Comme la poésie, la danse est louvoyante approche, arabesques autour d'un point brûlant : soi-même et, à travers soi, l'univers entier. Elle peut être rituelle, fervente, à l'écoute, à l'orée du réel et de l'irréel. Cette Danse de l'orée, qui obéit à la musique, devient un itinéraire, pour peu que l'on suive un instinct profond tendant à la légèreté. Pourtant, la légèreté, qui est celle des jeunes filles dans La suite berbère, n'est définitivement acquise qu'après l... >Voir plus