Coplan regarda la fille. De prime abord, ce qui frappait en elle, c'était son visage et ses yeux. Un visage ovale, très pur, aux traits d'une surprenante délicatesse ; des joues lisses et dorées, une bouche ourlée, des yeux magnifiques, en amande, aux pupilles d'un brun clair où palpitaient des reflets d'or.
Coplan murmura : – Vous voici donc Parisienne ?
– Oui, et follement heureuse de l'être ! C'est un de mes rêves qui se réalise. – Vous aime...
>Voir plus