Il souhaite que les gens qui l’entourent soient bien dans leur peau et dans leur tête, même s’il n’a rien à gagner. Finalement, c’est pour ça que je suis tombée amoureuse de lui.
Elle m’a trouvé de la valeur, même quand j’en étais incapable.
Et maintenant, la plus belle chose qui me soit arrivée vient de disparaître au coin de la rue.
Lorsqu’elle est dans mes bras, je vois l’avenir et tout ce qu’on pourrait être ensemble.
Conor est mon sublime accident. J’étais au mauvais endroit, au mauvais moment, et j’ai rencontré le mec parfait. Il m’a appris à m’aimer et il m’a montré une version de moi-même à laquelle je n’avais jamais cru. Une version forte, belle et confiante. Plus jamais je ne prendrai ça pour acquis.
Je me penche pour l'embrasser. Car il a beau dire le contraire, Conor est un mec bien. Il est gentil et drôle et je crois que, dune certaine manière, il est même devenu mon meilleur ami. Mon meilleur ami avec des bénéfices phalliques.
Je me fiche de ce que tu étais avant. Ce qui m’intéresse, c’est ce que tu choisis d’être aujourd’hui.
- Abstinence ? Hors de question. Je vais tenter de te séduire.
« - J’étais presque arrivé à Boston, mais je n’arrêtais pas de penser à toi, j’ai fait demi-tour. Je ne pouvais pas aller jusqu’au bout en sachant ce que c’était en train de nous faire, admet-il d’une voix tremblante. Parce que le pire, dans tout ça, le pire que je pouvais faire, c’était de perdre ton respect. Plus rien ne compte, si je sais que tu me détestes.
- Si c’était vrai…
- Putain, T, j’essaie de te dire que je t’aime. »
« - Je pense que tes vêtements ne disent rien de ton intelligence, de ta vivacité d’esprit ni de ton sens de l’humour, dit-elle gentiment. Je pense que tu devrais t’habiller de sorte à être à l’aise. Cela étant dit… si tu n’aimes pas ta façon de t’habiller, tu devrais peut-être interroger ton coeur plutôt que ton dressing. »