Les gens pensent toujours aux méthodes violentes : le revolver, le couteau ou même le poison. En agissant de la sorte, on est forcé de se faire prendre. Il y a quand même d’autres moyens. (…) Ce qu’il faut, en pareil cas, c’est chercher le point faible de la personne en question et l’atteindre par là. Ces histoires de coups de feu ou de couteau sont bonnes pour les escarpes. Il suffit à une personne vraiment intelligente de faire usage de son cerveau pour pouvoir commettre un crime en toute impunité.
(Nouvelle : Crains la femme avant le serpent)