AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,93

sur 30 notes
5
9 avis
4
13 avis
3
4 avis
2
0 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
« Loin de Berkley Hall » a obtenu la 2e place du concours d'écriture organisé par les éditions Charleston plus tôt cette année sur le thème Downton Abbey. Si vous êtes fan de cet univers, vous ne serez pas du tout déçu(e) par cet ouvrage très réussi.

Qu'il s'agisse de l'intrigue principale avec Lady Catherine ou des rebondissements annexes avec les personnages secondaires, on se laisse transporter avec joie dans le temps au coeur de ce domaine où cohabitent membres de l'aristocratie et simples domestiques. Les différents personnages sont dotés de personnalités riches et intéressantes. La narration est fluide, légère et rythmée.

J'ai particulièrement aimé le souci du détail de l'auteure qui nous offre des descriptions très poussées, qu'il s'agisse de l'architecture intérieure du domaine, des vêtements des personnages ou des menus des repas/festins. Cela contribue à rendre l'action encore plus vivante et crédible. On s'imagine avec beaucoup d'aisance les différentes scènes comme un film qui défile sous nos yeux au fur et à mesure que l'on tourne les pages.

En somme, j'ai été emballée par ce roman qui appelle une suite, un peu à l'image des diverses saisons de Downton Abbey ! Lady Catherine est un personnage complexe qui se prêterait facilement à cet exercice.

En attendant, je ferai durer le plaisir avec le roman Les larmes de Cassidy qui a remporté la première place du concours. Abusons donc des bonnes choses !
Lien : https://labibliodecaroline.w..
Commenter  J’apprécie          20
Une lecture agréable que j'ai lue en une après-midi pour satisfaire mon envie de me plonger dans la société anglaise du début du XXe. Les deux femmes au coeur de ce roman, Catherine et Lydia, s'opposent en tout et pourtant, elles se rejoignent par ce désir d'émancipation.
J'ai trouvé particulièrement intéressant de voir les souffrances des domestiques qui travaillent d'arrache-pied et qui n'ont aucune reconnaissance en contrepartie. Les personnages d'Anne ou encore de Mrs Smith, bien que vite abordés, représentent la détresse émotionnelle que certains pouvaient ressentir (dans leur vie privée) et qui sont contraints de répéter leurs tâches domestiques inlassablement.
L'intrigue de l'histoire est prévisible et assez simple, mais permet tout de même d'apprécier une lecture qui montre les mondanités des fêtes de Londres et une pression sociale plus que présente. En effet, l'autrice a bien insisté sur les exigences attendues d'une femme bourgeoise, qui n'est autre que se marier et d'assurer la descendance familiale. Par ailleurs, même si les hommes ont le droit de faire des études, ce n'est que pour leur connaissance personnelle et non pas dans un but d'avoir un métier, malheur !
Enfin, tout cela pour dire que j'ai aimé ce petit détour au sein du domaine familial de Berkley Hall avec une fin peu réaliste quand on connaît les grandes difficultés auxquelles les femmes ont dû faire face pendant des siècles pour gagner leur indépendance.
Commenter  J’apprécie          10
Avis aux amateurs de Downton Abbey. Ce roman a été écrit dans le cadre d'un concours organisé par les éditions Charleston autour de la célèbre série. Arrivé en 2e position, Loin de Berkley Hall a d'abord été publié chez Librinova avant d'être édité par City Editions.

Nous voilà en Angleterre en 1911. La jeune Lady Catherine est la fille aînée de Lord Davenport, entrée dans le monde plusieurs années auparavant et peu pressée de se marier. Sa soeur, bien au contraire, a hâte de connaître sa première saison, cette période intense de bals et réceptions mondaines dont le but ultime est de trouver un bon parti. Les deux soeurs mènent une existence dorée dans l'immense domaine familial tandis qu'en bas, les domestiques oeuvrent avec discrétion pour s'assurer de leur confort à tout moment. Parmi eux, Lydia, leur femme de chambre qui voulait devenir institutrice mais n'en a pas eu les moyens. Une fois sa journée terminée, Lydia couche par écrit ses observations pleines d'ironie et de lucidité sur les travers des maîtres et des domestiques, mettant à jour l'injustice du système.

Plutôt indépendante mais encore indécise quant à la voie qu'elle souhaite emprunter, Lady Catherine découvre par hasard les écrits de Lydia et, au lieu d'en prendre ombrage et de la renvoyer, décèle le talent de l'apprentie écrivain et l'encourage à poursuivre. Avec, à l'esprit, l'idée de la publier.

Entre Londres et Berkley Hall, Lady Catherine et Lydia vont nouer une réelle complicité autour de valeurs communes et chercher une façon de s'émanciper de leur condition.

Loin de Berkley Hall est un premier roman très plaisant. Après les premiers chapitres et une mise en place relativement conventionnelle, le lecteur (ou sans doute, la lectrice) se laisse vite absorber par cette histoire pleine de fraîcheur. Si les failles de la société de classe sont mises en avant, on s'aperçoit vite que Lady Catherine a elle aussi des raisons de ne pas vouloir se complaire dans son rôle de lady. Au-delà de la lutte des classes, c'est de la condition de la femme dont il est question ici, de ses aspirations et de son rôle dans la société, que Lady Catherine et Lydia entendent bien bousculer. J'ai parfois eu quelques doutes sur le réalisme de certaines situations (notamment la réaction du père à mon avis extrêmement tolérant pour l'époque ; ou encore, un échange entre la soeur et son prétendant qui m'a paru curieux – il l'a vue, visiblement sur le domaine donc, mais sans que Lady Catherine ne le sache, ce qui me semble à peu près impossible) mais globalement, j'ai trouvé que le sujet était bien maîtrisé et l'attention portée aux détails historiques est évidente. Enfin l'écriture est fluide et agréable. Un roman historique féminin qui offre un moment de lecture très sympathique et place les intrigues amoureuses au second plan, sans guimauve. Un petit plaisir à ne pas bouder.
Lien : http://www.myloubook.com/202..
Commenter  J’apprécie          10

Je remercie les éditions City pour l'envoi de ce service presse via la masse critique Babélio.

Le résumé m'a intriguée et cela faisait longtemps que je n'avais pas lu d'historique.

La couverture est trés belle et reflète bien l'intrigue.

Et c'est là qu'on rentre dans le vif du sujet : la grosse déception alias le prologue.

Le prologue m'a vendu du rêve, sauf qu'en fait c'était la fin du livre et d'avoir lu ce passage à rendu (pour moi) le reste fade, j'attendais avec impatience son départ.

Je pense que si j'avais lu l'histoire d'abord et le prologue ensuite, je serais rentrée plus facilement dans l'histoire et j'aurai plus aimé mais là du coup, il me manquait la petite étincelle.

Ce qui est vraiment dommage car Catherine et Lydia sont des personnages fantastiques que j'ai beaucoup aimé.

Mais cela reste une bonne lecture qui en plus nous en apprend beaucoup sur l'histoire des femmes.
Lien : https://labibliothequedemian..
Commenter  J’apprécie          10
J'ai sollicité ce titre sur Netgalley parce que je l'ai vu passé à de nombreuses reprises sur Twitter et les critiques plutôt bonnes m'ont données envie de le lire. Et je dois dire que je ne regrette pas.

Dans Loin de Berkley Hall, nous faisons la connaissance de la famille Davenport, issue de la haute bourgeoisie. Au sein de cette famille, Lady Catherine, jeune femme éprise de liberté et qui refuse de se marier avec un beau partie comme le souhaiterait son père. Un jour elle va faire une découverte qui va lui donner espoir pour un tout autre avenir. En effet, Lydia, sa femme de chambre pose sur papier des anecdotes de la vie de tous les jours, mettant en scène les gens de la haute et ceux "d'en bas". Ensemble, elles vont alors se mettre à l'écriture, mais Lady Catherine a de plus grandes ambitions pour ces écrits. Jusqu'où va-t-elle aller pour s'affirmer et imposer son choix de vie ?

J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman. Je l'ai déjà dis par le passé, mais j'aime assez les livres qui se passent au début des années 1900. Je n'en lis malheureusement pas assez. Loin de Berkley Hall a vraiment été une lecture agréable. J'ai aimé cette Lady Catherine qui casse les codes pour pouvoir s'affirmer, malgré le "qu'en dira-t-on". Cette jeune femme qui ne veut pas d'une vie "toute tracée" est très attachante. Autant que Lydia, sa femme de chambre qui ne souhaite qu'une chose : s'élever socialement.

Autre point que j'ai apprécié, c'est la façon dont le sujet des classes sociales est traîtée. En effet, Coralie Khong-Pascaud montre bien que les différentes classes sociales sont bien présentes, mais également qu'elles sont complémentaires. En effet, sans les gens qui les servent, les aristocrates et autres bourgeois ne seraient rien. C'est vraiment un beau message d'égalité sociale que nous livre l'auteure.

Le style de l'auteure est agréable à lire. C'est fluide, les chapitres sont ni trop cours, ni trop longs. Les descriptions sont utilisées à bon escient, bref c'est vraiment une agréable surprise. Je l'ai lu presque d'une traîte, et j'ai beaucoup aimé l'ambiance, les personnages et l'intrigue que j'ai trouvé particulièrement intéressante. Pour un premier roman, on peut dire que c'est une belle réussite !

Lien : http://aubazaardeslivres.blo..
Commenter  J’apprécie          10
Ce n'est pas pour nous faire prendre un coup de vieux à toutes les deux, mais Coralie est l'une des premières personnes que j'ai suivi sur Twitter et j'adore échanger avec ou suivre son blog, j'ai donc été plus que ravie d'apprendre qu'elle allait au bout de son rêve et de son roman en étant publiée ! Je n'ai donc pas hésité une seule seconde et j'ai foncé lors des candidatures pour les blogueuses partenaires ☺ Je remercie donc chaleureusement les éditions City pour l'acceptation ♥


Ce roman regroupe deux sujets que j'adore lire ou même regarder dans les films et les séries. Tout d'abord, la période. le début du XXème siècle est, je trouve, l'une des périodes de l'Histoire la plus intéressante, par le gros coup de pouce dans l'évolution de notre quotidien, mais aussi par tous ces génies qui ont vu le jour.
Ensuite, vient la condition de la femme et les luttes pour certaines, comme ici pour nos deux héroïnes, Lady Catherine et Lydia.


Par leurs titres, on ressent déjà les différences au niveau des classes sociales et à juste titre. Lady Catherine est de la haute société, où les apparences prônent sur ce qu'il se passe dans la tête et à son âge, elle devrait être mariée, prête à fonder une famille, mais ce n'est pas ce qu'elle souhaite, du moins, pas un mariage forcée comme le souhaite son père. de son côté, Lydia est une domestique, ce qui signifie une moins que rien pour ceux qui l'embauche, mais qui doit faire toutes les tâches dans la journée et les répéter jour après jour. Aucune de ces femmes ne supporte sa condition et souhaite la changer, un combat commun qui fera bien du bruit aussi bien dans les soirées mondaines que dans les cuisines !


J'ai beaucoup apprécié le décor, tout comme les personnages et leur évolution, mais je dois dire que j'ai plus été impressionnée par la plume de l'auteure qui m'a fait lire le roman en à peine quelques heures, sans tellement m'en rendre compte. Je ne faisais pas que lire, je regardais l'histoire et ayant des airs de Downton Abbey, ce ne fut qu'un plaisir à 300%.
Ce roman n'a pas de période pour se lire et c'est génial ! On peut parfaitement l'apprécié au coin de la cheminée avec un café chaud, comme au soleil durant la bronzette, je ne peux donc que vous dire de le lire dès que l'occasion se présente et/ou de l'offrir pour un pur moment de bonheur ♥

Lien : https://livres-et-compagnie...
Commenter  J’apprécie          00
Dès les premières pages, nous sommes plongés dans l'ambiance de l'Angleterre des années 1910. C'est la fin de l'époque Victorienne, le pays connait des mouvements populaires (notamment les « suffragettes ») : les gens veulent du changement. Cela n'échappe pas à lady Catherine et Lydia qui en ont marre des conditions de vie actuelle. Si lady Catherine n'a pas à se plaindre de son rang, elle n'est pourtant pas heureuse. le protocole voudrait qu'elle soit déjà mariée (pas forcément avec un homme qu'elle aime) avec des enfants et qu'elle soit « une bonne épouse ». Seulement, la jeune femme n'a pas l'ambition de reproduire le schéma familial, ni de respecter la bienséance pour faire plaisir. Si elle n'a pas forcément d'idée précise pour se démarquer, elle est pourtant déterminée à ne pas faire ce que l'on attend d'elle. Touchante, cette révolutionnaire en herbe ne facilite pas la tâche à son père qui tient à sa réputation. Pourtant, il n'est pas foncièrement mauvais car il n'oblige en rien lady Catherine, alors qu'elle refuse une belle opportunité de mariage. Il aurait pu organiser un mariage arrangé ou décider pour elle. Mais il n'en fera rien, laissant sa fille faire ses propres choix. Lady Fiona se montre très discrète et n'a pas d'opinion. Fade, elle est de l'ancienne génération et respecte les convenances. de son côté, Millicent espère réaliser son rêve d'entrer dans la haute société et de se faire courtiser. En revanche, elle n'est pas prête à épouser n'importe qui : elle a du caractère.

Dans les coulisses de Berkley Hall, les domestiques sont à pied d'oeuvre tous les jours. Leurs conditions ne sont guère enviables : peu d'argent, pas d'éducation, beaucoup de travail, pas de reconnaissance… Ce sont pourtant ces invisibles qui font tourner la propriété et apporte le confort de vie à la famille. Lydia n'aime pas son travail, même si les Davenport sont plutôt bons. Elle aimerait pouvoir devenir quelqu'un et que l'écart entre les riches et les pauvres ne soient plus si marqué. Pour s'échapper de son quotidien, elle écrit. Dans son carnet, elle raconte la vie à Berkley Hall, les soirées mondaines, caricature les convives, etc. Pétillante, la jeune femme aimerait s'épanouir davantage. Toutefois, elle ne peut pas compter sur Anne, Mrs Smith, ou les autres domestiques qui sont bien trop sérieux et ennuyeux. L'alliée qui la fera enfin sortir de cette monotonie sera lady Catherine. Malgré leur différence de rang, les deux femmes vont sympathiser, puis s'entre-aider à devenir les femmes indépendantes qu'elles imaginent depuis si longtemps.

Dans ce roman, on assiste à l'évolution de la vie de lady Catherine et de Lydia durant plusieurs mois. L'auteure décrit avec précision la façon de vivre de l'époque; ainsi, on a vraiment l'impression d'être aux côtés des héroïnes. On imagine bien le raffinement et l'importance des apparences. Lorsque l'on est du côté des Davenport, on ressent la platitude, voire l'ennui du quotidien. Seules quelques mondanités égayent leurs soirées. Malgré quelques tensions, l'atmosphère est calme et sereine. du côtés des domestiques, c'est plus dynamique et tendu : il faut courir partout pour satisfaire les désirs de la famille. Il n'y a que peu de répit et pas de divertissement.
Les injustices et la considération de la Femme révoltent lady Catherine et Lydia. Avant même de se rapprocher, on les voit se questionner, réfléchir à la Vie, à leurs vies, à l'avenir.

L'intrigue est légèrement pimentée par un secret de famille. La seule chose qui m'a manquée, c'est le manque d'audace de lady Catherine : je pensais qu'elle irait vers des actes plus concrets et qu'elle serait plus impliquée dans les mouvements populaires. Cependant, elle a trouvé la voie qui lui plait et ce dénouement m'a satisfaite, car elle reste fidèle à elle-même. J'ai bien aimé les descriptions de l'auteure qui rendent les personnages et les décors réalistes. On se représente facilement l'histoire. La lecture est agréable, notamment grâce à la plume soignée et distinguée de Coralie Khong-Pascaud.
Lien : https://leslecturesdangeliqu..
Commenter  J’apprécie          00
Je partais avec l'idée d'un livre porté sur le féminisme d'après ce que j'en avais entendu. Et ce sujet est très bien traité. En utilisant une époque différente de la nôtre, où le féminisme n'existait qu'à peine, voire pas du tout, Coralie a réussi à plonger le lecteur dans une réflexion engagée. Sauf la figure du père de Catherine, il n'existe quasiment pas d'homme ayant la parole dans ce livre, laissant la voie libre aux femmes. J'ai beaucoup à dire sur les différentes figures féminines qui jalonnent le livre mais je vais d'abord commencer par ce qui a manqué à ma lecture pour devenir un coup de coeur.

C'est tout à fait personnel, beaucoup adorent les descriptions. J'ai remarqué au fil de mes lectures, qu'au lieu de m'immerger dans le livre, les descriptions alourdissaient la lisibilité des passages. Bien qu'elles soient nécessaires pour présenter les personnages ainsi que pour se représenter les lieux, je les ai trouvées trop présentes. Au niveau des vêtements par exemple. J'ai trouvé le début un peu long et du coup, l'histoire met un peu de temps à démarrer. En réalité, je n'ai compris le titre qu'à la fin du livre, et je trouve que la véritable action ne se concentre que sur les 70 dernières pages. Mais d'un côté, de cette manière, on comprend mieux le cheminement des deux personnages principaux.

J'ai apprécié le manque de romance, c'était un vrai bonheur de se concentrer sur la vie de Catherine, une héroïne qui s'en balance totalement des mecs, c'est si rare. En tout cas, sans spoiler, si romance il y a, elle est très subtile et seulement suggérée. Alterner le point de vue de Catherine et de Lydia permet de saisir leur évolution en même temps. le principe d'un livre à deux voix ne m'a pas dérangée du tout, au contraire, je trouve que ça rend leurs pensées authentiques. L'auteure a utilisé un siècle bien patriarcal, dans une Angleterre qui n'a jamais vraiment cessé de l'être. J'ai trouvé que le père avait une position particulière, il essaye de comprendre sa vie mais ne veut pas mettre en danger sa renommée et l'avenir de sa deuxième fille, Millicent. C'est un personnage secondaire, mais qui déclenche l'action, elle a un caractère un peu égoïste, mais elle apporte de la fraîcheur, de la candeur lorsqu'elle voit les mondanités avec son oeil enfantin. Les personnages ne sont pas manichéens, et ça aussi, c'est très agréable !

En bref, malgré l'intrigue un peu longue à se mettre en place, j'au beaucoup apprécié l'évolution des deux personnages féminins, et ce qu'elles arrivent à accomplir en se serrant les coudes malgré les classes sociales différentes dans lesquelles elles sont coincées. On voit que Lydia envie Catherine, mais que celle-ci n'est pas plus heureuse qu'elle, malgré son statut social plus élevé ! C'est une belle morale, pour l'égalité et l'entraide ! On devrait en prendre de la graine 😉 Un très joli roman, tout à fait dans l'ère du temps !
Lien : https://auxpetitsbonheursweb..
Commenter  J’apprécie          00
Pardon pour laisser mon commentaire en retard sur ce roman... :/

Berkley Hall est un roman que j'ai beaucoup aimé. Plongé dans un univers d'aristocratie anglaise et des petites gens, j'ai beaucoup apprécié cette touche "Downton Abbey".
Coralie Khong-Pascaud écrit très bien, ses descriptions m'ont beaucoup aidé à me plonger dans l'univers. Les personnages sont bien développés avec une mention pour Lady Catherine, personnage indépendant qui défend les causes qui lui sont chères.
Roman à lire et auteure à suivre !
Commenter  J’apprécie          00
Histoire qui se lit bien surtout si on aime l'époque et Downtown Abbey....
Commenter  J’apprécie          00




Lecteurs (68) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3194 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}