C'est en lisant ce matin une critique de BRIGITTELASCOMBE, sur la biographie de
Frida Khalo, de Gérard de Cortanze, que je me suis souvenu de celle que j'avais lu moi-même réalisée par
Rauda Jamis.
Je me rappelle que j'avais été à l'époque émerveillé par le personnage de Frida.
En lisant l'histoire de sa vie, j'avais l'impression de me trouver en face d'une Déesse. D'un être mythologique.
Rauda Jamis s'étant beaucoup plus penché sur le personnage et l'histoire de sa vie que sur l'artiste et son oeuvre.
C'est en lisant de tels récits que je me suis rendu compte de la grandeur de la femme, bien au dessus de celle de l'homme.
L'égocentrisme étant chez ce dernier une tare, une montagne de laquelle il ne viendra jamais au bout.
Ici, il est question d'amour inconditionnel, de noblesse, de force de convictions, de souffrance, de douleurs physiques et psychiques, de fragilité, mais le tout, dans la plus inimaginable des dignités.
Une femme pourra toujours vivre et rester droite en l'absence de l'homme.
Un homme sans une femme, ne sera jamais qu'un adolescent attardé, et peu importe l'étendue de sa gloire.