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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Dernier tome de la saga La villa aux étoffes que j'ai commencé en Aout 2022. J'attendais ce tome avec impatiente pour retrouver la villa aux étoffes, la famille Melzer, les domestiques et leurs proches.

C'est toujours difficile pour moi de lire des romans qui se passent pendant la seconde guerre mondiale même si j'essaye de changer.
On va se retrouver en plein seconde guerre mondiale en Allemagne et aux Etats-Unis et je trouve ça intéressant. Je suis principalement habitué à l'avis Français et Anglais.

Le coeur lourd, je referme ce livre et dit au revoir à la famille MELZER. Je recommande sans hésitation cette saga.

Je préfère ne pas mettre le résumé, je l'ai lu avant et je le regrette. Il en dit trop à mon avis sur les événements.
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Si j'ai fait durer ma lecture les premiers chapitres, l'intrigue était tellement dense et prenante que j'ai eu du mal à poser mon livre ! Par contre, ne lisez surtout pas le résumé au dos du livre car il dévoile des éléments qui n'arrivent qu'au dernier quart du roman…

Dans ce tome, la seconde guerre mondiale a commencé et nos personnages sont aux prises avec les privations, les menaces du gouvernement, les raids aériens, l'absence de nouvelles de certains proches se trouvant au front ou dans les camps… Il se passe beaucoup de choses dans ce dernier tome et j'ai apprécié la manière avec laquelle Anne Jacobs nous informe de ce qui se passait en Allemagne à cette époque. Ses recherches historiques s'insèrent naturellement dans le récit et c'est aussi intéressant que révoltant de lire les horreurs commises durant cette guerre et l'enfer vécu par tant de personnes.

On suit donc différents personnages selon les chapitres, car certains ne se trouvent plus à la villa aux étoffes et cela rend le récit vif et captivant. Tout le monde a vieilli, les enfants ont grandi, et on est tristes pour certains, tandis que d'autres sont détestables ou nous agacent. Mention spéciale pour Paul, que j'ai eu envie de secouer tout le long du roman ! Mais l'intrigue est telle que son attitude peut se comprendre, même si ça énerve ^^

La fin ne m'a pas déçue même si elle donne l'impression que la saga pourrait continuer avec un tome de plus. Quoi qu'il en soit, j'avoue avoir été émue, malgré un point qui m'a semblé se régler rapidement même si la manière dont l'autrice tourne les choses est assez logique.

J'ai passé de très beaux moments de lecture en lisant cette saga familiale historique qui m'a rappelé les belles heures passées à regarder Downton Abbey. Sa galerie de personnages divers et son contexte historique soigné m'ont enchantée du début à la fin et je ne peux que vous recommander chaudement de découvrir La Villa aux étoffes !
Lien : https://lalectriceenrobejaun..
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Aujourd'hui, je viens vous parler du sixième et dernier tome de la Saga La Villa aux étoffes, Les adieux à la Villa aux étoffes d'Anne Jacobs.

Comment parler d'un sixième tome d'une saga sans savoir où chacun en est dans la lecture de celle-ci ou même s'il connaît cette saga ? C'est toujours difficile. Mon avis sera donc assez bref pour ne pas trop en dire.

Ce tome réunit encore une fois tout ce que j'aime.
Des personnages touchants que l'on suit depuis quelques décennies. On a vu les enfants naître puis grandir et devenir des adultes menant chacun une vie trépidante.
Une famille soudée mais également des domestiques exemplaires qui s'intéressent plus au domaine qu'à l'argent.

Le côté historique du point de vue allemand mais aussi de celui américain m'a énormément intéressé.

J'ai adoré cette saga et son petit côté Dowtown Abbey. Ses personnages vont me manquer mais je suis contente de ce dernier tome qui m'a beaucoup plu ❤️

Vous avez lu cette saga ? Si oui, vous en êtes à quel tome ?
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Coup de coeur

Merci Mme Jacobs pour ce dernier tome, pour cette fin de saga.
On ne s ennuie pas, on passe de chapitres en chapitres, de Marie et Leo aux Etats Unis, à Paul ses soeurs, ses nièces à la ville, à Dodo étudiante et biensur aux domestiques de la villa.
Personne n est épargne par les prémices de la guerre puis par la guerre elle même. Les combats, les blessés, les disparitions, les privations mais aussi la vie qui continue.
Très intéressant de voir le côté en Allemagne de la guerre, car au final, dans une guerre, peut importe le camps, ce sont autant d hommes de femmes et d enfants qui souffrent.

Adieux la villa aux étoffes, merci pour cette belle saga que je recommande tant de fois !
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SAGA FAMILIALE

Clap de fin pour ce sixième et dernier tome de cette saga familiale !

Un roman historique qui reprend les faits de la seconde guerre mondiale en se plaçant du côté des Allemands. Il est intéressant de voir comment chaque personnage se situe par rapport à la montée du Nazisme en Allemagne puis leur position prise dans cette guerre, reflet de la complexité politique de l'époque.
Une saga familiale riche en personnages, rebondissements.

Une lecture lente et attachante, on découvre petit à petit l'histoire de cette famille.
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LES ADIEUX À LA VILLA AUX ÉTOFFES d'Anne Jacobs chez @editionscharleston

Je referme ce dernier tome de la saga avec les larmes ! Tant d'émotions m'ont assaillies durant ces 6 tomes !
Ce dernier se passe durant la seconde guerre mondiale à Augsbourg, la plume de l'autrice est fluide et addictive.
J'ai tant aimé la famille Melzer ainsi que leurs domestiques, je me suis attachée à eux et à cette formidable saga historique et familiale exceptionnelle.
Conquise, émue, la villa aux étoffes, je m'en souviendrai toujours.
Véritable coup de coeur et tourbillon de sentiments sont à prévoir si vous lisez cette saga !
Hâte de découvrir la nouvelle saga de l'autrice dont le premier tome sort en 2024 : « Le manoir oublié » Un manoir, une famille et un destin dramatique dans la tourmente de l'histoire...
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Les adieux à la Villa aux Étoffes

Saga doudou entre les sagas, personnages chers, que ce soit du côté des domestiques ou de la famille Melzer... La Villa aux Etoffes n'a eu de cesse de me faire voyager, rêver, trembler, pleurer depuis ses débuts. Mais voilà, toutes les bonnes choses ont une fin, et il est maintenant temps de dire aurevoir à cette série.

Dans ce tome, on retrouve les mêmes ingrédients que pour les tomes précédents. Marie est installée avec Léo aux Etats-Unis depuis plusieurs années, Paul, Dodo et Kurt sont restés à Augsbourg avec le reste de la famille Melzer. La seconde guerre mondiale éclate, l'Allemagne vit ses heures les plus sombres. Quel avenir y a-t-il pour la famille Melzer, pour l'usine textile familiale ? Marie et Paul trouveront-ils le moyen de se retrouver malgré la distance et les années qui les séparent désormais ?

C'est avec beaucoup d'émotion que j'ai dévoré ce dernier tome de la saga. Entre envie furieuse de savoir ce qu'il allait advenir de mes personnages préférés et envie de ne pas terminer, pour pouvoir encore cheminer un peu aux côtés de ces personnages, dans cette ambiance que j'ai apprécié tout au long de mes lectures.

Je me demandais quel serait le traitement réservé à la seconde guerre mondiale et au régime nazi. L'autrice ne s'étend pas particulièrement sur les camps, on en parle mais sans détails trop macabres. J'ai beaucoup aimé cette lecture de la seconde guerre mondiale du côté de la population allemande.

Côté américain, j'ai également apprécié la découverte du traitement des allemands émigrés aux Etats-Unis que je ne connaissais pas du tout.

Le roman s'enchaîne plutôt bien, il y a finalement très peu de temps morts et c'est avec un mélange de joie et de tristesse que j'ai refermé cet ultime tome de cette belle et longue saga.

J'ai d'ores et déjà hâte de découvrir la prochaine saga de l'autrice qui sortira aux éditions Charleston l'an prochain !
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J'attendais la sortie de ce tome 6 avec impatience et je l'ai même laissé un peu dans ma PAL, parce que je savais que c'était le dernier et que ça allait être difficile de laisser partir la famille Melzer à laquelle je me suis beaucoup attachée.

Cette fois, Anne Jacobs nous embarque dans la drôle de guerre, en 1939. Marie est déjà aux Etats-Unis, elle a eu raison de fuir pourtant Paul n'est pas de cet avis, il pense que même si elle est juive elle ne craint rien puisqu'elle est mariée à un Aryen. Pourtant les arrestations de juifs commencent et les lois anti-juives s'intensifient. Paul doit continuer à faire tourner l'usine et tenter d'oublier Marie qu'il a pourtant revue puisqu'il est allé lui rendre visite à New-York.


Sa femme semble s'être parfaitement intégrée à sa vie Américaine, elle a réussi professionnellement en ouvrant sa boutique et a beaucoup de clients fortunés. Elle a été aidée par Karl Friedländer qui a pris Marie sous son aile, mais Paul n'aime pas cet homme qu'il soupçonne d'être épris de Marie, il a peur que son épouse finisse par répondre aux attentes de Karl. Il ne lui vient pas à l'idée que pour Marie, Karl est juste un ami précieux. Léo a lui aussi trouvé sa place, il compose et se montre très doué.

La vie suit son cours à la villa aux Etoffes et quel bonheur de retrouver cet endroit. les tickets de rationnement font leur apparition, c'est le système d'qui prédomine mais on peut compter sur la Brunnenmayer, cuisinière en chef, pour faire des miracles ! On retrouve avec plaisir les conciliabules des domestiques qui aiment se réunir dans la cuisine pour un petit café et aussi raconter ce qu'ils ont entendu des maîtres de la maison.

L'usine textile est convoitée par les Allemands et c'est ce cher Ernst von Klippstein qui va en prendre la direction. Il était, autrefois, un excellent collaborateur, il s'avère être un véritable fourbe. Il est au parti nazi et a le bras long, Paul, assisté de Henni, sa nièce, doit continuellement être sur ses gardes.

Chacun fait sa route comme il le peut, Paul a sur ses épaules la continuité de l'usine, Marie a réussi à la garder à flot durant la première guerre, c'est à lui maintenant d'en assurer la pérennité, mais comment faire quand les directives viennent d'un parti de dictature et qu'il n'a pas les coudées franches. Paul semble perdu sans Marie, pourtant il n'hésite pas à se lier avec sa secrétaire, Hilde, une jeune femme qui est aux petits soins pour lui et là, l'histoire prend une tournure qui me fait bondir, je ne comprends pas Paul. de l'autre côté de l'Atlantique, son épouse pense continuellement à lui et attend la fin de la guerre pour le retrouver et rentrer en Allemagne, parce que même si elle s'est fait une place au soleil à New-York, elle n'oublie pas son Allemagne natale et sa famille. Paul pense bêtement que Marie a refait sa vie avec Karl.

La villa reste droite, les domestiques restent soudés à leur maître, même si la vie est plus difficile, même si les bombardements s'intensifient et rasent totalement l'usine. Quand une aile de la villa est détruite, tout le monde se sert les coudes.

Il y a les mauvaises nouvelles qui arrivent, quand Liesel se retrouve veuve, quand l'ami de Dodo est porté disparu, quand Johann, le fils d'Elisabeth rentre aux jeunesses Hitlériennes et qu'il ne jure que par l'idéologie nazie. Il y a les petits bonheurs qui se savourent quand Sébastian, le mari d'Elisabeth qui était prisonnier, rentre à la villa. Il y a des petites victoires, quand Henni qui seconde Paul, son oncle, à l'usine tient habilement tête aux nazis, quand le rêve de Dodo se réalise et qu'elle peut enfin piloter. Tout cela donne un peu d'oxygène et une touche d'espoir, parce c'est ce qu'on attend dans ce roman, on rêve que tout redevienne comme avant et que la villa retrouve ses fastes d'antan.


Ce qui est intéressant c'est de vivre la guerre du côté Allemand et se rendre compte que les civils ont la même préoccupation qu'avaient les Français, se protéger, survivre, subir le rationnement et se contenter d'une soupe avec quelques rutabagas et du pain noir. A la villa aux Etoffes personne n'encense Hitler, on vit au rythme des informations et il est impossible de croire ce qu'il se passe réellement dans les camps d'extermination. Les domestiques n'hésiteront pas à accueillir un jeune juif et à le cacher.

Qu'est ce que j'aime cette saga, j'aime découvrir l'univers de cette villa qui bruisse de mots et de maux, j'adore écouter les conversations des uns et des autres et voir leurs réactions. j'aime leurs petites histoire et leurs avis qui divergent, il règne une sorte de solidarité même si parfois les avis divergent complètement, la raison finit par l'emporter.

Même si Marie est loin, elle reste le personnage central du roman avec Paul. Les domestiques ne l'oublient pas et Kitty, sa belle soeur, reste sa plus grande défenseuse. Dodo et Kurt attendent avec impatience le retour de leur mère et de leur frère Léo. La lectrice que je suis aussi et j'avoue être bien contrariée par l'attitude de Paul, pire, je commence un peu à paniquer, je vois la fin de la guerre arriver et je me demande comment tout cela pourra se terminer. Marie est vraiment un modèle, une femme forte et d'une fidélité sans faille. Elle a toujours été courageuse et une nouvelle fois, dans ce roman, elle se montre à la hauteur. Paul, comme d'habitude, a quelques faiblesses qui agacent et pourtant on finit par lui pardonner.

J'ai passé encore un merveilleux moment de lecture, riche en rebondissements et si j'avais hâte de connaître la fin, je n'avais pas envie que l'histoire se termine. Je ne serais pas contre un petit tome 7, histoire de voir ce que la famille est devenue.

C'est une excellente saga, qui nous tient en haleine du début jusqu'à la fin et qui mélange habilement faits historiques et fiction, cette famille Melzer semble exister pour de vrai ! Gros coup de coeur pour ce dernier tome, mais il me semble que c'est un coup de coeur pour la totalité des romans.

Lien : https://jaimelivreblog.wordp..
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Clap de fin pour cette belle saga qui nous emmène en Allemagne du début du XXème siècle jusqu'à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.
Difficile de vous parler de ce dernier tome sans en révéler d'avantage. Alors plongez-vous dans cette formidable aventure. J'ai dévoré chaque tome les uns après les autres, tous aussi prenant.
Une magnifique oeuvre dont il est dur de quitter les personnages à la fin de ce dernier tome.
Bravo à l'autrice pour cette lecture historique passionnante que je ne peux que vous recommander.
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Quel plaisir de retrouver avec ce tome 6 tous les personnages de cette saga inoubliable qu'est La villa aux étoffes. Encore une fois je n'ai pas vu passer les 650 pages et j'ai suivi avec un intérêt encore plus grand les événements auxquels ont dû se confronter toutes la famille Melzer et ses domestiques. En effet le roman se situe pendant la deuxième guerre mondiale mais bien entendu vue du côté allemand. Et l'on se rend compte que pour certains Allemands la période tragique du nazisme a été une souffrance profonde, écartelés qu'ils étaient entre la fidélité à leur patrie et la clairvoyance qu'ils avaient de cette monstruosité engendrée par leur dirigeants. C'est le tome que j'ai préféré, tous les personnages étant confrontés à leur conscience devant le tourbillon tragique de la guerre. L'auteur a su décrire tout en nuances l'attitude de chacun. Rien n'est ni tout blanc ni tous gris. Bref une belle saga qui se clôt, que j'ai refermée à regret et que je ne suis pas prête d'oublier.
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