AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,42

sur 253 notes
5
21 avis
4
12 avis
3
4 avis
2
0 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Toujours autant de plaisir à retrouver la famille Melzer, ballotée par les vents de la grande histoire et qui nous raconte le côté allemand du conflit qui a embrasé le monde.
Et nous rappelle aussi qu'il n'est pas si facile d'être héroïque et de faire les bons choix, à nous qui jugeons après coup!
Commenter  J’apprécie          10
Augsbourg, 1939, la paix vit ses derniers instants avant l'entrée en guerre de l'Europe, puis du Monde contre l'Allemagne.
Marie et Léo sont partis aux États-Unis. de son côté Paul voit le départ de sa femme comme une trahison. Il se consacre corps et âme à son usine. Mais c'est sans compter sur les nazis, qui progressivement vont prendre possession de l'usine.
Que restera-t-il à la fin du conflit ?

📘MON AVIS : Une nouvelle fois, j'ai écouté ce 6e volet de cette formidable saga qu'est "La Villa aux Étoffes".
Anne Jacobs nous déroule tout au long de ces 6 tomes une formidable fresque familiale et historique se situant de 1913 à 1945. Ainsi, l'autrice nous raconte 2 Guerres Mondiales du point de vue d'une riche famille d'industriel allemande et de leurs domestiques.
Ce qui permet de rappeler que tous les allemands n'étaient pas d'accord avec Hitler et son régime dictatorial. Ce roman met en lumière que la population allemande de l'époque n'avait pas d'autres choix que d'adhérer aux idées fanatiques d'Hitler, de se soumettre pour garder la vie sauve ou de fuir.
Je ne vais pas trop en dire sur ce 6e tome, sauf que c'est mon préféré d'entre tous, surement parce qu'il se déroule durant la 2e Guerre Mondiale, période qui me passionne.
J'ai aimé le relationnel qui s'instaure entre les domestiques et leur maîtres.
Je ne peux que vous recommander cette saga qui permet d'en apprendre davantage sur la domesticité de l'époque et de connaître l'Histoire du point de vue des vaincus. Gros coup de 💜 pour l'intégralité de la saga !
Commenter  J’apprécie          20
Sixième et dernier tome de la villa aux etoffes. J'avais un peu peur du dernier tome avec la seconde guerre mondiale et j'avais peur que l'auteur nous fasse vivre les camps de concentration mais non elle a continué l'histoire des personnages tout en évitant le pire. Superbe fin
Commenter  J’apprécie          30
Résumé:

Dans ce tome 6, le coeur de l'histoire se déroule pendant la 2nde Guerre Mondiale. Chaque personnage tente de survivre comme il peut et va devoir affronter des évènements difficiles.
La solidarité entre la famille Melzer et les domestiques permet d'apporter un peu de douceur pendant cette période sombre de l'histoire.

Pourquoi ce livre:

J'ai été conquise par cette saga dès le premier tome. J'étais à la fois contente de retrouver les personnages, et triste de savoir que j'allais définitivement les quitter.

Mon avis:

Plus d'une année s'est écoulée entre la lecture du tome 5 et du tome 6, et pourtant j'avais l'impression d'avoir quitté les personnages hier.

Comme d'habitude, j'ai passé un agréable moment de lecture et j'ai ressenti une réelle tension quant au sort de certains personnages.

Quelques coïncidences et rencontres fortuites m'ont parues exagérées, mais elles sont parfois nécessaires pour le bon déroulement de l'intrigue.

Le contexte socio-économique est bien dépeint, et permet de s'imprégner de l'ambiance anxiogène de cette époque.

Le tome 6 est une belle conclusion à l'histoire des occupants de la Villa que le lecteur a pu suivre pendant 30 ans. J'ai été heureuse de faire la connaissance de chacun d'eux.
Commenter  J’apprécie          20
Avril 1939. L'industriel allemand, Paul Melzer, rentre de voyage : il est allé à New-York avec son plus jeune fils (Kurt) âgé de treize ans et sa fille Doroty (« Dodo ») dans le but de visiter son épouse (Marie) et leur fils ainé (Leo) jumeau de Dodo. le garçon de vingt-trois ans (pianiste) est parti s'installer en Amérique juste avant la guerre, avec sa mère dont l'aïeule était juive … Paul Melzer, de son côté, continue à vivre à Augsbourg pour y diriger son usine de textile.

La montée du nazisme puis la déclaration d'un conflit mondial va rapidement diviser les membres de la famille. Alors que Sebastian (le mari d'Elisabeth, la soeur de Paul) a été déporté à Dachau pour crime politique (il est communiste) leur fils ainé (Johan) est fier de porter son uniforme de la jeunesse hitlérienne … Alors que Doroty imaginait poursuivre des études aéronautiques en toute tranquillité à Munich, son statut de « métisse juive » risque de bouleverser quelque peu ses plans …

Chacun devra survivre à cette nouvelle épreuve. Marie à New-York devra prouver qu'elle n'est pas une espionne allemande. Leo s'engagera dans l'armée américaine et se retrouvera face à des soldats de son pays d'origine …

À la villa aux Étoffes, on ne peut pas occulter la présence des domestiques, qui partagent fidèlement les privations de leurs patrons. Il sont tous solidaires et forment une grande « famille » (Hanna, Augusta, Else, Liesel, Christian, Humbert ou encore Mme Brunnenmayer, sans oublier la petite Anne-Marie)

Sixième – et dernier – opus de cette fort passionnante (et touchante) saga allemande, aux multiples personnages aussi attachants les uns que les autres. Rien n'est tout noir ou tout blanc dans cette intrigue. Ils vont me manquer, je crois !
Commenter  J’apprécie          100
Et voilà, la fin de cette superbe saga en 6 volumes n'a pas démérité. On retrouve avec plaisir les différents protagonistes à l'époque de la 2nd guerre mondiale. Les éléments décrivant cette période avec le positionnement parfois impossible qu'avaient à trouver les "civils" face à cette dictature bestiale et nauséabonde qu'est le nazisme sont très bien décrits. le style est toujours aussi fluide et l'histoire de cette famille toujours aussi prenante. le final est peut-être un peu trop "rapide" et donc un peu décevant, mais, d'un autre côté, il était difficile d'envisager une autre fin et on s'en contente quand même parfaitement. Vraiment un grand plaisir que la lecture de ces 6 tomes, même si le 4ème est un peu moins bon que les autres.
Commenter  J’apprécie          20
1939, la guerre est déclarée. Et si Marie et Léo, exilés en Amérique, semblent à l'abri, ce n'est pas le cas de la famille Melzer à la villa.
Paul va devoir céder les rênes de son usine aux nazis, les bombes éclatent à Augsbourg et les fils d'Élizabeth et Paul se voient enrôler à leur tour.

Les lettres envoyées au début de la guerre s'espacent jusqu'à être interdites. Paul, sans nouvelles de Marie, doute de son couple, Elizabeth espère retrouver Sébastien et on prie pour Dodo et les autres membres de la famille engagés dans cette guerre.

Une famille qui une fois encore s'étend aux domestiques. Christian ainsi que deux des fils d'Augusta sont également enrôlés.
Alors dans ces conditions, on se soutient, maîtres et domestiques, on fait front ensemble, on réunit les tickets de rationnement, on cache un juif. Comme le dit si bien Humbert, dans cette maison on partage avec les maîtres les bons moments comme les mauvais.

J'ai apprécié découvrir la guerre sur le territoire allemand, fait assez rare pour moi. Et même si on se doute que tous n'étaient pas nazis, savaient-ils réellement jusqu'où allaient les horreurs mises en place par Hitler ?

Encore un énorme coup de coeur pour moi, les personnages sont tellement touchants. J'ai été émue par la fin. Et maintenant, que deviennent-ils une fois le livre refermé ? Une chose est sûre, ils vont réellement me manquer.

Note : 20/20
https://labibliojoe.blogspot.com/2024/04/la-villa-aux-etoffes-tome-6-les-adieux.html
Commenter  J’apprécie          20
1939, début de la deuxième guerre mondiale, nous retrouvons Marie et Leo à New-York, qui se sont bien adaptés à leur nouvelle vie.
A la villa aux étoffes, la vie devient compliquée, Paul ne peut plus diriger son entreprise comme il le souhaite, Ernst von Klippstein est toujours dans les parages pour s'assurer que tout est fait au nom du furrer. Les employés de la Villa doivent faire avec le rationnement et le souvenir encore douloureux de la dernière guerre. Puis pour tous les enfants du domaine, c'est le début du cauchemar, ils sont tous appelés sous les drapeaux.
Personne n'en ressortira indemne.

Pour Paul et Marie, l'heure du bilan a sonné, Durant ces 9 ans de séparation, sauront-ils s'attendre et se retrouver ??

J'ai adoré retrouver la Villa aux Étoffes ainsi que tous ces habitants. J'ai un peu l'impression de retrouver de vieux amis.
J'ai dévoré ce livre en quelques jours avec beaucoup de plaisir. Même si je dois avouer que la fin m'a un peu déçue. Je suis déçue de Paul, un peu comme dans tous les livres précédents et je trouve la fin pas très crédible et un peu agaçante. Je m'attendais à plus, à mieux, pour la conclusion.


J'ai beaucoup aimé cette saga, découvrir les personnages sur plus de 30 ans, je me suis beaucoup attaché à eux.
J'ai aimé lire une saga qui parle des deux guerres, mais qui se passe pour une fois, en Allemagne. Je trouve tout de même que le rôle de l'allemagne dans ces conflits n'est pas à la juste mesure de ce qu'il c'est réellement passé, c'est un peu superficiel. J'ai tout de même apprécié le fait que l'auteur attache plus d'importance aux relations et à l'évolution des personnages qu'aux horreurs de la guerre. C'est différent des livres du même genre.
Une saga sympathique que je recommande.

Commenter  J’apprécie          20
Puisqu'il s'agit du sixième et dernier tome de la saga, mon avis ne sera pas détaillé et portera sur l'ensemble de l'histoire afin d'éviter tout spoil. J'ai eu un énorme coup de coeur pour cette fresque familiale passionnante et exceptionnelle.

La plume d'Anne Jacobs est immersive et extrêmement qualitative. Elle maitrise l'art d'embarquer son lecteur au coeur de son récit. Chaque tome apporte surprises, rebondissements et faits historiques. Ce dernier volet, se déroulant en grande partie durant la seconde guerre mondiale, apporte son lot de pertes et de turbulences.

Les personnages sont très bien travaillés, tant du côté des domestiques que de la famille Melzer. Mon coup de coeur revient à Marie, cette femme courageuse et loyale dont l'évolution m'a énormément touchée.

Une saga à l'image de la série « Downton Abbey » à savourer au coin du feu, une tasse de thé fumant à la main. C'est le coeur serré que je quitte la famille Melzer, d'autant plus qu'ils m'ont accompagné durant plusieurs années mais nullement déçue par cette saga que j'ai savourée jusqu'au dernier chapitre.
Commenter  J’apprécie          20
Mon tome préféré ! J ai laissé traîner un peu cette lecture je n avais pas envie de quitter ses personnages. Chaque chapitre donne des nouvelles d un personnage durant cette affreuse et interminable guerre. J avais hâte de découvrir le dénouement. C est vraiment une super saga familiale.
Commenter  J’apprécie          20




Lecteurs (735) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3247 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}