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Elle est jeune, elle travaille comme apprentie servante à la cité interdite, des mystères l'entourent…
Les « Carnets de l'apothicaire » ? Hé non, contre toute attente il s'agit du « Palais des assassins », un manga qui m'a tout l'air de surfer sur le succès des aventures de Mao Mao. Alors, ce manga est-il une copie ou une oeuvre plus originale ?

Ici, nous avons affaire à O Karin, une jeune femme issue d'une bonne famille. N'ayant pas de difficultés financières, elle s'engage au Palais pour une raison qui peut sembler assez naïve de prime abord : se faire des amies, et sortir d'une solitude imposée par son père, O Ko, un fonctionnaire cruel et corrompu craint de tous. Sauf que même les meilleurs plans ont leurs défauts, et que la réputation paternelle ayant précédé O Karin, elle se retrouve systématiquement repoussée par tous, malgré ses efforts pour s'intégrer. Seul l'empereur, un jeune garçon placé là par le hasard des décès (quoi que…), lui manifestera un peu de sympathie, suscitant chez la jeune fille en manque d'affection une reconnaissance profonde, ce qui marquera un tournant dans leurs vie à tous les deux… le Palais regorgeant d'intrigues dangereuses qui ne laisseront pas la jeune fille en paix.

Je ne fais pas durer le suspense plus longtemps : ce manga est une réussite, et cela ne m'a pas dérangée que le cadre soit identique. Si les ambitions d'O Karin sont de prime abord « mignonnes » — se sentir un peu moins seule —, la faisant apparaître un peu lisse, on ne tarde pas à constater que son père a laissé sa marque dans son éducation, ce qui laisse entrevoir un déroulement de l'intrigue plutôt prometteur. Et surtout, il est moins girly que les « Carnets de l'apothicaire », qui me semble avancer, au fil des tomes, vers une intrigue plus romantique et moins élaborée.
Plus important pour un manga historique, j'ai aussi trouvé que le cadre était mieux posé que dans les « Carnets » : l'organisation hiérarchique de la domesticité est bien plus détaillée, nous faisant mieux comprendre que les arcanes politiques de la Cité interdite vont jusqu'à cet aspect ; et le Palais porte bien son titre en apparaissant davantage comme le lieu de toutes les manigances politiques, les gens souhaitant la mort des autres, leurs rivaux, et agissant dans ce but. Par comparaison, « Le Palais des assassins » me paraît plus crédible.

J'ai pris plaisir à lire ce premier tome qui me paraît receler quelques promesses ; charge aux prochains tomes de les concrétiser (ou pas) !
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Beaucoup ont parlé des Carnets de l'apothicaire quand ils ont vu arriver ce titre et je peux comprendre car nous sommes à nouveau dans le cadre d'une Cour intérieur chinoise avec une servante confrontée à des meurtres ou du moins tentatives. Mais on ne joue pas sur le même registre, nous sommes ici dans une vraie comédie là où son aîné était plutôt un récit d'aventure. Voilà donc une nouvelle variation des plus sympathiques.

Aussi surprenant que ce soit, car nous l'avons à peu près tous oublié, nous avions déjà fait la rencontre de l'auteur en 2020 avec la trilogie Heroines Game chez Kana où on retrouvait un peu ce registre d'héroïne à l'allure mortelle et cette ambiance légèrement barrée où il reprenait une ambiance scénaristique bien connue pour la détourner à sa sauce : la battle royale, mais avec chaque participante incarnant une héroïne de conte…Il a gardé ici le même petit grain de folie.

Dans le Palais des assassins, c'est O'Karin qui incarne ce petit grain de folie. Fille d'un célèbre fonctionnaire corrompu craint de tous, elle a quitté le foyer familial pour vivre sa propre vie en tant qu'apprentie servante dans le Palais car elle en avait marre d'être crainte elle aussi. Son seul désir : se faire des amies ! Mais avec sa tête effrayante due à l'éducation qu'elle a reçu, ça n'a rien de simple.

J'ai beaucoup aimé le registre humoristique de l'oeuvre, qui semble s'amuser à reprendre pour mieux les tordre les codes habituels des récits dans les cours impériales, avec leurs mystères, leurs entourloupes et leurs mesquineries. Ici, sous le regard naïf mais très particulier de Karin, nous allons ainsi assister à nombre tentatives d'assassinats et empoisonnements pour mieux les déjouer grâce à son entraînement passé. L'occasion, non pas tant de plonger dans les mystères de la Cour, que de s'amuser du décalage occasionné par la demoiselle qui cherche à tout prix à se faire accepter et ne réussit qu'à effrayer les autres alors qu'elle les aide. J'ai trouvé cela divertissant et savoureux, sans prise de tête, car pas besoin de réellement chercher à percer les mystères du lieu, ce n'est pas le propos, tout nous est servi sur un plateau.

J'ai ainsi pu profiter pleinement du lieu et des personnages, ainsi que de leurs dynamiques et relations. J'aime beaucoup la représentation de Karin avec ses petites oreilles de chat à la Anya, ses cernes d'inquiétudes sous les yeux et cette caractérisation de personnage toujours inquiet qu'on connaît bien dans le manga. Les éditions Ki-Oon ont bien pensé leurs couvertures qui reprennent fort joliment son goût pour la broderie, sa façon de tenter de s'intégrer dans ce nouveau lieu. C'est touchant de la voir essayer maladroitement de se faire des amies parmi les servantes, se mêlant sans le vouloir de leurs histoires pour les aider mais sans jamais que ça réussisse à lui offrir l'amitié qu'elle souhaite. Celle-ci viendra, enfin si on peut dire, d'un lieu plus surprenant du palais suite à une rencontre inattendue, mais ce sera totalement à sens unique pour le moment, une fois de plus. Karin est donc le personnage looser par excellence qui nous amuse énormément dans ses déboires !

Pour autant, j'ai trouvé les affaires rondement menées et bien écrites, dans le sens où c'est dynamique à suivre et entraînant, même si avouons-le, ça ne vole pas haut et c'est très classique. Il y a l'assassin qui s'introduit dans le palais, les oiseaux venimeux pour une tentative d'assassinat depuis l'intérieur ou encore la cérémonie de thé piégée dans le même but, avec une multitude de potentielle commanditaire derrière. Et à chaque fois, on s'amuse de voir comment Karin résout cela en usant des techniques et artefacts provenant de l'éducation de son paternel. Cela a un charme certain.

Nouvelle petite aventure, cocasse et drôle cette fois, au sein d'une Cour impériale en proie aux multiples tentatives d'assassinat. L'angle comique rend la lecture très fraîche, tout comme l'héroïne looseuse qu'on s'amuse à voir rater sa cible : trouver des amies. C'est inattendu et décalé même si l'univers et les histoires sont assez classiques, mais c'est plutôt savoureux à suivre.
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La couverture et le résumé bien que très tentants, j'avais tout de même peur d'une copie des Carnets de L'Apothicaire. Eh bien, même si notre héroïne, Karin évolue dans un univers qui s'y approche grandement, nous en sommes assez loin. Déjà, Karin est la fille du Haut Fonctionnaire le plus craint de l'Empire, et ensuite, même si elle ne le crie pas sur tous les toits, elle a été formée en tant qu'apprentie assassin. Pourtant, le seul but de sa vie, et ce pourquoi elle est entrée au palais en tant qu'apprentie servante, c'est de se faire des amies ! Mais voilà Karin a un regard assez effrayant et puis… la notoriété paternelle fait que tout le monde a peur d'elle. C'est assez cocasse à lire d'ailleurs.

J'ai adoré ce premier tome ! Entre les complots, les intrigues et les mimiques de Karin qui est prête à tout pour se faire des amies, c'est à la fois drôle et captivant à suivre. Parce que même si elle s'éloigne de l'influence paternelle, il est bien difficile pour elle de renier ce qu'elle est même si elle essaie du mieux qu'elle le peut. Il n'empêche ses surprenantes aptitudes vont tout de même bien lui servir puisqu'elle va empêcher bien des tragédies. Et c'est aussi l'occasion pour nous lecteurs de découvrir les tentatives de meurtre à l'encontre du jeune Empereur dont la santé n'est pas au mieux.

Dans l'ensemble, je trouve que l'intrigue est très bien présentée et les différents chapitres nous offrent un aperçu d'un univers sombre et cruel ou personne n'est à l'abri du danger, pas même Karin. J'ai aimé ce premier tome, les dessins sont juste magnifiques et je suis déjà fan de notre héroïne avec sa tête de psychopathe. Parce que oui, même si on a de la peine pour elle de la voir se faire refouler à chaque fois par ses camarades, on ne peut que les comprendre. Au-delà de la réputation de son père, Karin fait peur.

Bref, un tome 1 passionnant et savoureux qui me donne très envie de découvrir la suite !
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Ca y est, après la mode des manga à la sauce sorciers et sorcières, isekai ou encore toute la vague des manga dédiés à la gastronomie, voici la nouvelle tendance des manga "influencés" par Les carnets de l'apothicaire.
Je ne jette pas la pierre aux deux séries différentes qui existent en France, car je sais que les deux séries coexistent au Japon, alors pourquoi pas.

En revanche, ici, c'est un pompage en règle ! Après, ça fonctionne plutôt bien, c'est à la fois rigolo et avec du suspense, mais j'attends de voir ce que ça donnera sur la durée.

Nous découvrons donc la Cour impériale de "l'ancien pays de Hokugi", très clairement un Japon impérial fantasmé (ça change donc de la Chine et de la Corée du webtoon "La manche rouge") à travers les yeux de O Kirin, fille d'un stratège cruel et redouté de la Cour.
D'apparence, la jeune fille comporte un détail familier car en plus de son uniforme de servante qui nous fait forcément penser à Mao Mao (Carnets de l'apothicaire), elle arbore également deux décorations de tête qui évoquent terriblement notre adorée Anya de Spy x Family. Tous les moyens sont bons pour appâter les lecteurs ! :D

D'emblée, nous comprenons que ce manga aura un ton, un humour décalé. En effet, O Ko, le père de O Kirin, n'accepte d'envoyer sa fille servir à la Cour uniquement en qualité d'espionne à son compte ; la jeune fille n'a d'autre choix que d'accepter contre son gré.
Car malgré tout ce que son père a pu lui apprendre (de terrible), O Kirin se sent seule et n'aspire qu'à se faire des amies... C'est pour ça qu'elle souhaite quitter la maison familiale.

Nous découvrons donc les joies et surtout les dangers de la Cour impériale aux côtés de O Kirin. La jeune apprentie servante a le chic pour se retrouver dans des situations impossibles, mais réussit miraculeusement à la fois à toujours s'en sortir et à être sûre que justice se fasse. On n'est donc pas dans un manga réaliste, mais le décalage de cette jeune fille totalement paumée et ignorante des interactions sociales est assez drôle.
J'allais dire qu'elle est une sorte de super-héroïne, mais en fait c'est plutôt une Kirua (Hunter x Hunter) de formation qui se veut labrador. O Kirin sait se battre, se défendre voire même bien plus, et l'on découvrira l'étendue des enseignements paternels à travers les diverses situations dangereuses qu'elle va rencontrer. Et en plus, son cher papa l'a quand même dotée de gadgets fort utiles et qui semblent sortis de la veste de James Bond !

Pour conclure, je dirais que ce premier tome fonctionne bien si on le lit sans le comparer aux Carnets de l'apothicaire. Ici, on ne cherche pas (encore ?) à jouer sur la romance mais plus sur un échiquier de courtisan.es et de servant.es prêts à tout pour atteindre le sommet de l'Empire. Avec un ton super décalé et une héroïne à côté de la plaque.
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📜𝕸𝖔𝖓 𝖗𝖊𝖘𝖘𝖊𝖓𝖙𝖎📜

🎎J'ai beaucoup aimé ce manga. On y retrouve la trame des Carnets de l'apothicaire, en plus humoristique mais tout aussi truffé de complots et autres méchancetés. Les servantes ne se font pas de cadeaux et Karin aura bien du mal à se faire des amies surtout avec la réputation familiale qui la suit comme son ombre. Ce qui est bien c'est qu'elle garde toujours l'espoir. Un brin décalée avec une graine de folie, elle est là looseuse parfaite sans le savoir !!!! Ce qui fait qu'elle est attachante.🎎

🈴 Une belle découverte qui promet encore de beaux moments de lecture🈴

🎴🧡De magnifiques illustrations tout au long de ce tome, que je vous conseille.🎴🧡

😁Petit + : J'adore le sourire de O'Karin😁
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Si je me calme fortement côté mangas, je ne résiste absolument pas à un titre comme celui-ci 😇 Et cela s'annonce comme une série très accrocheuse 😎

O Karin est une jeune femme qui souhaite s'échapper de l'image de son père, un homme cruel près à tout pour arriver à ses fins... Elle intègre un groupe de servante au palais impérial, avec une idée en tête : Se faire des amies. La réputation de son père - et donc son nom- ainsi que sa tête très expressive ne seront pas d'une grande aide, bien au contraire.
Qui dit palais impérial, dit complot, manigances et plans à déjouer. Karin ne va pas s'ennuyer avec toutes ces personnes qui souhaitent la mort du jeune empereur.

Pour la pose du décor, il y a des similarités avec Les carnets de l'apothicaire, mais à mon sens, cela s'arrête là. Ici, nous avons une héroïne qui est rejetée par ses consoeurs, mais avec un gros déni - ou alors un espoir énorme d'y arriver. Elle est sous la coupe de son père, l'utilisant de manière vicieuse. Il y a donc énormément de possibilités de scénario, d'évolution de l'histoire et cela pique fortement ma curiosité.

Ce premier tome m'a apporté ce que je cherchais : un décor magnifique, des personnages attachants, de l'humour, une intrigue qui se tient. Même si j'ai hésité à le prendre - pas longtemps, je vous rassure - je ne regrette pas du tout ! Vivement la suite ❤️

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Une impression de déjà-vu avec ce manga qui rappelle les carnets de l'apothicaire par le cadre et la thématique du meurtre.
Mais la ressemblance s'arrête là. Il y a peut-être plus d'humour et des scènes peut-être un peu plus étranges dans celui-ci. Par ailleurs l'héroïne n'a pas du tout la manière de se comporter que dans les carnets.
Quelques longueurs n'en font pas le manga de l'année, mais c'est une jolie découverte.
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Dans celui-ci, nous nous plaçons dans la Cour Impériale. C'est un univers aussi fascinant que perturbant qui a toujours bien des choses à nous dévoiler. Cela ne me dérange pas de le retrouver dans plusieurs
histoires. Comme toujours, nous verrons de sombres intrigues se profilaient à l'horizon, cela apparaît de plus en plus au fil du tome, de notre lecture et de notre immersion.
Le graphisme est très beau, quel plaisir de s'attarder sur les détails. Les expressions ressortent très bien aussi.
Nous continuons aussi autant à réviser qu'à apprendre comment cela fonctionne. Il y a toute une hiérarchie.

« Karin vient d'entrer comme apprentie servante au quartier des femmes du palais impérial. Dans ce lieu à part, elle espère réaliser son voeu de toujours : se faire des amies » mais à cause de son nom de famille, elle est crainte. O'Karin se fait fuir à cause de son père, de ses fonctions. Un homme élégant, mystérieux, troublant, qui a aussi tout enseigner à sa fille. Karin a voulu se détacher du girond familial pour avancer sur son propre chemin, mais évidemment cela n'est pas si simple.
Le mélange d'émotions est très fort. Karin aimerait se faire des amies, elle fait tout pour, elle essaye de se montrer serviable, souriante, sauf que son sourire fait peur, et que la réputation a la peau dure.
Au final, elle provoque des crises de peur, d'hystérie, la fuite des autres, et le résultat est même assez drôle.

C'est aussi emprunt d'un certain mystère. Est-il si mauvais son père ? En tout cas, nous le verrons par moment, entre autre dans ses souvenirs, quand elle lui annonce ce qu'elle veut faire, et que lui saute sur l'occasion. Il faut bien dire que dans leur famille rien n'est laissé au hasard et qu'il sont très forts.
Sauf qu'il y a aussi une très belle ironie à la situation. Karin se concentre sur son travail, sur son envie d'avoir des amies, tout en restant elle-même, tout en mettant ses savoirs en pratique, et en déjouant de vils complots. Elle est alors redoutable, et nous offre de très belles scènes d'action.

En plus, elle est diablement motivée grâce à un bon geste. Vous voyez comment les choses peuvent s'influer de manière assez dingue ? Car alors qu'elle est triste, au plus mal, elle rencontre le jeune empereur qui lui fait belle impression et a un geste de bonté envers elle, qui lui donne envie de le protéger.

Nous avons un sacré mélange d'émotions. C'est surprenant, addictif. On s'attache à Karin, et on a autant envie de la voir déjouer les plans machiavéliques de certains que d'avoir de véritables amies.
Mais elle n'est pas au meilleur endroit pour cela, plongée dans un nid de vipères. Sauf qu'elle a pour elle un bagage impressionnant, qui vous époustouflera une fois mis en action. Et en clouera certains.
Cela offre une belle dualité au personnage, qui a un côté un peu niais presque, des choses de la vie qu'elle ne connaît pas vraiment, opposée à un côté redoutable, ce n'est vraiment pas la personne à vous mettre à dos.

Vu la fin, la suite se fait déjà attendre impatiemment.

Le mangaka est Tabasa Iori qui a déjà sorti en France « Heroines Game » en 3 tomes chez Kana.
La série est en cours au Japon avec 4 tomes sortis.

Très bonne lecture ❤
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Une nouvelle série humoristique prometteuse !
Alors oui, après le succès des Carnets de l'Apothicaire, ce titre semble surfer sur le succès de l'oeuvre... Mais c'est tout le principe des modes !

Ici, on découvre Karin, fille d'un redoutable haut fonctionnaire, et assassin hors-paire... mais complètement à coté de la plaque en ce qui concerne les relations sociales ! Habituée au sang et aux coup bas, elle n'aspire qu'à une chose : une vie calme avec des amies... Ce qui n'est visiblement pas si simple pour la jeune fille !

Dans la cour impériale du pays de Hokugi, les jeux de pouvoirs font la loi et Karin ne va pas pouvoir échapper à ces derniers... Entre situations dangereuses et quiproquos, Karin va évoluer au milieu des serpents et tenter de ce faire une place dans ce monde sans être éclipsée par l'ombre de son père.

j'ai passé un bon moment de lecture avec ce premier tome : c'est drôle, frais et les personnages n'en sont que plus attachants.

Bref, je suis curieuse de découvrir la suite et de voir dans quelles situation Karin va bien pouvoir s'embourber ! ^^
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Un premier tome sympa bourré d'humour sur un thème qui est d'habitude bien plus sérieux. On a encore affaire à un personnage feminin atypique et j'adore ça. J'espère que je serai autant happée sur pour les Carnets de l'apothicaire.
Je continuerai à lire les aventures de cette assassine incomprise !
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