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Citations sur Diane Silver, tome 1 : Dans la tête, le venin (63)

Je joue les crétins avec tant de naturel que ça finit par n'inquiéter.( P 171)
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Un ange qui s'émerveillait , riait de tout , Un ange qui transformait la vie en miracle. Un moineau qui se posait sur un appui de fenêtre. Un pétale de fleur qui atterrissait à ces pieds? Une mouche qui envahissait leur cuisine et ses hurlements pour la faire ressortir avant que sa mère ne l'écrase. Un ange qui ne voyait que la vie , que la vie rendait folle de joie. Un ange dont Diane avait dû identifier les morceaux , a là morgue.(P49)
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L'enfer Faust avait raison. L'enfer, c'est ici et maintenant.Le pire n'existe qu'en nous.Et pourtant...la terre est un Paradis. Nous n'en avons pas voulu.Nous avons avons détruit, avili tout ce que nous^pouvions; L'Homo Sapiens va disparaitre. Bon débarras !
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C'est mon premier roman d'Andrea H. Japp que j'ai choisi au hasard pour me faire une idée de cette auteure.
Les polars sont mes livres-récréations. Je suis assez bon public avec eux et moins exigeante qu'avec les livres de littérature générale ou de science-fiction. Il me suffit que l'intrigue soit bien menée avec beaucoup de suspense. Contrairement à certains livres, parfois un peu difficiles, que je lis en alternance avec d'autres, les polars me reposent la tête. C'est curieux à dire puisqu'ils narrent parfois des histoires atroces de tueurs en série qui torturent leurs victimes comme c'est le cas ici.
Il faut prendre en compte le fait que de telles histoires ont été complétement banalisées par toutes les séries policières qu'on peut voir à la télé. Et aussi que c'est le suspense qui importe, pas les crimes. Bref, j'ai dévoré ce premier tome consacré à la profileuse Diane Silver et le livre refermé, me suis empressée d'ouvrir le deuxième tome.
Ce que j'ai aimé :
- la personnalité de Diane, femme ravagée par le meurtre de sa petite Leonor, alcoolique, dure, mais aussi douée d'une intuition hors-norme.
- le tournant que prend le roman à la fin où deux personnages clés n'en font plus qu'un.
- l'originalité du synopsis.
Ce que j'ai moins aimé :
- la présence en filigrane, limite ectoplasmes, des deux agents du FBI censés aider Diane, mais je suppose qu'ils vont prendre plus de consistance par la suite.
- le deuxième personnage principal, Nathan, dont les différentes actions apparaissent encore mal reliées entre elles à la fin du livre et qui me paraît toujours douteux bien que l'auteure ait cherché à nous le rendre sympathique. Mais là aussi, ce n'est que le premier tome sur les trois. La suite devrait nous affranchir à ce propos.
À suivre...
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p.122: "Elle alluma une cogarette, souffla sa fumée sur l'écran parce qu'elle aimait la voir s'écraser sur la surface de verre et s'enfuir ensuite en ruisseaux le long des bords. Elle hésita. Yves était la seule personne à qui elle puisse dire la vérité. Cela étant, "dire la vérité" n'est parfois qu'un confort pour soi-même. Vider sa poubelle morale sur l'autre pour s'en décharger. Il faut de temps en temps aimer assez les gens pour leur mentir, se débrouiller avec sa culpabilité et ne pas s'en débarasser à mondre coût. Avoeur, c'est absoudre. C'est également parfois polluer l'autre avec des regrets, des souvenirs qui ne lui appartiennent pas et qu'il n'a aucune envie de suppoter."
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Elle n'allait pas en faire un plat parce qu'un touriste avait eu l'outrecuidance de lui adresser la parole. (P 32,)
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p.120:"Humain? Tout dépend de la définition, chéri. Humain, ça se mérite, ça se gagne. On n'est pas humain au simple prétexte que l'on marche sur 2 pattes au lieu de 4 et qu'on sait allumer un poste sde tv , décapsuler une cannette de bière ou répondre au téléphone. On est humain parce qu'on le choisit et qu'on tracvaille à le devenir et à le rester. C'est du moins MA définition."
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Il en voulait à Diane de ne pas composer, de se foutre de tout ou presque.

Fallait-il avoir perdu un enfant pour résister à tout, parce que plus rien n'avait ensuite véritablement d'importance ?
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L'enfer. Faust avait raison. L'enfer , c'est ici et maintenant. Le pire n'existe qu'en nous. Et pourtant........La terre est un paradis. (P61)
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Tant d'adolescents passent par la phase difficile , mettant leurs parents à rude épreuve. Le mal-être de sa fille se traduisait par un égocentrisme triomphant et une alternance d'épisodes dépressifs ou odieux. Il suffisait d'attendre , la crise passerait. Elle en riraient dans quelques années.( P(39)
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