Hatem Taiy a un cheval tellement parfait, tellement unique que pour rien au monde (ou presque !) Hatem ne le céderait. Lorsque qu'Hamar, le magnifique cheval, gagne une fois de plus une course loin devant le déjà très beau cheval de l'empereur Maxime, ce dernier décide d'acquérir l'animal à n'importe quel prix. Mais c'est sans compter les aléas de la vie de la très hospitalière tribu touareg de Hatem.
Je ne vous raconte surtout pas le reste et encore moins la fin car c'est là où l'histoire prend réellement tout son sens. Voici donc un conte d'Orient à la forte dimension philosophique, qui ne lassera pas de vous interpeler sur l'hospitalité (la vôtre et celles des autres) et sur l'ironie du sort. On quitte cette histoire avec un goût acidulé en bouche et c'est à chacun de décider si au final il veut en rire ou en pleurer.
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