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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ce roman nous plonge au coeur d'une famille qui a engagé un bouleversement de son quotidien pour essayer de repartir à zéro suite à des événements difficiles. Ce changement de décor et de vie apporte des modifications dans la manière de vivre mais a aussi des effets imprévisibles qui vont chambouler le foyer.

Les péripéties vécues par les acteurs sont proches de la réalité actuelle. A travers leur destin, on assiste à ces situations auxquelles tout le monde pourrait être confrontés et auxquelles on ne sait pas comment on réagirait. L'écriture délicate de Carine Joaquim permet au lecteur d'entrer en empathie avec les protagonistes. On vit les drames et on subit les pressions à leurs côtés. Comme l'autrice ne prend jamais parti et qu'elle nous place dans leurs peaux, on arrive à trouver une justification à leurs comportements parfois inappropriés. On a l'impression qu'ils font ce qui est nécessaire.

Seul petit bémol à mon goût, le texte aborde peut-être un peu trop de sujets tabous. Être frappé en même temps par l'adultère, l'anorexie, le harcèlement scolaire, la cause des migrants et d'autres drames que je ne peux dévoiler, cela fait beaucoup pour une seule famille. En conséquence, les thèmes pourtant forts se retrouvent un peu délités dans cette courte histoire. Mais ne vous laissez pas déstabiliser par mes petits reproches parce que ce premier roman mérite d'être découvert.

Dans la mesure où l'on entre dans l'intime des personnages, les émotions sont au rendez-vous. L'autrice est toujours juste dans son approche du délitement de la famille et des tragédies personnelles. J'ai été troublé par cette lecture extrêmement touchante. Elle a déclenché en moi une multitude de sentiments contradictoires. Carine Joaquim a réussi sa première fois et nous livre un très beau texte sur la complexité de l'être humain, qui saura, j'en suis sûr, faire vibrer vos cordes sensibles !
Lien : http://leslivresdek79.com/20..
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L'auteure nous entraîne ici dans un drame familial et sociétal. Elisabeth, Stéphane et Maëva leur fille pensent prendre un nouveau départ après un déménagement. Une jeune fille en pleine adolescence, une femme ni heureuse ni malheureuse et enfin le mari qui ne sait trouver sa place. Des sujets divers sont traités dans ce titre que l'on pourrait trouver dans n'importe quelle famille. Les thèmes abordés autour de cette famille vont de la trahison, la somatisation, la différence, l'immigration, la sexualité, la natalité et quelques autres encore.

Effectivement notre corps nous parle, mais sait-on l'écouter! C'est en effet pour moi le sujet qui prime dans ce roman. Ce que nous occultons ressort par notre corps quelques fois… et si le corps ne parle pas, tout peut partir en vrille psychologiquement. Quand la soupape explose les limites de nos réactions franchissent alors l'impensable.

À vous de découvrir où l'auteure a voulu nous emmener si joliment, avec une écriture fluide et captivante. Quelques questionnements sur nos vies de tous les jours, nos réactions, notre compréhension de l'autre, nos choix!

L'auteure met fin à ce texte avec "le" sujet tabou et incompréhensible pour "certains"! L'aurez-vous vu venir? Une chouette couverture pour agrémenter des sujets singuliers tout à fait en accord avec le récit. Une belle lecture réaliste, émouvante et dramatique à la fois.

Lien : https://passionlectureannick..
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Chronique d'un drame prévisible mais invisible : “Nos corps étrangers” de Carine Joaquim, paru ce 07 janvier 2021 à La Manufacture de Livres.

Le pitch : “Son avenir ne ressemblait en rien à la vie idyllique qu'il avait dépeinte à sa femme et à sa fille lorsqu'il avait évoqué, pour la première fois, la possibilité de déménager. Car c'était son idée à lui, la réparation qu'il proposait à Elisabeth pour effacer les fautes commises et repartir sur de nouvelles bases : une belle et grande maison, entourée d'un terrain verdoyant, avec une dépendance au fond du jardin qui servirait d'atelier à Élisabeth, le tout pour un prix très raisonnable. Elle s'était laissé séduire, ou elle avait fait semblant, mais ils avaient voulu y croire l'un et l'autre.” Lorsqu'Elisabeth et Stéphane quittent Paris pour s'installer en province avec leur fille Maëva, c'est pour offrir une chance à leur famille de démarrer une nouvelle vie, sereine, heureuse et épanouie… Mais peut-on seulement reconstruire quelque chose lorsque les fondations sont détruites ?

Mes petits Bookinautes adorés… Voilà longtemps que je n'ai pas éprouvé autant de difficultés à vous restituer mon avis sur une lecture que j'ai pourtant appréciée ! Parce qu'il est des livres qui vous bouleversent et vous terrassent sans crier gare et en moins de pages qu'il ne m'en faut pour vous l'écrire : Et ce roman en fait incontestablement partie…

Pourtant je connaissais le deal : L'autrice nous narre tout simplement ici l'histoire de la vie… Une vie banale et ordinaire… Donc un parcours d'obstacles plus ou moins difficiles à franchir, durant lequel chaque jour est une épreuve susceptible de s'achever sur une effusion de larmes… Reste à savoir si ce sont des larmes de joie ou de tristesse. Parce que c'est bien ça, la vie : Autant d'êtres sensibles et faillibles, autant de thématiques délicates et difficiles qu'il faut apprendre à conjuguer, bon gré mal gré.
Et c'est ainsi que Carine Joaquim nous porte, nous emporte et nous transporte dans le tourbillon d'une intrigue absolument ahurissante, sidérante et saisissante, mais pourtant pas si étrangère qu'on ne pourrait le penser… Parce qu'il n'est pas si étonnant de se reconnaître dans tel trait de caractère, tel comportement, telle émotion ou tel sentiment… Parce qu'il n'est pas si surprenant de se sentir concerné par tel sujet, tel évènement, telle question ou telle difficulté… Parce que l'autrice a su regarder là où l'on ne fait que voir. Parce que l'autrice a su capter et traduire ce qu'on ne prend même pas la peine d'intercepter. Alors oui, on se laisse happer par cette intrigue et ses personnages, on se laisse envahir par leurs émotions jusqu'au plus profond de notre âme pour le meilleur… Et pour le pire…
C'est donc un court roman que l'autrice nous livre ici, mais incroyablement dense et intense, servie par une plume fluide et élégante mais surtout d'une redoutable sensibilité, un style à la fois vif et délicat mais surtout d'une étonnante efficacité, qu'on lit sans pouvoir s'arrêter pour en ressortir aussi abasourdi qu'asphyxié. Parce que c'est bien ça, la vie.

En bref, je ne suis pas certaine d'avoir su chroniquer ce poignant roman sur les affres de la vie. Sans doute parce que les êtres humains et leurs relations sont bien trop complexes pour moi à décrypter. Mais pas pour Carine Joaquim. Lisez ce roman, vous comprendrez.
(Lu en janvier 2021)
Lien : https://deslivresetmoi7.fr/2..
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Rarement titre aura été aussi bien choisi que celui du premier roman de Carine Joaquim, car « Nos corps étrangers » pèsent de tout le poids de leurs multiples images entre les lignes fort bien maîtrisées de cette « primo romancière » comme sur la vie de ses personnages.
Stéphane et Elisabeth se sont aimés très fort dans leur petite maison blottie au fond d'une courette parisienne qui semblait les protéger du monde, une petite maison qui a su accueillir tous leurs amis et les premiers pas leur fille, Maëva. Alors, quand l'ombre d'une infidélité est venue obscurcir leur soleil, quand leurs corps ont semblé devenir étrangers l'un à l'autre, quand la tristesse est devenue si douloureuse à porter que celui d'Elisabeth a commencé à se vider de sa substance, dans un dernier sursaut de volonté et d'espoir, ils ont pris le parti de s'éloigner de leurs souvenirs et de planter ailleurs leurs racines endolories pour tâcher d'y faire remonter une sève neuve. Mais le charme est rompu, la bulle a éclaté, et la plus verte des banlieues ne saurait empêcher les enfants de grandir, le désir de courir, le malheur d'advenir.
Nos corps étrangers, ce sont ces corps qui se tournent le dos, ce sont ces corps qui se transforment, et muent et nous échappent, ce sont ces corps que l'on ne reconnait pas, ces corps que l'on n'attendait pas, ces corps qu'on désire trop fort ou dont on ne veut pas, ces corps qui meurent dans la tempête ou qui renaissent sur la grève, ces corps trop différents, trop tordus, trop grands ou trop noirs, toutes ces choses qui se mettent en travers pour empêcher la fluidité, la souplesse et la paix. C'est toute l'étrangeté qui nous attire et nous rebute, qui nous inquiète et nous échappe.
Nos corps étrangers, c'est un roman qui fascine et met mal à l'aise, par le talent même avec lequel Carine Joaquim à su trouver les interstices discrets, à peine visibles, dissimulés entre corps et âmes pour y enfoncer avec précision ses coins et sa plume et faire de ses lecteurs les témoins du chaos. A leur corps défendant ? Pas sûr…
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Livre lu d'une traite responsable d'une nuit courte…
Au début de ma lecture, j'ai craint de me retrouver face à une histoire sentimentale banale, mettant en scène un couple et une enfant… Des bobos parisiens rêvant de campagne…
Mais au fil des pages je me suis totalement laissée happer par l'histoire de ces personnages.
Ce besoin de changement de vie, l'envie d'un nouveau départ, de se reconstruire une vie. Un sentiment de vouloir fuir la ville pour échapper aux malheurs qui leur incombent… Se voiler un peu la face aussi. Voici un décor très intéressant où la dimension psychologique prend tout son sens. La volonté de reconstruire une fêlure, de rescotcher des morceaux, d'une certaine manière, fuir la réalité qui devient très encombrante et qui pourrait briser un idéal, acquis pas à pas.
Je n'ai ressenti aucune empathie envers les personnages, et pourtant cette histoire m'a totalement transpercée, je vous lais absolument savoir comment ça allait finir.
L'ambiance mêlant tumultes, drames sociaux et sentimentaux, décrits par une plume que j'ai ressenti comme froide et distante a donné toute la splendeur à ce récit. C'est le style qui dessine aussi les contours des anecdotes qui glissent sous nos yeux.
Le destin peut-il être maîtrisable ? Peut-on vraiment changer les choses ? On a l'impression que même avec toutes les volontés du monde, les sacrifices, les efforts, le naturel revient tôt ou tard au galop et fracasse le travail accompli et balaye les bonnes résolutions.
L'auteure aborde des thèmes très forts tant psychologiques que physiques, ils sont nombreux, donnent une impression d'avalanches de drames réunis au même endroit et endurés par le même groupe de personnes. Même si se tresse très habilement une certaine logique, certains aspects auraient mérités d'être un peu plus approfondis, comme la destruction suite aux troubles alimentaires.
Le lecteur oscille entre espoir et désespoir. Passant de l'un à l'autre avec une facilité déconcertante, j'ai eu l'impression d'être baladée par l'auteure. J'ai beaucoup aimé Maëva dans le rôle de l'adolescente rebelle qui refuse le changement et son côté tête à claque, tout en étant un personnage sensible capable de beaucoup de violence malgré son âge.
Certains faits sont très bien sous-entendus par l'auteure, que les images se déroulent d'elles-mêmes sous nos yeux, comme par exemple la violence et l'injustice. le fait d'être « autonome » dans sa réflexion, le lecteur se fait lui-même son idée…
On sent que des drames irréversibles vont poindre et pourtant, en aucun cas je n'aurais deviné la fin qui estomaque, choque, interpelle… J'ai ressenti un « outch », j'ai refermé le livre les yeux embués et des questionnements plein la tête… Il n'existe pas de bonnes ou mauvaises réponses…
La puissance de ce livre est qu'il est transposable à toute famille…
Je suivrai les prochaines sorties de l'auteure avec beaucoup d'attentions…
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Voilà un premier roman qui avance masqué. Et pour en parler, il faut faire de même pour ne pas trop révéler de son intrigue et gâcher le plaisir du (de la) futur(e) lecteur-trice.
Au premier abord et sur quand même les deux tiers du livre, l'auteure déroule une intrigue pas franchement originale, mais qui, grâce à une écriture fluide et un regard très juste, parvient à nous intéresser. Disons, en gros qu'il s'agit d'un couple un peu dysfonctionnel, usé par une quinzaine d'années de vie commune et flanqué d'une fille adolescente peu causante et un tantinet rebelle. On suit leur vie de nouveaux arrivants dans une campagne de de l'Ile de France, franchement plouc pour l'ado mais teinté d'espoir de renouveau pour les adultes. On découvrira que sous des apparences banales, les cerveaux bouillonnent et les corps s'agitent...
Comme l'indique la couverture du livre et son titre, il sera effectivement question de corps étrangers assez divers. Des corps nouveaux se frotteront à ceux des personnages révélant parfois quelques fêlures personnelles voire sociétales. Avec un déroulement à l'aspect anodin le roman avance tranquillement mais sûrement jusqu'à une bascule surprenante, surtout pour le lecteur qui s'est laissé porter par cette intrigue aux allures de chronique familiale. Dès lors, il prendra alors une direction nouvelle, franchement intéressante mais hélas un peu trop rapide, voire survolée, alors qu'il y avait matière à développer .
Pour un premier roman, Carine Joaquim nous fait découvrir sa plume habile et fluide et offre aux lecteurs ce petit truc qui fait que l'on n'oubliera pas cette intrigue de sitôt. Lequel ? A vous de le découvrir !

Lien : http://sansconnivence.blogsp..
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Un couple quitte Paris pour sa banlieue, entrainant avec eux leur fille. Ce déménagement se veut être un nouveau départ pour "sauver" leur couple. Sans entrer dans les détails, seule leur fille arrive à se (re)construire jusqu'au moment où son père intervient. e dernier réagit à partir de préjugés mais aussi de ses peurs personnelles qu'il n'a pas travaillé.
Les parents, de leur côté, continuent à passer à côté de la vie. La non communication entre eux, permet aux secrets, aux trahisons, les émotions non exprimées, de ruiner ces deux personnes.
Ce couple est l'exemple même des non-dits, du manque d'écoute l'un de l'autre. Et pour la mère la non écoute des messages exprimés par son corps et si j'ose aller plus loin, la non compréhension des messages de sa propre création par la médiation de la peinture.
C'est un roman avec un message un peu trop noir pour moi !
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« Personne n'a rien vu. »
Ces quelques mots résument cette tragédie familiale.
Elizabeth et Stéphane fuient en banlieue pour redonner du sens à leur vie, combattre la banalité de leur existence, sens qu'ils ont tenté de retrouver en dehors de leur famille.
Elizabeth a puni son corps car ne se sent plus désirable depuis que Stéphane l'a trompée, elle va vouloir s'effacer progressivement.
Stéphane de son côté ne connaît depuis que frustration et solitude car enfermé dans sa culpabilité.
Ces tourments vont mettre à mal leur adolescente, Maëva, spectatrice des tourments de la vie.
C'est une histoire de corps, de cicatrices qu'on y laissent, de silences, de souffrances, de déni.
C'est une histoire sans issue…
Une belle lecture, un traitement des personnages très fins et un épilogue qui laisse sans voix!
Merci aux fées des 68 premières fois
La manufacture de livres
Lien : https://blogdelecturelepetit..
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Une famille, une maison, une histoire simple au premier abord. Il y a Elisabeth et Stéphane, les parents, dont le couple est bancal. Après une trahison, ils veulent reconstruire une histoire sur de nouvelles bases et déménagent à la campagne. Ils traînent avec eux leur fille, Maëva, qui n'avait rien demandé et qui fait sa rentrée de 3è dans un nouveau collège, l'esprit toujours à Paris. Une histoire simple ? Pas tant que cela… Elisabeth, dans sa recherche de liberté, comprend tout doucement que sa place est ailleurs. Stéphane, lui, est à l'origine de la proposition de tout quitter mais va vite se heurter à des difficultés. Maëva va grandir très vite, trop vite peut-être.

C'est un roman que j'ai lu d'une traite et dont je tais sciemment la trame pour laisser le plaisir de la découverte. Je dirais simplement qu'il est noir, qu'il traite de l'amour de soi, de l'amour filial, de l'amour tout court, du désamour aussi. J'ajouterais qu'il vous prend et vous happe malgré la banalité apparente de l'histoire au départ. Je finirais en avouant que je n'ai rien vu venir. Quel final !
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Notre corps peut-il être notre pire ennemi ? C'est un peu la question posé par Carine Joaquim dans ce roman. Faut-il écouter ce corps qui nous crie que la personne qui partage notre vie depuis tant d'année et avec laquelle nous avons eu un enfant, nous dégoute et qu'elle est répugnante ? Ce corps qui rejète l'autre mais qui est attiré par un être nouveau. Voilà donc ce que raconte cette histoire que j'ai trouvé très addictive.

Peu de personnages, mais on rentre dans leur tête, c'est très bien fait de la part de l'autrice. le côté psychologique de ce roman est vraiment un point fort. Les problèmes rencontrés par les personnages peuvent être nos problèmes, c'est ce qui rend ce roman intéressant. Ce roman parle des relations, des relations entre le couple, entre les parents et leur enfant et également les relations entre adolescents. Pour moi, mention spéciale pour Élisabeth, j'ai aimé la noirceur qui l'habite, elle est seule malgré sa fille et son mari et cette solitude l'enfonce dans une profonde déprime. Par contre, Maëva, sa fille m'a insupportée avec ses grands airs et cette manie de pleurer quand elle se fait engueuler. Et il y a son petit copain, sénégalais, sans papier dont l'âge n'est pas vraiment certain. Je n'ai pas vraiment compris ce besoin de venir apporter dans ce roman une histoire d'immigration, pour moi cela n'apporte pas grand chose.

Bon c'est un bon roman qui se lit très bien, la plume de Carine Joaquim est fluide et pousse le lecteur à s'identifier à ses personnages. Comme dit un peu plus haut, il y a de la noirceur dans ces pages ce que j'apprécie beaucoup. de plus je n'ai pas vu venir cette fin qui pour le coup est bien noir, limite écoeurante. Je n'avais pas du tout imaginé cela et sur le coup j'ai été déçu, mais après réflexion je me dit qu'une autre fin n'aurait pas rendu ce roman si marquant.
Lien : https://readlookhear.wordpre..
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