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Citations sur Daisy Jones & The Six (128)

La passion, c'est... C'est un incendie. Et c'est très bien, les incendies. Mais on est surtout constitué d'eau. C'est l'eau qui nous maintient en vie. On a besoin d'eau pour survivre. Ma famille était mon eau. J'ai choisi l'eau. Je choisirai toujours l'eau. Et je voulais que Daisy trouve la sienne. Parce que je ne pouvais pas être son eau.
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Quand un homme est en train de menacer une femme, ça m’étonnerait qu’il passe en revue toutes les mauvaises décisions qui ont fait de lui le connard qu’il est devenu. Il faudrait pourtant.
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Je crois qu'il faut avoir confiance en quelqu'un avant même qu'il le mérite. Autrement, ce n'est pas de la confiance, tu ne crois pas?
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Les hommes pensent souvent qu’ils méritent une médaille quand ils traitent les femmes comme des êtres humains.
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Ta vie ne tourne pas autour de moi, ma chérie : c’est ma vie qui tourne autour de toi.
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Un tas d'adolescentes voulaient être comme moi à la fin des années 1970.J'en étais tout à fait consciente. Mais si les gens croyaient que j'avais tout, c'était uniquement parce que j'avais toutes les choses qu'on pouvait voir.
Pour le reste, je n'avais rien du tout.
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Daisy : Les drogues ne te paraissent plus très sexy quand tu te réveilles tellement souvent avec du sang séché sous le nez, que le nettoyer fait partie de ta routine matinale au même titre que te brosser les dents. Ou quand tu as sans arrêts de nouveaux hématomes et que tu ne sais pas pourquoi. Ou quand tu as des noeuds dans les cheveux parce que ça fait des semaines que tu as oublié de les démêler.
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A la première écoute, c'est un album qui permet de passer du bon temps. On peut le passer pendant une fête. On peut se défoncer dessus. On peut l'écouter en piquant une pointe de vitesse sur l'autoroute.
Mais après, en écoutant les paroles, on se rend compte que c'est aussi un album sur lequel on peut pleurer. Et également un album sur lequel on peut s'envoyer en l'air.
En 1978, Aurora pouvait être la bande originale de tous les moments de votre vie.
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Je raffolais de la voix de Billy. Elle avait quelque chose de très plaintif, d'hyper vulnérable. Je me suis dis C'est la voix d'un homme qui en a vu de toutes les couleurs. (...) Je n'avais pas ça. J'étais un jean tout neuf et Billy était un fute porté depuis des années.
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La plupart du temps, le groupe était une méritocratie, même s'il fonctionnait comme une dictature. Billy n'était pas le patron parce que c'était un connard, c'était le patron parce que c'était le plus talentueux de nous tous.
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