-Tu sais à qui tu parles sale indienne? Tu devrais avoir honte d'oser te présenter avec cette horrible bosse! C'est obscène!
[...]
-C'est toi qui est une véritable insulte au genre humain, fais donc voir ce que tu caches là dessous! C'est bien ce que je pensais, tu essaues de cacher ta difformité! Regardez tous, le voivi le monstre! Mon ventre porte la vie, mais ta bosse, c'est le diable qu'elle porte!
p.55.
- Si tu collabores, ils t’offrent un havre de paix, service grand luxe… les crapules de tout poil trouvent ici une solution de repli qui leur permet d’échapper aux poursuites de toutes sortes !
-H…Hm, bien sûr !... un pénitencier… quel bon moyen de se protéger de la justice.
- Yin Li, verse-moi un autre verre. Plus je suis soûl, plus je gagne...
- La vie est flottante, brève et sans retour. A coeur perdu, je vous désaltère.
p.54.
Le directeur du pénitencier au Bouncer :
Mon fils est mon indignité, mais entre la justice et l’amour d’un père, il est difficile de trancher…
p.45-6.
- Dis-moi, Panchita, qui t’a fait ces tatouages sur ton visage ?
- C’est mon père qui me les a faits. Il dit toujours : Seul celui qui sait voir au-delà des apparences sera le propriétaire des trésors de ma fille.
- Un poète, ton père !... Voleur et poète !
p.35.
- QUELLE HORREUR ! Ces charognes lui ont arraché la peau du visage ! Pourquoi ont-ils fait ça ?!! Que lui voulaient-ils ? Éloigne ton fils il n’a pas besoin de voir ça !
- Non, Petite Lune doit voir toute l’horreur dont l’homme est capable. Ça fait partie de son éducation.