Je me suis lancé dans ce roman sur le seul nom de son auteure,
Kij Johnson, dont j'avais beaucoup aimé "
Un pont sur la brume", un petit bijou de fantastique rêveur.
Je ne connaissais pas les nouvelles de
H.P. Lovecraft à la base de ce livre. Je dois préciser que ce n'est vraiment pas un de mes auteurs favoris... J'ai appris leur existence et leur importance dans la narration grâce à un entretien-bonus publié en guise de postface.
Je m'apprêtais à louer les grandes qualités d'inventivité de son autrice. Et je persiste dans cette très bonne impression, malgré cette découverte tardive. Je ne suis évidemment pas en mesure de "rendre à César"
Lovecraft ce qui est de
lui, mais c'est un bel univers, entre rêve et réalité, que ce
lui imaginé par
Kij Johnson.
La grande quantité de goules et autres monstres souterrains indescriptibles aurait dû me mettre la puce à l'oreille, mais je me suis seulement laissé emporter dans le sillage de Vellit Boe, par son énergie et son courage dans ses recherches sans cesse contrariées.
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