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Après les évènements tragiques qui clôturent L'arbre de l'été, nos cinq jeunes invités au Royaume du Brenin se retrouvent à Toronto. Si Jennifer reste prostrée dans sa souffrance, Kevin, Dave et Paul attendent désespérément qu'un rêve prenne naissance sous les cheveux blancs de Kimberly, nouvelle prophétesse du Brenin. Et quand, enfin, ce rêve arrive, c'est vers l'Angleterre et plus particulièrement Stonehenge qu'ils voyagent. La situation en Fionavar l'exige : tous les héros seront les bienvenus dans la guerre qui se prépare, et un nouveau fil, longtemps abandonné, est sur le point de rejoindre la tapisserie.

La tapisserie de Fionavar est une trilogie que je prends plaisir à lire et à relire régulièrement. Comme pour le Seigneur des anneaux, au fil du temps, je me rends compte que c'est le second tome que je préfère. Peut-être parce qu'une bonne partie du premier sert souvent à présenter l'environnement, les personnages, et à poser les prémisses de l'intrigue. Peut-être parce que dans le dernier, la fin approche, les choix sont faits, et on sait que le dénouement est pour bientôt. Finalement, le second tome, c'est le plus "pur" en regard de l'histoire et de l'univers : les personnages que l'on connait se démènent pour faire avancer dans le bon sens le cours de l'histoire, tout est encore possible, les choix de développement de l'auteur ne sont pas encore connus... Bref, "Le feu vagabond", tout comme "Les deux tours", est mon tome préféré de cette trilogie. On y est surpris, ému, on sourit, on s'inquiète, on s'amuse ou on s'interroge, bref, on est immergé dans cette saga si confortable. Moi qui ne suis pas hyper fan des petites fées que j'associe régulièrement au registre de la Fantasy (non, ne me frappez pas !!), je trouve que Kay se débrouille super bien pour introduire les puissances et les dieux dans le quotidien des mortels. Un certain nombre de problématiques est soulevé également, qui trouveront ou pas leur résolution dans le troisième tome : le choix, le prix que l'on paie, les conséquences de ses actes, auquel tout le monde est soumis, y compris les dieux, l'ordre et l'aléatoire...
Bref, une jolie trilogie de fantasy, pour une lecture sous le signe de l'évasion.
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Après un premier tome trépidant, le rythme retombe nettement, il s'agit d'une certaine façon d'un tome de transition.
Et pourtant il se passe des choses importantes, sans conteste, cela dit cela donne presque la sensation de se retrouver dans une autre histoire, moins spectaculaire et moins épique.
L'hiver s'est installé, mais pas n'importe lequel, une magie sombre est à l'oeuvre et il gèle à pierre fendre au solstice d'été, donc pas de mouvements de troupes et pas de combats...
Ce deuxième tome va essentiellement permettre à l'auteur de faire un focus sur les nombreux personnages de cette saga, de clarifier certaines interactions, c'est un autre récit.
Je continue à trouver une forte inspiration "Tolkénienne", il va se passer tout de même pas mal de choses sous forme de quêtes, certains objets magiques vont trouver leur utilité et les dieux se faire plus présents, pas forcément ce que je préfère.
Il y a aussi la résurrection d'un guerrier légendaire et intemporel, ça part un peu dans tous les sens à mon goût et relègue un peu nos sympathiques héros au rang de "faire valoir", un peu dommage ça partait pourtant si bien...
Je suis donc assez mitigé et surtout pas aussi enthousiaste qu'à la fin du tome un, je fonde de gros espoirs sur le dernier tome, wait and see ;)
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C'est l'hiver à Fionovar, un hiver qui n'en finit pas. Comme l'auteur, j'habite dans un pays de neige et je suis bien placée pour apprécier la cruauté de l'hiver…

C'est cependant un plaisir que d'entrer dans ce deuxième tome de « La tapisserie de Fionovar », le premier opus ayant permis de faire connaissance et de s'attacher aux différents personnages de ce roman fantastique.

Il s'agit d'une trame « fantasy » assez classique puisqu'on y retrouve le combat entre la lumière et les ténèbres. Classique aussi parce qu'on y rencontre des héros de légendes célèbres comme le mythique Arthur Pendragon, le fameux roi Arthur du folklore. Classique ne veut toutefois pas dire insipide, car n'est-ce pas avec les mêmes notes que l'on compose toutes les musiques ?

Cette aventure de Guerriers, de mages et de prophétesses est pleine de rebondissements, mais plusieurs motifs viennent enrichir la tapisserie : la valeur de l'amitié, qui se forge dans l'adversité, le courage d'agir pour le bien commun, le dilemme entre la destinée et la liberté de choisir.

Un roman d'imagination, bien écrit, de belles heures plaisir pour les amateurs du genre.
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Le Feu Vagabond, deuxième opus de la tapisserie de Fionavar s'inscrit comme un tome de transition.
L'auteur prend le temps de décrire l'univers plus en profondeur. le récit va ainsi s'étoffer de nombreux caractères, notamment par des entités divines.
Les déesses et dieux qui arpentent l'univers de Fionavar apparaissent complexes et loin d'être manichéens. Forces et faiblesses façonnent le constat des troupes en présence.
D'un côté les ténèbres tout en contraste et de l'autre la lumière, baignée de nuances.

Les héros poursuivent leur apprentissage. Au début du roman, nous les retrouvons dans notre monde à Montréal, quelques mois après la fin du premier tome. L'univers de Fionavar les rappelle bientôt. L'oeuvre du Tisserand est loin d'être achevée et un nouveau fil, longtemps disparu va rejoindre la tapisserie grâce à Kimberley, devenue prêtresse du Brenin. Tous vont rejoindre Fionavar, y compris Jennifer, prostrée dans sa douleur.

Les protagonistes vivront moins d'aventures. Pour autant la trame dramatique est bien présente et certains personnages vont connaître un destin tragique.
Le récit tend vers la mythologie arthurienne et j'ai été très surprise par la tournure prise par la narration.
Le choix est le thème principal de ce récit. Tous, hommes, créatures ou divinité, auront, à un moment du récit un choix à faire.

J'ai aimé la poésie de ce texte, l'explication détaillée de l'univers et l'évolution des personnages. La toile tissée par Guy Gavriel Kay continue son expansion, suscitant toujours autant mon intérêt. le mélange de mythologies, celles inventées par l'auteur et celles, plus connues sur l'épopée Arthurienne, éveille la curiosité à l'aube du troisième et dernier tome qui verra se confronter les Ténèbres et la Lumière.
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Kim, la grande prophétesse du Brennin a ramené les 5 compagnons sur Terre pour aller chercher à Stonehenge puis à Avalon Arthur Pendragon, le grand Guerrier, aussi connu sous le nom du roi Arthur de la Table Ronde.

Pendant ce temps, Fionavar est victime d'un terrible hiver magique provoqué par un des mages du Brennin, rallié à Maugrim.

J'ai eu un tout petit peu de mal à rentrer dans ce deuxième tome, car j'avais lu le premier il y a déjà un mois ou deux et l'auteur y entremêle les fils de son histoire de façon plus serrée que dans le premier tome, passant souvent d'un personnage à l'autre. Il vaut donc mieux lire toute la série directement à la suite.

Mais une fois rentré dans le livre, l'intrigue reste passionnante, l'auteur mêlant les personnages du passé, de la Terre ou de Fionavar, aux personnages actuels. On sent un grand souffle épique dans ce livre qui reste aussi attachant que le premier tome.

J'ai hâte d'attaquer la suite et fin de la trilogie.
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(...)
Toronto – Fionavar : entre ses deux univers, une traversée qui en appellera d'autres. Qui sont ces personnes prêtes à accepter un tel voyage ? Kevin Laine est bel homme,son assurance, son intelligence et ses multiples talents font l'unanimité auprès de tous. Paul Schafer est quant à lui plus sombre, marqué par un drame personnel. Dave Martinyuk est le suivant de cette bande d'amis , bien trop grand, bien trop réservé. Kimberly Ford est une étudiante en médecine attentive à leur petit groupe. Jennifer Lowel en est le rayon de soleil.
Qu'est-ce-que Fionavar ? C'est le premier de tous les univers auquel tous les autres ne sont que de lointains échos. Un lieu où s'incarnent Dieux, Déesses et Puissances Primordiales d'aucun panthéon en particulier et de tous en général. Un lieu où les forêts sont consciences et une terre est toujours et à jamais un champs de bataille. Au pied d'une montagne qui autrefois a emprisonné un Dieu dévastateur. Une terre où même les jeux d'enfants semblent marqués par le Destin... Et oeuvrant en tout ceci, le Tisserand filant la Trame sur le Métier.
Mais alors qu'ils acceptent de se rendre aux festivités de l'anniversaire d'un Roi, les cinq voyageurs introduisent leur fil dans cette trame où les événements sont appelés à se précipiter. A Kimberly, de grands pouvoirs sont octroyés : devenir la rêveuse du rêve, la Prophétesse d'un monarque. Mais le pouvoir a toujours un prix. Guérisseuse dans son univers, elle apportera souffrance à ceux qu'elle aime en celui-ci.. Elle qui toujours s'interrogera sur le bien-fondé de ses actes. A Jennifer, une bien sombre destinée : marquée par le plus beau des actes, un enfantement et par la découverte de sa nature profonde au sein des univers. A Dave, la découverte de l'amitié et de l'appartenance à quelque chose de plus grand : séparé des autres, il s'apprête à rencontrer les Dalreï, les cavaliers de la plaine. Il se verra remettre un précieux mais terrible cadeau et par trois fois, il côtoiera la Déesse Ceinwèn. A Paul, Fionavar octroiera un sacrifice : dans l'Arbre de l'Été il goûtera à toutes les formes de mort mais reviendra enrichi des vérités sur lui-même, lui qui sera nommé le Deux-fois-né. A Kévin enfin, le désir ardent de vouloir apporter sa contribution au combat qui s'annonce : se doute-t-il qu'il est sur la route vers Dana, Déesse-Mère depuis toujours ? Destin tragique et étincelant.
Un Dieu vengeur délivré de sa prison de pierre. Un terrible forteresse, bastion de toute sa puissance qui s'éveille à nouveau. Cette histoire ne semble-t-elle pas déjà contée ? Il ne peut qu'en être ainsi car dans le premier des univers se livre peut-être pour la dernière fois l'éternel combat de la Lumière et des Ténèbres. Une amère justification à de terribles actions commises par des hommes et des femmes vertueux. Dans ce lieu où doit se jouer comme en toute époque la tragédie du Guerrier, de la Dame et du Chevalier servant . Ceux que nous connaissons sous le nom d'Arthur, Guenièvre et Lancelot.
La chose qui m'avait marqué lors de ma première lecture ce cette trilogie, ce n'était ni la complexité des personnages, ni les péripéties qu'ils rencontrent. Mais de voir surgir avec autant de clarté les thématiques développées : les drames du Destin, les affres du pouvoir.
Que réserve le Destin à ceux qu'une puissante force semble traverser comme le constatent Lorèn Mantel d'Argent et Matt Sorën – le Mage et sa Source - ? Sans trop en dévoiler, je tente de montrer que rien ne semble écrit mais que rien ne semble s'opposer aux volontés du Tisserand à son Métier. Et avec eux, le sort de tous ceux qu'ils seront amenés à croiser. Mais à la toute fin de cette construction semblera être démentie. Parfois, un simple fil, une existence si ténue soit-elle échappe à la Trame. Et en elle se trouve tout les espoirs et toutes les craintes.
De même que faire de dons accordés ? Il semble admis en Fionavar – et dans tous les univers... - que tout bienfait s'accompagne de contreparties. Les Mages ne peuvent peuvent accomplir leurs prodiges qu'en puisant dans la force vitale de leur Source, une personne à qui ils sont liés. Il semble que les sacrifices librement consentis n'aboutissent qu'à l'octroi de talents aléatoires et que le fait de connaître l'avenir ne serve qu'a montrer les souffrances que l'on causera à autrui.
A la relecture, deux autres motifs me sont apparus : les tourments de la nécessité et la grande qualité d'écriture de l'auteur et de sa traduction.
S'engage ici, dans cet univers si important pour la Trame des autres, la lutte des Ténèbres et de la Lumière. Et tous de s'interroger sur la responsabilité de leurs actes et des limites de leur actions : éveiller la terrible Chasse Sauvage au risque que son insatiable soif de combat ne la fasse se retourner contre ses invocateurs ? La nécessité doit-elle nécessairement l'emporter sur les que ce combat est sensé défendre ? Et dépasser " un point où la quête de la Lumière commence à servir les Ténèbres " ?
Pris dans les méandres de l'intrigue, ces thématiques se sont imposées à moi comme rarement dans un récit imaginaire. Je pense que c'est en cela que réside le talent de KAY. En cela et en sa manière de les présenter. Comme rarement dans ces chroniques, je me suis trouvé dans la nécessité de faire des emprunts à l'auteur pour évoquer son oeuvre. A mon corps défendant, mais parfois paraphraser n'est pas une solution de facilité, mais une forme de reddition respectueuse.
(...)
Que le Tisserand tienne bien votre fil...

Lien : http://emaginaire.canalblog...
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Un tome 2 plus prenant que le premier.

L'oeuvre est toujours très inspirée du Seigneur des Anneaux, tout en restant originale. le combat contre le grand méchant (non ce n'est pas Sauron) commence enfin, les troupes se déploient. On a droit à de grandes batailles du côté de chacun des groupes de protagonistes, et comme dans les Deux Tours, c'est la bataille des Cavaliers qui m'a marquée. On a également droit à la disparition d'un certain personnage à la fin (non, ce n'est pas Frodo), et le retour d'un certain roi est imminent (non, ce n'est pas Aragorn).

Nouvel élément dans ce tome 2 : les légendes arthuriennes. On a donc de nouvelles références et de nouveaux personnages. C'est très intéressant de voir comment les légendes des mondes « secondaires » comme le notre se mêlent au worldbuilding déjà énorme du monde originel de Fionavar, même si tous les personnages ne sont pas intéressants et agréables à suivre.

Mon ressenti sur les personnages ne change pas vraiment. J'apprécie toujours Paul et Dave, et ce sont les parties qui leur sont consacrées que je préfère (en même temps, Dave passe son temps chez les Cavaliers, que j'adore tous). Gros + pour les histoires des enfants dans ce tome. Tabor, bien sûr, mais surtout Finn et Darien qui m'ont fendu le coeur tous les deux, et pourtant leurs histoires sont tellement épiques !

De manière plus globale, j'arrive bien à me sentir proche de certains personnages, mais d'autres me semblent vraiment lointains, tant que je n'arrive pas du tout à m'inquiéter pour eux, comme Jennifer et Kevin qui ne me font ni chaud ni froid.

Enfin, comme je lis la version intégrale, j'ai repéré régulièrement, comme pour le tome 1, un certain nombre de tournures de phrases étranges et une ponctuation parfois étonnante. Les traductions et leurs relectures…
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le résumé détaillé du premier tome a été fort apprécié avant d'entamer la lecture de ce deuxième tome, même si le résumé en lui-même est assez indigeste tant il y a de noms à se remémorer (prénoms, villes, pays, deuxième nom des héros, titre, artéfacts etc.) Heureusement il y a toujours un index des noms des principaux personnages qui facilite ensuite la lecture.

J'ai retrouvé avec plaisir nos 5 jeunes canadiens. Alors que le premier tome avait mis en place doucement les différentes pièces de l'intrigue, tout s'accélère ici et on voit que tout est cohérent et s'imbrique parfaitement dans la trame conçue par l'auteur.

J'ai eu une lecture en demi-teinte. J'ai été agréablement surprise par certains événements et de voir que justement des choses obscures du premiers tomes trouvaient leur place désormais. Néanmoins, l'auteur choisit d'introduire des éléments de la légende arthurienne. J'y vois deux problèmes. Premièrement je n'aime pas cette légende. Bon ceci est purement personnel mais Arthur, Morgane, Guenièvre, Merlin & co c'est vu, revu et re-revu. Ce roman date et remonte à l'époque où justement on en soupait partout du Arthur donc ce n'est pas trop étonnant. le deuxième point c'est surtout que ce roman n'en avait pas besoin ! La mythologie du monde de Fionavar est déjà si riche (un peu copiée sur Tolkien parfois), pourquoi s'embêter à tout compliquer avec cette légende ? Elle n'a rien à faire là à mes yeux.

Mon deuxième reproche concerne la manière de l'auteur de nous révéler des éléments de l'intrigue. Nos 5 jeunes sont dans le flou, puis d'un seul coup ils ont la révélation, ils savent tout sur tout et comprennent ce qui va se jouer... sauf qu'ils ne le partagent pas avec le lecteur qui doit attendre que l'auteur dévoile enfin ses intentions. Une fois ça passe, mais dans ce tome cela arrive trop souvent et c'est un peu lassant à force. Cela donne aussi une impression de bâclé parfois car si les personnages savent depuis longtemps qu'ils vont faire telle action, le lecteur lui ne le sait pas et la découverte tombe comme un cheveu sur la soupe.

Finalement dans ce tome j'ai donc préféré les personnages issus de Fionavar plutôt que nos canadiens. Les deux frères Ailéron et Diarmuid sont d'excellents personnages, les Dalreï sont intéressants à suivre, les rivalités entre rois aussi et même la prêtresse Jaelle devient moins agaçante au fur et à mesure qu'elle se dévoile. Les dieux interviennent aussi de plus en plus et la mythologie (hormis l'incartade arthurienne qui, je l'avoue, permet quand même de relier Fionavar au reste des univers) se développe aussi. Globalement j'ai aimé suivre tous ces personnages et j'ai été triste quand l'un d'entre eux est mort (bon là aussi, lui a tout compris juste le pourquoi il devait mourir comme ça, 5 minutes avant). La maîtrise de l'auteur sur son univers et son intrigue est remarquable et donne envie de lire ses autres romans.

Malgré tout cette lecture a été agréable et je suis curieuse de savoir comment cette trilogie va se conclure !
Lien : https://dryade-intersiderale..
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Une suite aussi passionnante que le premier tome sinon plus. L'auteur mêle à son propre univers cette légende si célèbre du roi Arthur, et le trio tragique se dessine à l'horizon.

L'atmosphère est sombre, emprunte de doutes, et même si le mal ne peut vaincre (je n'ai croisé nul livre ou c'est le cas), on ne peut s'empêcher de songer au prix que la victoire coûtera, et l'avenir de nos héros semble chargé de nuages.

Héros qui ont déjà bien changé depuis le début de l'histoire, une évolution qui illustre la grandeur du roman.

Et le doute serrant le coeur, on suit avec passion ce deuxième volume, et sitôt qu'on l'a refermé on ne peut que saisir le suivant, ensorcelé.
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Le retour à la maison est bref pour nos jeunes terriens. Mais ils reviennent avec une aide précieuse. Et toute aide va être nécessaire pour affronter la malédiction qui est en train de paralyser Fionavar au grand bénéfice de Rakoth Maugrim. Pendant ce temps, nos jeunes amis découvrent qu'ils sont plus que ce qu'ils pensaient être, et que leur rôle dans l'affrontement final sera bien plus important qu'ils n'avaient pu l'imaginer.

Ce 2ème tome est mon préféré, les personnages prennent de l'épaisseur et l'auteur s'amuse à nous mélanger avec brio différentes histoires et légendes, donc une très bonne mise en place avant l'affrontement final qui interviendra dans le 3ème tome.
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