche de séduction) qui affichent un total mépris l'une envers l'autre, mépris pour leurs idées, leurs goûts, leurs centres d'intérêts et même pour leur métier respectifs.
Nick Hornby avait là matière à nous faire réfléchir sur le couple, son usure, comment l'appréhender et la surmonter, et à nous faire rire sur ce sujet, mais il ne nous donne qu'une suite de dialogues creux, sans aucune profondeur psychologique.

Bref, cette lecture n'a pas été un réel moment de plaisir, je me suis plutôt sentie agacée et navrée tout du long.
A oublier très rapidement

Complètement raté! et déçu du coup! J'avais adoré Haute fidélité, bien qu'étant moi même très infidèle à cet auteur puisque j'ai mis 20 ans à le relire! Est-ce lui qui a changé ou moi? Toujours est-il que ce dernier livre n'est pas drôle (alors que c'était l'objectif je pense), les personnages très peu attachants et par conséquent on a beaucoup de mal à rentrer dans cette histoire. Pourtant l'idée de départ, le canevas était excellent. Dommage. A adapter au théâtre en pimentant et en travaillant davantage les dialogues!

superficiel

Tres décevant. pas credible, pas intéressant; bref déçu

Une lecture loin d'être indispensable… surtout lorsqu'on sort – comme c'est mon cas – de la lecture d'un classique anglais admirable de 1000 pages ( La Foire aux Vanités) , si bien écrit , si profond et réfléchi…Le contraste est donc rude pour moi !
En 10 courts chapitres, l'auteur nous fait plonger dans la vie d'un couple en pleine crise conjugale. Mille petites et grosses aigreurs maintes fois rebattus refont surface entre nos deux protagonistes, attablés dans un café devant un verre de vin blanc, attendant l'heure de leur rendez-vous hebdomadaire avec une conseillère conjugale. La mauvaise foi de l'un bute sur l'ennui de l'autre mais chacun a pourtant envie de sortir de cette crise. Elle médecin, lui critique musical, ils en viennent à s'étonner qu'ils aient pu être attirés l'un par l'autre.
La seule originalité de ce « roman » réside dans le fait que tout se construit autour des dialogues : le lecteur n'aura pas de descriptions physiques ni d'autre point de vue des personnages à l'exclusion de ce que chacun dit à l'autre. Chapitre après chapitre, les caractères du mari et de la femme ainsi que leurs espoirs perdus se dessinent. Mais les dialogues sont écrits pour la télé et leur style est bâclé.
A vous de voir.

Nick Hornby, « Un mariage en 10 actes » 175 pages La Cosmopolite Stock

Le titre fait penser à une pièce de théâtre et on n'a aucune difficulté à imaginer ce roman interprété sur scène.

Quasiment un huis-clos et pratiquement toutes les scènes dans un pub londonien situé en face du bureau d'une conseillère conjugale. Là, des couples se croisent, qui attendent leur rendez-vous ou en sortent.

Le roman est découpé en 10 actes et chacun d'eux met en scène deux quadragénaires : Louise une gérontologue et Tom un critique musicien au chômage. Leur couple a pris l'eau depuis que Louise a trompé Tom. D'où leur décision de consulter.

Très vite, on comprend que la vraie thérapie se déroule dans le pub ! Autour d'un verre – ou deux – Tom et Louise n'esquivent aucun sujet (le mariage, le sexe, les enfants, la politique, le Brexit, le politiquement correct...) et rejouent en dix actes leur vie conjugale, faisant apparaître, avec humour et vivacité, les fissures de leur relation.

Des dialogues incisifs, drôles à la Woody Allen. Ainsi, le désamour est comparé à la fièvre Ebola, le mariage à un ordinateur en pièces détachées, la relation sexuelle au pendule de Newton !

Un roman léger qui m'a fait sourire. Vite lu et qui sera vite oublié

Un texte court, que je tenais à lire en anglais au vu des critiques francophones – la traduction pouvant expliquer grand nombre d'entre elles.

Tom et Louise vont voir une conseillère conjugale ; elle a eu une aventure extraconjugale tandis que lui a voté « oui » au Brexit ! Chaque semaine, on les retrouve au pub en face du cabinet de consultation ; ils boivent une pinte pour lui, un verre de blanc pour elle (très anglais tout ca !) avant leur rendez-vous hebdomadaire. Dix petites scènes, le livre n'est quasiment que dialogue. de quoi discutent-ils ? Les sujets, les postures, évoluent au fil des séances.
D'accord c'est peut-être plus proche d'un script que d'un roman, et alors ? J'ai aimé !