Citations sur Gloria Parker-Simmons, tome 1 : La parabole du tueur (22)
Cagney était passé maître dans l’art de déchiffrer les pulsations, les contractions et les dilatations de l’iris de ses vis-à-vis. On peut tout lire dans les contractions involontaires d’un iris, l’amour, la peur, le désir, le mensonge, l’envie de tuer.
Les gens sont très chatouilleux dès qu’on demande l’autorisation de fouiller dans un dossier médical ou une déclaration d’impôts.
C’est la proie qui fixe les règles de la chasse, les données du problème en quelque sorte, pas le chasseur. C’est la même chose pour le tueur. Ce n’est pas lui qui fixe les données du meurtre, même si c’est lui qui tue. Il faut qu’il trouve, qu’il voit sa victime d’abord, comme vous devez voir votre proie.
On tourne en rond et si ce n’est pas bon pour nous, c’est très mauvais pour les femmes qui vont suivre.
Si vous ne trouvez pas la solution d’un problème bien posé, ce n’est pas la faute du problème. C’est la conséquence de votre incompétence personnelle et de votre désir d’avoir raison alors que vous avez tort.
Ce n’est pas parce que vous pataugez qu’il faut trouver un bouc émissaire !
Si vous ne sentez pas l’importance de ce qu’ils ont pensé, qu’ils parviennent à vous convaincre ou pas, c’est que vous ne serez jamais mathématicienne. Vous appliquerez des théorèmes et ferez du calcul, c’est tout.
Heureux celui qui pénètre la cause secrète des choses.
L’important ce n’est pas la particularité ou la nouveauté du problème posé, c’est son essence, sa nature caractéristique. L’important, c’est de savoir où est la question, ce qu’elle est, ce ne sont ni les chiffres ni même les formulations du problème. La solution découle obligatoirement de l’essence du problème.
Il vaut mieux faire envie que pitié et abondance de biens ne nuit pas.