Ils durent annuler la première tentative. Plusieurs jours pour trouver un bateau et une planque, et quelques heures à peine avant la récupération le vent se leva, le poyraz. Il descendait en hurlant depuis le nord- est, soulevant au passage une forte houle sur la mer Noire.
Rien de sûr, jamais. Tôt ou tard, on y passe. Il faut juste essayer de retarder les choses le plus possible.
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Jours heureux où ils ne se fatiguaient jamais de la présence de l'autre.