Pour moi, un baiser est l'acte le plus intime qui soit.
Ma philosophie est qu'on ne peut pas changer le passé, que ça ne sert à rien de pleurer pour le présent et encore moins d'angoisser pour l'avenir.
Les amis qui vous disent qu’ils vous aiment chaque fois que vous vous dites au revoir sont ceux qui comptent le plus. Ce sont eux qu’il faut garder dans sa vie.
- Tu vas lui parler après le match ? demande Hollis. Ou on doit sortir un flingue et...
- Détends-toi, tu n'as pas besoin de me menacer à bout portant pour m'y forcer, je ricane.
- Quoi ? demande-t-il d'un air confus. J'allais juste dire qu'on te mettrait un coup de crosse sur la tête pour que tu recouvres la raison.
Je regarde Fitzgerald, qui hausse les épaules.
- Son cerveau fonctionne d'une façon que nous autre, simples mortels, ne pouvons pas comprendre.
Hollis semble ravi.
- Mec, c'est le plus beau compliment qu'on m'ait jamais fait.
Cependant, le talent et le potentiel ne sont rien sans la discipline et les échecs. Il faut échouer pour que la victoire compte pour quelque chose. Les défaites ne sont pas censées abîmer la confiance en soi. Elles sont censées la bâtir.
- J'ai été débile. Et maintenant, je te demande pardon. Et je te demande de me donner une autre chance.
- Pourquoi je ferais ça ?
- Parce que je t'aime.
Je pense à l’embrasser, à la toucher, à palper ses fesses, qu’est-ce que je dis, je veux faire bien plus que ça à ses fesses.Une nuée d’images cochonnes me viennent en tête. J’ai envie de la pencher sur cette table et de la prendre en levrette, de caresser son dos jusqu’à ses fesses et de m’enfouir en elle en un coup de bassin infiniment lent… Je parie qu’elle se cambrerait et qu’elle gémirait sans vergogne.
C'est affreusement frustrant d'essayer d'aider quelqu'un qui refuse d'admettre qu'il a un problème.
- Je ne pouvais plus te regarder parce que j'avais peur. J'ai failli te perdre et tu es la seule chose au monde à laquelle je tiens.
- Et le hockey ? je demande, essayant de détendre l'atmosphère.
- Le hockey est un sport. Toi, tu es toute ma vie.
- Tu vas lui parler après le match ? demande Hollis. Ou on doit sortir un flingue et...
- Détends-toi, tu n'as pas besoin de me menacer à bout portant pour m'y forcer, je ricane.
- Quoi ? demande-t-il d'un air confus. J'allais juste dire qu'on te mettrait un coup de crosse sur la tête pour que tu recouvres la raison.
Je regarde Fitzgerald, qui hausse les épaules.
- Son cerveau fonctionne d'une façon que nous autre, simples mortels, ne pouvons pas comprendre.
Hollis semble ravi.
- Mec, c'est le plus beau compliment qu'on m'ait jamais fait.