Ce court roman de 220 pages semble osciller entre tendresse et humour. le problème, c'est que Martin ne m'a jamais touchée et ne m'a pas fait sourire non plus. Je suis donc restée insensible à un roman qui parle de deuil, ce qui est tout de même regrettable. Les causes sont diverses: les chapitres bien trop courts (d'une ou deux pages) et aérés m'ont paru manquer de profondeur et la plume, si elle n'est pas spécialement désagréable à lire, n'est pas non plus travaillée. Il est donc difficile de s'étendre sur un roman si peu dense, sauf peut-être pour dire que le thème de ce qui est caché à son conjoint aurait, à mon avis, mérité un traitement plus riche. le seul personnage qui m'a beaucoup plu est celui qui apparaît au milieu mais dont je ne peux pas vous parler sous peine de déflorer le texte.
Commenter  J’apprécie         24