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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
🎎📚Huitième volet des aventures de Jim Qwilleran et son drogué de chat, Koko.📚🎎


Jim Qwilleran vit paisiblement avec ses deux chats dans la bonne vieille ville de Moose. N'ayant aucun souci d'argent suite à son héritage incroyable, Jim se prélasse en faisant ce que bon lui chante. Ses lubies du moment sont la création d'un nouveau journal où des vraies informations seront ENFIN relatées et la répétition d'une pièce pour l'inauguration du nouveau théâtre de la ville.
Mais voilà, dans cette ville si tranquille, si loin de tout, le crime rode. le couple le plus en vue de la ville en raison de sa fortune est retrouvé assassiné. La police penche pour la théorie du cambriolage... mais notre cher Koko, chat détective à ses heures et accro à la colle semble douter et conduire son maître à remettre cette supposition en doute....


Comme pour les précédents tomes, c'est un vrai plaisir de retrouver les personnages attachants de cette saga. Jim Qwilleran, journaliste à qui la mort semble rodée non loin ; Yom-Yom, petite chatte malicieuse et câline ; et, enfin notre Kao K'o Kung communément connu sous le nom de Koko, chat aristocratique et futé.

Bon, une fois qu'on a dit cela, parlons de cette nouvelle aventure quelque peu tirée par les cheveux. Jim Qwilleran se retrouve confronté à l'assassinat d'un jeune couple apprécié de tous... enfin du point de vue de la richesse et de la notoriété. L'intrigue se développe ou plutôt s'étire sur des rebondissements abracadabrantesques avec les parents du jeune homme qui meurent par crise cardiaque ou suicide (je sais, c'est gai comme ambiance) et, où notre héros se retrouve dans la scène final avec le meurtrier sur le point de le tuer. le seul fil conducteur de cette aventure est la colle sous toutes ses formes qui permet à l'auteure de nous broder un récit psychédélique pour ne pas dire farfelue tant tout cela sent l'artificiel.

Au final, cette série le chat qui n'est pas tant une saga policière. Comme dit lors d'autres critiques, les meurtres sont utilisés comme prétexte au récit, aux anecdotes. le vrai plus de cette série est à rechercher dans la relation entre Jim Qwilleran et ses deux chats. Pour le côté suspens, intensité dramatique, il ne faut pas espérer grand-chose.

Si nous devions résumer, un roman qui se lit sans chichis, sans grande attente, et sans grand besoin d'attention de la part du lecteur. C'est gentil, c'est mimi, mais cela ne va pas plus loin.
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Aaaah, l'intrigue de ce roman, initiée par un double meurtre dramatique, est franchement tirée par les cheveux. le truc, c'est qu'on a tellement l'habitude de ces scénarios alambiqués dans le roman policier, qu'on finit par se laisser facilement gagner par une discutable indulgence à l'égard de tels procédés, indulgence que les auteurs ne méritent pas forcément. Enfin bref, c'est pas très grave, vu que la qualité de l'intrigue policière n'est pas ce qui compte le plus dans un roman de Lilian Jackson Braun ; mais c'est un peu facile.

Du coup, que dire d'autre ? Faute d'une véritable enquête (mais là aussi, on est coutumier du fait), on passe plus de temps à suivre Qwilleran dans ses pérégrinations journalistiques avec bouquiniste et taxidermiste qu'à se soucier de la résolution de l'affaire criminelle. Il y a une légère tentative de l'auteure pour dénoncer les préjugés, qui portent forcément la population à suspecter de vagues délinquants et des personnes de condition modeste plutôt que des bourgeois bien installés, mais ça reste très très gentil... En revanche, j'ai peu goûté qu'on nous fasse passer Polly pour une vieille mégère affreusement possessive, tandis que l'attitude de Qwilleran, qui flirte outrageusement avec une autre femme, est considérée comme allant de soi. Bon, Lilian pense ce qu'elle veut de la fidélité dans le couple, pas de souci là-dessus, mais de là à fustiger les femmes qui n'apprécient pas que leur compagnon se montre volage (et à la vue de tous, qui plus est)... C'est un peu gros. Comme quoi la misogynie n'est pas une affaire réservée aux hommes.

Pour le reste, ben c'est comme d'habitude, d'où la pauvreté de ma critique : ça se lit tranquillement, sans effort, mais, pour ma part, avec moins de plaisir que les romans du début. Ce bouquin-ci manque d'ailleurs d'humour, ce qui explique peut-être mon absence évidente d'enthousiasme.
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A priori, il y a une suite dans ces livres et j'ai attaqué par le 8 ! ce n'est pas très grave puisque je ne compte pas lire les autres livres car je n'ai pas eu de coup de coeur , au contraire ...
Jim Qwilleran est un célibataire riche qui vit avec ses deux siamois dans une petite ville tranquille jusqu'à ce que déroule l'innommable : le meurtre de 2 personnes très connus vers chez eux . Grâce à des indices donnés par ses chats et sa curiosité , il va pouvoir mener l'enquête !
Une lecture pas assez entraînante à mon gout personnel !
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Je ne retiendrai rien de ce livre, à part que le titre français correspond au titre original !
Il me manque des rires, il me manque une écriture surprenante ou magistrale. Ou d'une intrigue particulièrement bouleversante ou inattendue.
Tout est "simple".
Mais alors, autant lire un Agatha Christie, qui campe les personnages de façon plus puissante, ainsi que les atmosphères...
Apparemment c'est une suite, une série autour du personnage et de ses chats, celui-ci ne me donne pas envie d'en connaître plus.
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Jim Qwilleran et ses deux siamois sont de retour pour une nouvelle enquête hors du commun. Dans un petit village où tout peut arriver, où les chats prédisent les événements majeurs de la communauté et où se côtoient des personnages souvent hauts en couleur, un assassinat va faire voler en éclat la douce tranquillité du village.
Un récit sympathique, au titre évocateur, qui prête souvent à sourire et nous entraîne dans des spéculations excentriques. Cependant, et malgré le ton enjoué et des personnages sympathiques, le roman s'achève sur le sentiment d'un dénouement (trop) rapide. Une histoire parfois saugrenue qui ne parvient jamais à garder un suspens bienvenu et se termine sur des réponses un peu tirées par les cheveux. Un roman à découvrir, surtout dans sa première partie, pour ses personnages félins inattendus et son écriture toujours vive et dynamique.
Lien : http://leblogdeyuko.wordpres..
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Koko, le chat siamois de Qwilleran s'intéresse aux livres anciens qui sentent bon la colle. Quel rapport cela peut-il bien avoir avec la mort d'un couple, puis de deux jeunes hommes? Qwilleran va essayer de décrypter le comportement de son chat, afin de résoudre ces affaires de meurtres. Jubilatoire.
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Il faut savoir miauler à temps !

Très rapidement, Jim Qwilleran se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique d'art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire les manchettes de journaux.

Le chat qui lisait à l'envers
Le chat qui flairait l'embrouille
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