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3,74

sur 466 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Je n'avais jamais entendu parler de Margaret Kennedy. C'est la lecture commune proposée par Gwen qui m'a donnée l'occasion de découvrir cette auteure. Je n'ai pas eu beaucoup le temps de participer aux échanges mais j'ai beaucoup apprécié ma lecture. En fait, j'ai dévoré le roman en 3 jours à peine.

« le festin », c'est tout à fait le genre de roman choral que j'apprécie. le roman réunit tous les ingrédients qui font une réussite dans ce registre. : un contexte intéressant, une galerie de personnages soignée, des intrigues et sous-intrigues prenantes, un style et une tonalité personnels.

L'histoire prend place dans l'Angleterre de l'après-guerre et on voit bien, au cours du récit, combien le conflit a laissé des traces, parfois même des cicatrices, dans la société.
Kennedy concocte une galerie de personnages savoureuse. Les caractères sont bien brossés et les rapports entre personnages permettent d'aborder des thèmes riches et intéressants, notamment les rapports de classe. La caractérisation des protagonistes est globalement fine. Les personnages plutôt positifs, auxquels on s'attache et pour qui on prend fait et cause, ne sont pas simplistes pour autant, ils ont leurs défauts, leurs défaillances mais on les apprécie malgré cela. D'autres, en revanche, sont particulièrement odieux. Ceux-là, sont un peu plus caricaturaux mais cela n'entame pas le plaisir de lecture tant on aime les détester.
Les diverses intrigues qui composent le récit sont toutes intéressantes, parfois même haletantes. Il y a une vraie tension, un véritable suspense instaurés dans ce roman, notamment dans l'intrigue principale qui scellera toutes les sous-intrigues dans un dénouement qu'on a une impatience de découvrir tout au long de la lecture.
L'écriture de Kennedy est très séduisante. J'aime bien quand une peinture sociale a une tonalité acide. C'est le cas ici, le récit est corrosif tout en ayant une légèreté très agréable. En mêlant humour, émotion et ironie, l'auteure pointe du doigt les travers humains.

« le festin » a vraiment été une très chouette découverte et j'en remercie Gwen. Je compte bien ne pas en rester là avec cette auteure.
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Préambule. Dans mon édition, QuaiVoltaire, il y a un avant-propos, fort intéressant au demeurant, mais à ne surtout pas lire autrement qu'en postface….
Un hôtel, les propriétaires, des clients, des domestiques, une falaise qui s'effondre, des morts et des survivants. Une palette importante de personnages, si bien campés et caractérisés qu'il n'est nul besoin de prendre des notes pour s'y retrouver. Des changements de narration qui donnent du rythme à la lecture.
Un roman caustique, incisif, brillant, malicieux et fin, qui, sous des dehors légers, ne manque pas d'épaisseur.
A lire comme un bonbon acidulé.

Merci à Gwen21 de la proposition.
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Quel régal d'écriture !

Le lecteur savoure ce livre à chaque page, c'est un millefeuille, une pâtisserie, une petite gâterie.

Nous suivons les péripéties des personnages avec intérêt.

Nous les aimons, nous les détestons.

Nous avons de la peine pour certains et pour d'autres nous aurions plutôt envie de les gifler.

Tout y est représenté, l'avarice, la lâcheté, la gourmandise, la cupidité, l'envie, la médisance mais aussi (salvateur) l'amour, la gentillesse, l'entraide.

Tous les personnages de Margaret Kennedy sont intéressants avec leurs failles et leurs secrets

Elle mélange les ingrédients aussi bien qu'un pâtissier de génie pour que le gâteau soit parfait et la cerise sur celui-ci ne viendra qu'à la fin, alors régalez-vous et bon appétit !

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Oh, cette fête de lecture, ce festin offert par Margaret ( et non Babette😉) ! Publié en 1950 en Angleterre, ce livre situe son intrigue lors de l'été 1947, en Cornouailles ,durant cette période difficile de l'après-guerre.

Et quelle intrigue originale! le prologue , habilement, révèle au lecteur qu' un événement tragique s' est produit: l'écroulement d'une falaise fissurée, écrasant un hôtel...et certains de ses occupants. Mais lesquels? Car il y a des survivants...

Tout le roman est un retour en arrière, un compte à rebours, pendant une semaine , jusqu'à l'instant fatal. Nous découvrons avec jubilation, grand intérêt, à travers des lettres, leurs pensées, leurs agissements, les personnages évoluant dans ce microcosme social de l'hôtel. Mis à part quelques-uns, on peut dire qu'ils sont tous un peu tordus, gangrénés par un vice. La palme d'or revenant pour moi à une certaine Mrs Cove...mais je n'en dirai pas plus, à vous maintenant de les découvrir!

L'analyse psychologique est fine, ironique, réjouissante. Des adultes, des enfants se présentent à nous, et nous entrons dans leur for intérieur , souvent tourmenté, parfois cruel. Au fur et à mesure, nous nous attachons à quelques-uns. Et c'est tout le talent de l'auteure: nous voulons savoir s'ils vont s'en sortir. Un suspens où le festin organisé prendra tout son sens ...Beaucoup de symboles sont à observer, notamment celui du chiffre sept.

Vraiment un grand plaisir d'être témoin de ces moments determinants dans la vie d'un groupe ,happé par le destin. Je recommande ce livre!
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Cornouailles, été 1947. L'hôtel Pendizack est complet! Mrs et Mr Siddal, propriétaires désargentés, contraints de transformer leur manoir en pension familiale, n'ont pu se permettre d'être trop sélectifs quant à leurs hôtes. Des hôtes que nous retrouvons sept jours avant le drame, une semaine durant laquelle leurs pires défauts se dévoilent au fur et à mesure que les fissures de la falaise surplombant l'établissement s'élargissent. 
Pendant ce temps Nancibel, la domestique, et Mrs Paley, l'une des pensionnaires, ont décidé de réaliser le voeu des Cove, trois petites filles dont la mère les contraint à lui donner les bonbons qu'elles se procurent avec leurs tickets de rationnement pour les revendre ensuite. Elles souhaitent organiser un "festin" pour les résidents de l'hôtel. Elles sont loin de se douter que sans leur festin le nombre de victimes ensevelies sous la falaise aurait été plus important. Seulement sept victimes sont à déplorer si l'on peut dire. Sept comme les péchés capitaux. 

J'ai enfin lu le Festin de Margaret Kennedy et je me suis régalée. J'adore cette manière si "british" d'asséner les pires horreurs l'air de ne pas y toucher : "Le râtelier riait sans vergogne sur la coiffeus, à côté d'une brosse et d'un peigne répugnants. Mais l'objet le plus ignoble de la pièce était Miss Ellis elle-même, vêtue d'un peignoir déchiré, couleur de boue, ses cheveux gras lui tombant dans les yeux." 
Il y a de plus un certain suspens sinon un suspens certain quant à savoir qui va échapper à un funeste destin car il aura décidé à  la dernière minute de faire un saut au "festin"! 
À recommander sans modération! 
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Mrs Siddal est la propriétaire de l'hôtel Pendizack (Cornouailles) qu'elle tient sans l'aide de son « bon à rien » de mari (Dick) mais avec le soutien (occasionnel) de ses trois fils : le « mal aimé » Gerry, Robin et Duff (son chouchou …) Avec l'appui – également – de ses employés, le courageux Fred et la brave Nancibel. Avec (hélas) l'incompétence notoire de (la paresseuse) Mrs Ellis …

Mrs Siddal méprise son époux, n'est guère attaché à son ainé mais adule le plus beau de ses trois enfants. Alors qu'elle se débat avec ses gros problèmes d'intendance, l'été 1947 s'installe, ainsi qu'une ribambelle de clients, accompagnés ou non de leurs progénitures. Eirene Gifford et son conjoint, le juge Henry Gifford, ainsi que leurs quatre jeunes enfants : Hebe, Caroline, Luke et Michael. Mrs et Mr Paley, ravagés par un drame familial. Mrs Cove (une veuve de guerre) et ses trois fillettes : Blanche, Beatrix et Maud. La fragile Evangeline et son détestable père, le chanoine Wraxton. Bruce, le (séduisant) « secrétaire-chauffeur » (voire plus …) de la grosse Mrs Anna Lechene, écrivaine célèbre. le père Bott, enfin, prêtre de la paroisse et accessoirement narrateur de l'histoire … le drame est proche, la falaise où se situe l'hôtel Pendizack est sur le point de s'écrouler …

Margaret Kennedy (1896-1967) nous livre ici une oeuvre superbe, éditée en 1950. Une sorte de huis clos sur ce lieu de villégiature anglais, qui nous dévoilera au fils de pages (et des jours) la véritable nature de chacun des protagonistes présents. Un récit construit en sept parties (du samedi au vendredi) par petites touches successives, jusqu'à cette tragédie finale, qui engloutira à jamais l'établissement et les sept personnes qui n'ont pas voulu participer au pique-nique (le fameux « festin » …)

Gros coup de coeur pour cette attachante intrigue ! Une comédie humaine « So British », au flegme littéraire un brin désopilant !
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Margaret Kennedy a écrit “The feast” (dont Denise van Moppès nous propose ici une seconde traduction) en 1950. Elle y reprend l'ébauche d'un défi d'écriture entre amis autour des 7 péchés capitaux, imaginé avant la guerre. On pourrait s'attendre à un contenu sentencieux, moralisateur… et on se retrouve face à une autrice espiègle et piquante. J'ai adoré cette lecture. le principe du récit à rebours (on sait dès le début du roman que tout cela va mal finir) fonctionne très bien. le récit passe d'un personnage à un autre, les points de vue s'alternent et on ne s'ennuie pas un instant. La radioscopie de l'Angleterre de l'immédiat après-guerre est sans concession, fine et sarcastique. 7 jours, 7 péchés, 7 morts… je vous défie de ne pas le dévorer.
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1947. le festin est celui que veulent offrir les trois fillettes résidant à l'hôtel de Pendizack dans lequel elles sont venues passer une semaine de vacances, car elles n'ont jamais connus de fête en cette période d'après-guerre et de rationnement. Il faut dire que leur mère, veuve et sans le sou, a une façon bien à elle de décider à qui s'adressent les privations. L'hôtel est tenu par une famille désargentée qui peut ainsi continuer à espérer donner une éducation à leurs deux plus jeunes fils, l'ainé étant déjà médecin. Outre la mère indigne des fillettes qui se fait très vite remarquer par son absence de compassion pour ses filles, on y trouve une famille aristocratique et leurs 4 enfants, une célèbre femme de lettres accompagnée de son secrétaire, un couple vivant dans le souvenir de leur enfant morte et un chanoine rustre brimant sa fille complétement soumise. Ils sont servis par une femme de chambre aigrie et incompétente et par une jeune fille du village. Au fil de la semaine, tout ce petit monde va se côtoyer, se découvrir des animosités ou des intérêts et se laisser attendrir par la détermination contagieuse des petites filles qui trouveront des aides inattendues pour mener à bien leur invitation. Pendant ce temps, la falaise fragilisée et présentant d'importantes crevasses va finir par produire un éboulement en plein sur l'hôtel.
***************
L'histoire commence par la fin, tandis qu'il faut rédiger une oraison funèbre en mémoire de ceux qui ont été ensevelis dans les décombres de l'hôtel. Bien entendu nous ne savons pas lesquels et c'est là tout l'art et la manière qu'a imaginé l'auteur qui nous détaille, chapitre après chapitre, le passé et les secrets des personnages qui ont tous une sombre histoire, une part d'ombre. le style est superbe, on ne s'ennuie pas, on est surpris, on a envie de savoir qui en réchappe ! Les chapitres n'ont pas la même forme : tantôt des lettres, tantôt des pensées, des dialogues, des rencontres : tout est si vivant. Il y a de nombreux chapitres autour des sept enfants et leur société secrète. Aucun couple n'est unis mais pour des raisons différentes. Beaucoup de signes funestes laissent prévoir la catastrophe annoncée.

Ce roman offre un très bon moment de lecture ; si seulement la plupart des romans étaient réalisés d'une si belle façon et avec un tel style. Drame et humour y sont présents. J'ai bien aimé tenter de dénicher les indices disséminés par l'auteur qui elle, sait qui en réchappera. J'ai également noté de nombreuses références littéraires, auteurs ou personnages.

Lien : https://lecturesencontrepoin..
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Le révérend Bott a l'écriture trop brouillonne pour savoir se relire. Alors il tape ses sermons à la machine à écrire. Evidemment, le résultat est presque plus calamiteux puisqu'au peu de variations que consentent ses pattes de mouche se substitue l'infinie combinatoire d'une alternance anarchique des majuscules, minuscules, des signes de ponctuation indus, du dangereux voisinage de pas moins de sept touches autour de la lettre que ses doigts malhabiles auraient dû frapper. Minuscule coin enfoncé dans l'orthodoxe dessein divin, les sermons du révérend en prennent un tour absurde délicieusement piquant.

Quant à Mrs Paley, aussi ridicule que ce soit, elle rêve de partir en Chine sur la foi des souvenirs qu'elle a d'un paravent de son enfance. Avec « un lac et des gens qui pêchaient sur de légers esquifs parmi des rochers aux étranges volutes ». Quel pays merveilleux ce doit être que cette Chine-là ! Avec ce qu'est son quotidien auprès du sinistre Mr Paley, on conçoit qu'elle s'y évade.

Mrs Ellis vient d'on ne sait quel monde. Il semblerait qu'elle ait frayé dans des cercles autrement huppés par le passé. L'aigreur aura sans doute corrompu son tempérament. A moins que ce revers de fortune ne soit justement dû à un épouvantable caractère. La voilà, toujours est-il, à servir dans ce nouvel hôtel sur la côte anglaise au pied des falaises.

Mr et Mrs Siddal n'auraient pas autrement les moyens de subvenir aux études de leur cher Duff. En ce bel été 1947, ils ont donc ouvert leur maison aux hôtes payants. Mrs Siddal s'épuise en cuisine. Mr décline un mélange d'agressivité passive et de condescendance houleuse depuis le placard à chaussures qui lui sert désormais de chambre. Gerry, l'ainé qui est médecin, ne compte que pour offrir ses revenus à sa famille désargentée et se plier à toutes les corvées que réserve ce nouveau projet. de toute manière, serviable et couvert de boutons comme il est, à quoi d'autre serait-il bon ?

Et puis, Lord et Lady Gifford, leur quatre enfants. Les trois petites Cove et leur épouvantail de mère. le chanoine Wraxton et sa fille au moins aussi hystérique qu'il est fou furieux, la délicieuse Nancibel, Fred, Robin, la sulfureuse Anna et son chauffeur Bruce.

Et une bonne partie de ce joli petit monde va périr écrabouillé sous un pan de falaise qui détruira impitoyablement l'hôtel et ses hôtes encore présents.

Non, ne tapez pas, je vous promets, je ne gâche rien, ce fait est connu dès les toute premières pages du roman.

Qui en revanche ? Ca, je ne vous le dirai pas. Il faudra le découvrir au terme des sept parties de ce livre comme autant de jours qui séparent ce joli samedi initial du vendredi de la catastrophe.

Mis dans la confidence, le lecteur a ce trouble statut de voyant et de juge. C'est depuis cette place qu'il assiste au spectacle souvent indigne des actions des uns et des autres. Dans une Angleterre traumatisée moins par la guerre que par les trahisons qu'elle a provoquées, il faut faire avec les déserteurs revenus des Etats-Unis où ils avaient fui la disette et les bombes, les tickets de rationnement que d'aucuns prétendent marchander, les courages qui se sont débinés et les drames qui sont restés tus. Il faut accepter la ruine des grandes fortunes, la montée des classes laborieuses et la difficulté à garder une conduite dans un monde effrayant.

Quelle différence entre l'orgueil et la dignité ? Entre la patience et la soumission ? N'y a-t-il aucune morale à tenir et seul un plaisir à pourchasser ? La guerre doit-elle excuser les comportements les plus abjects ou le vers était-il dans le fruit bien longtemps auparavant ?

Sous ses atours grotesques ou grinçants, la farandole de personnages en vacances à l'hôtel des Siddal pose ces questions avec une urgence qu'explique leur situation souvent désespérée. Et loin d'y répondre avec toute la componction qu'on attendrait d'une romancière de bon ton, Margaret Kennedy s'appuie sur un sens affirmé du caustique pour clamer que le dogme étouffe et que la charité n'est rien que d'humain.

Mais c'est drôle. Délicieusement, légèrement drôle. A la manière d'une comédie bien sûr, avec des fêlures qui rappellent certains personnages de Dickens, d'autres qui m'ont fait penser à Beckett s'il avait été lâche ou flegmatique. C'est drôle et acidulé. On y trouve assez d'humour et de lucidité pour retremper son courage et se dire que, si le ciel est vide, tout n'est pas perdu pour autant.
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Cornouailles, 1947. Comme chaque été, le révérend Seddon rend visite au père Bott. Mais cette année, son ami ne peut lui accorder du temps : il doit écrire une oraison funèbre. En effet, l'hôtel de Pendizack vient de disparaître sous l'éboulement de la falaise qui le surplombait et avec lui, sept résidents.
Que s'est-il passé parmi les vacanciers la semaine précédant le drame ?
.

Alerte coup de coeur ! Je crois que c'est la première fois que je lis un livre où, dès le début, on m'annonce la fin. Enfin non, c'est déjà arrivé avec Roméo et Juliette, mais qui ne connaît pas la fin ?

Les nombreux personnages m'ont fait penser à certains moments à Hercule Poirot en vacances. Chaque protagoniste est unique, parfois attachant, parfois détestable et, si j'ai au début eu du mal à retenir tous les noms (je m'étais même fait un pense-bête), tout s'est ensuite mis en place et je n'ai plus rencontré de problème.

Ce huis clos dans la campagne anglaise d'après-guerre est raconté avec un mélange d'humour et de tension qui m'ont fait dévorer chaque chapitre. C'est un roman choral, où chaque chapitre prend le point de vue d'un protagoniste, parfois via son journal intime. Margaret Kennedy s'attache à dépeindre les travers de la société anglaise, et ça ne se fait pas sans un humour tout à fait british !

Je me suis prise plusieurs fois à suivre les péripéties et à me rappeler d'un seul coup qu'il allait se passer quelque chose de terrible à la fin. Tel personnage allait-il s'en sortir ? Et celui-ci ? Oh, celui-ci mériterait bien son sort ! C'est ce que je me disais tout le long, et je crois que l'autrice a bien réussi son coup.

J'ai dévoré ce roman de Margaret Kennedy et, même en connaissant la fin, j'ai malgré tout réussi à être surprise par les dernières pages.
Bref, je recommande cette lecture, et j'ai hâte de lire Divorce à l'anglaise, sorti en français récemment.

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