Il m'arrivait parfois de me réveiller en pleine nuit. des suris couraient dans la pièce. Gran-mère O-Kano avait raison : elles allaient et venaient dans tous le sens, mais elles n'essayent jamais d'entrer dans nos édredons. Sans la moindre frayeur, je me blottissais contre sa poitrine et je me rendormais.