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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Doux, poétique et d'une bienveillante mélancolie, laissez-moi vous présenter le roman que j'aurais aimé écrire : 12 Bis, avenue du Maréchal Joffre, d'Anne de Kinkelin et édité dans la très belle collection Traversée chez Harper Collins. Maison d'édition que je remercie chaleureusement pour l'envoi de ce livre très réussi. Pour preuve ces quelques phrases :
"Je suis une vraie-fausse malade. Vraie, parce que mes parents passent leur temps à me regarder avec des yeux condescendants. Fausse, parce que ma maladie ne rentre pas entièrement dans le Vidal."
De cet extrait de première page, l'auteure pose l'ambiance de son second roman en quelques phrases. de la maladie il sera question, un peu, mais surtout du questionnement intérieur d'une jeune femme en pleine rupture familiale.

Cette fille c'est Léa. 18 ans à peine au compteur et une habituée de l'hôpital depuis près de 10 ans. Son mal ? Une anorexie émotionnelle qui passe par l'assiette.

"J'ai perdu le goût de l'assiette le jour où j'ai oublié de sourire." dit-elle. Ça ne s'invente pas...

Alors elle se réfugie sur son toit et observe la banlieue parisienne rêvant de déambuler, elle aussi, dans quelques rues du monde. Et soudain, une révélation, enfin ! Prisonnière du regard et de l'attention parentale, Léa prend conscience du malaise. Fraîchement diplômée du bac et l'été pointant le bout de son nez, c'est décidé, Léa part à l'aventure. Oui, mais pour aller où, comment, dans quel but ???

Prendre une adresse. Et pourquoi pas la sienne, le 12 Bis avenue du Maréchal-Joffre ? Rien ne lui plaît dans celle-ci. Mais peut-on avoir un destin avec une adresse aussi banale ? En choisissant au hasard quatre habitants du "12 Bis", c'est décidé, Léa part à la conquête d'elle-même.

De Mérignac à La-Colle-sur-Loup en passant par Tarbes et Biarritz, la bachelière sillonne le sud, son coeur palpitant un peu plus au gré des rencontres. Léa retrouvera-t-elle le goût du sourire ? Et si cette quête lui ouvrait enfin les yeux sur ses parents et peut-être retrouvez une place auprès de sa mère ?

Histoire d'une naissance , d'un envol, d'une liberté, ce roman est avant tout celui d'un apprentissage. L'apprentissage des émotions, des autres, de soi, avec dans l'ombre toujours ce rapport au corps et la maladie.

Ponctuée de phrases courtes et percutantes qui m'ont d'ailleurs fait penser à Loulou Robert, cette histoire résolument optimiste révèle une poésie écrite avec beaucoup de sincérité et de simplicité.

Émouvant et terriblement élégant craquez pour cette invitation au voyage.

Prêt pour ce nouveau podcast ? Retrouvez cette chronique tous les jeudis sur ZED, webradio francophone qui émet depuis le Chili ainsi que sur Allô la Terre.
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La mise en place de l'intrigue demande de la rigueur, de la patience. Nous allons faire la connaissance de Léa , "une vraie- fausse malade" , anorexique, qui a passé la moitié de sa vie dans les murs d'hôpitaux ,une mère qui la surprotège, un doudou pour son papa, Laurence et Laurent!
Ils habitent 12 bis Avenue Maréchal Joffre à Houilles (78) .
Un jour, Léa, 18 ans, leur annonce son projet de partir en voyage , préparé pour savoir si, habitant à une adresse banale, on peut avoir un destin... Et elle souhaite rencontrer quatre personnes qui habitent au 12 bis avenue Maréchal Joffre ,en France.
A partir de là, le roman ne se lâche pas, le lecteur part dans le sac de Léa , en train à Mérignac, dans un premier temps. Et puis il reste les parents à Paris. Leur vie vole en éclat : leur fille était leur ciment depuis dix-huit ans et là, elle part, elle est majeure, n'a plus besoin d'eux.... AIE!!!!!!
Pour sublimer ce road trip, des mots choisis avec tac, talent, précis. Une écriture splendide, délicieuse. Quel bonheur de lire ces mots!!!!
Je l'ai dévoré . A vous de découvrir Léa et son courageux périple pour sortir de l'enfance, des hôpitaux, de la maladie, de l'"emprise" de ses parents...

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S'envoler avec les émotions .
Perdre les mots dans le vide .
Écouter son coeur battre .
.
Couper le cordon .
Respirer, y aller .
Avoir besoin d'air .
.
[ maman, papa, je pars .
Et où tu pars, on peut savoir .
Rencontrer d'autres gens qui habitent au 12 bis, avenue du Maréchal Joffre. Je veux savoir si avec une adresse aussi banale on peut avoir un destin ..]
.
Commencer à s'aimer .
Saisir sa chance .
Rayonner .
.
[ direction l'ailleurs, direction moi même ]
.
Souffrir en silence .
Partir, comme ça .
.
«  avoir un destin »
.
Apprivoiser l'espace , le silence .
Trouver son chemin .
Avancer .
[ le 12 bis, avenue du Maréchal Joffre ]
.
Apprendre .
Partager.
Et réaliser ses rêves surtout .
.
Une belle histoire .
Un roman étrange et intéressant .
Touchant et étonnant .
Sur les liens, les sentiments et les silences .
Tout en fragilité et énergie .
Entre espoir, reconstruction et amour .
.
[ un chagrin désordonné et joyeux ]
.
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Anorexique depuis de nombreuses années, Léa souffre, mais un jour, elle a un déclic : l'heure de l'émancipation et du changement a sonné ! Et cela passe par un voyage, autant physique qu'introspectif, qui va la conduire aux quatre coins de la France chez quatre inconnus habitant, tout comme elle, au 12 bis, avenue du Maréchal-Joffre. En toile de fond de ce saut dans l'inconnu, une question : en habitant une adresse aussi banale, est-il possible d'avoir un destin ?

L'idée de départ a quelque chose de complètement fou, mais aussi de tellement innocent, poétique et romanesque… Pour apprécier ce roman, il faut d'ailleurs accepter le caractère insolite de la démarche, et faire fi de ces parcelles de rationalité nous poussant à considérer les risques : et si Léa faisait de mauvaises rencontres, et si elle se faisait agresser, et si elle tombait malade, et si elle manquait d'argent… Et, peut-être tout aussi dur pour sa mère qui a centré toute sa vie sur son enfant malade, et si Léa entrevoyait enfin la lumière au bout du tunnel ?

En découvrant la vie de Léa, son besoin d'évasion et de fuite pour se (re)trouver nous apparaît assez logique et semble même vital. Comment peut-elle guérir quand sa vie se résume à une prison médicalisée et à un appartement dans lequel elle est constamment surveillée ? Entre une mère aigrie qui ne s'exprime plus qu'avec acrimonie et considère d'un oeil hargneux les velléités d'indépendance de sa fille, et un père qui a fait d'elle son doudou, quelle place peut-elle réellement revendiquer si ce n'est celle qu'on a consenti à lui assigner à son corps défendant ?

Au cours de son voyage et au gré des rencontres, Léa va apprendre beaucoup sur elle-même. Elle va se réapproprier progressivement son existence, ses envies, ses rêves, et faire la paix avec ce corps contre lequel elle a si longtemps lutté. Plus une petite fille, mais pas encore une femme, elle avance avec détermination tout en gardant au fond d'elle cette fragilité qui donne envie de la prendre dans les bras et de la rassurer. Certes, ses débuts dans la vie ont été difficiles, mais ils ne conditionnent en rien son avenir qu'elle commence, petit à petit, à modeler à son image, et non en fonction des attentes de ses parents.

Plus les pages défilent, plus l'on sent à quel point la fille perdue des débuts s'affirme et revendique enfin sa place dans ce monde. Curieuse, intelligente et d'une rafraîchissante et déroutante honnêteté, Léa m'a émue et touchée. Son évolution m'a, en outre, beaucoup plu tout comme ses rapports avec sa mère qui connaissent de profonds et surprenants bouleversements. le roman possède donc une belle dimension feel good que je n'avais pas anticipée, mais qui rend la lecture particulièrement agréable et fluide tout comme la narration alternée bien amenée et exploitée.

Celle-ci nous permet de suivre les pensées de Léa et d'en apprendre plus sur ses parents et les personnes qu'elle rencontre tout au long de son road trip. Si j'ai trouvé intéressant de découvrir la galerie variée de personnages, certaines personnalités m'ont plus touchée que d'autres à l'instar de Joseph, un homme doux qui a trouvé son salut dans le jardinage. J'ai également apprécié Garance, une écrivaine publique, qui va se révéler d'une grande aide pour Léa qu'elle va prendre sous son aile avec beaucoup de bienveillance et de douceur. Milo, mannequin solitaire qui se cache derrière sa beauté, est la personne qui m'a le moins inspirée, mais j'ai apprécié son évolution et la manière dont l'intrusion de Léa dans sa vie va lui offrir matière à réflexion.

Marceau, animateur de radio nocturne à fleur de peau, est, quant à lui, un personnage qui émeut même si je pense qu'un point le concernant pourra heurter certains lecteurs. Pour ma part, mes réserves du début se sont envolées devant le naturel avec lequel les choses se déroulent… Très différents les uns des autres, ces personnages seront une étape indispensable dans le voyage de Léa qui, en échange de leur hospitalité et/ou de leur attention, sèmera en eux les graines du changement.

L'autrice, à travers cette histoire aux allures de quête initiatique et de roman d'apprentissage, évoque le besoin de liberté et d'émancipation, la quête de soi, la fin de l'adolescence et le début parfois difficile de la vie d'adulte, la pression sociétale sur les femmes et leur rôle de mère, mais elle parle aussi beaucoup d'amour. Aimer, ne pas s'aimer, mal aimer, aimer malgré tout, aimer sous pression, apprendre à aimer et à pardonner, se libérer d'un amour toxique, se séparer, se retrouver… Des thèmes forts abordés avec justesse, élégance et subtilité !

Anne de Kinkelin nous parle également des relations mères-filles oscillant parfois entre haine et amour inconditionnel, et d'un autre sujet que je vous laisserai découvrir puisqu'il apporte un changement majeur dans la vision que l'on peut avoir de l'histoire. Vous découvrirez ainsi que les apparences sont parfois trompeuses et qu'il faut faire attention avant de porter des jugements trop hâtifs sur certaines personnes sous peine de se montrer profondément injuste et de transformer des victimes en bourreaux… Pour ma part, j'ai été profondément révoltée par la monstruosité d'une personne qui, des années durant, a endossé un rôle pour mieux tromper et manipuler son entourage. Je sais que de tels individus existent et je n'ose imaginer les dégâts qu'ils laissent derrière eux.

Quant à la plume de l'autrice, immersive, fluide et poétique, c'est un enchantement de tous les instants d'autant qu'Anne de Kinkelin possède l'art de la formule avec des phrases percutantes qui vous restent en tête et qui résonnent au plus profond de votre être… Petit bonus, chaque titre de chapitre est un intitulé d'un morceau de musique, ce qui permettra aux lecteurs qui le souhaitent d'accompagner leur lecture en musique et/ou de se constituer une petite liste d'oeuvres à (re)découvrir.

En conclusion, 12 bis, avenue du Maréchal-Joffre est un magnifique et poignant roman, empreint de poésie et de bienveillance, sur la résilience, l'acceptation de soi, les secondes chances, la famille, et sur l'amour, l'amour qui blesse, mais aussi celui qui fait grandir et libère… Touchante dans sa vulnérabilité, Léa nous montre que pour vivre, il faut déjà apprendre à s'aimer et à trouver dans les petites choses de la vie et les opportunités qu'elle offre, ou que l'on provoque, les graines de son futur bonheur. Il suffit pour cela d'un projet un peu fou, de beaucoup d'audace, et d'une bonne dose d'espoir… Belle, poétique et inspirante, cette histoire devrait vous émouvoir et vous offrir un beau moment d'évasion à savourer sans modération !
Lien : https://lightandsmell.wordpr..
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C'est l'histoire de Léa, une jeune femme, anorexique depuis huit ans déjà, perdue dans ses émotions.
C'est l'histoire de son émancipation, de sa quête existentielle, de sa reconstruction, de son besoin de vivre, de sa renaissance.

Nous la suivons dans cette quête qui paraît insensée, ou tout du moins inconsidérée, avec un questionnement étrange : Peut-on vivre à une adresse banale, et avoir un destin ?
Elle décide donc de prendre ce fameux destin en main, de sortir de la case qu'on lui a attribuée, elle, la jeune femme malade, et dans laquelle elle s'était endormie. Elle décide de prendre sa vie en main, hors du carcan familial, et de partir en voyage, en quête de soi.
Pour répondre à son questionnement, elle choisit 4 personnes, qui vivent à la même adresse banale, mais dans 4 villes françaises différentes.
Une idée, qui semble saugrenue, et qui lui vaut des accueils variés, déstabilisants, étonnants, voire même déplaisants... mais chaque rencontre apporte de l'eau à son moulin de la vie.

Au fil de son périple, elle vit une réelle renaissance, mais en chemin, et dès son départ, elle bouleverse la linéarité de son existence, ce qui, par un effet de dominos, risque bien d'avoir des conséquences dans la vie d'autres personnes.
N'oublions pas que nous sommes tous interconnectés, nous, humains sur la planète Terre. Si nous semons des graines, il est probable que la vie refasse surface, évolue, change, prenne une autre dimension.

J'ai grandement apprécié de suivre Léa dans son périple et sa quête de sens. Et j'ai beaucoup aimé la plume de l'auteure, tout en sensibilité, délicatesse, douceur, poésie.

N'êtes-vous pas en ce moment en train de ressentir des picotements dans vos jambes... comme une en-vie de voyage ?
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Je trouve la couverture magnifique avec cette main levée comme si elle essayait de toucher les nuages à travers la vitre par une journée ensoleillée. J'imagine que c'est le paysage qu'elle découvre pendant un trajet en train que Léa.

Ce roman est à la fois à la première personne, Léa dix huit ans et certains chapitres sont à la troisième personne, ce qui fait que le lecteur à une vue d'ensemble contrairement à notre jeune héroïne.

Léa malgré son jeune âge a déjà un passif assez conséquent. On va avoir un condensé de huit d'anorexie et de souffrances. Des allers retour à l'hôpital à frôler la mort. Des relations familiales toxiques autant pour elle que pour ces parents. Famille dysfonctionnelle que l'on va découvrir de chapitre en chapitre.

Léa a un déclic à dix-huit ans avec son bac avec mention en poche. Elle décide de couper le cordon ombilical de manière surprenante. Elle décide d'aller à la rencontre d'inconnus habitant à la même adresse qu'elle dans d'autres villes de France pour découvrir si avec une adresse aussi banale on peut avoir un destin.

Le lecteur va découvrir ces inconnus avant elle puis avec elle …

Léa crée au fur et à mesure qu'elle progresse dans sa quête des déséquilibres. Elle bouleverse l'ordre des choses pour créer un autre équilibre. On pense au début qu'elle va prendre ce dont elle a besoin mais on se rend bien vite compte qu'elle a beaucoup à apporter en retour, ce n'est pas juste action-réaction.

Mais tout le monde est-il prêt à la recevoir ?

Le chaos qu'elle a laissé en partant de la cellule familiale va avoir des conséquences sur son parcours. Ce n'est donc pas une succession de rencontres, c'est à chaque fois une expérience, d'autant que chaque étape la fait elle-même évoluer.

Il y est question de sentiments, d'amour de soi et d'amour pour l'autre … ou le manque de tout cela.

Léa est très touchante par sa sincérité. Les mensonges et les non-dits lui ont fait tant de mal. Elle le dit elle-même l'hôpital lui a appris qu'il fallait être vrai, ne pas se tromper soi-même.

J'ai beaucoup aimé cette galerie de portrait d'être à fleur de peau même si certains je ne les ai pas apprécié !

C'est un roman qui parle des blessures qu'on peut s'infliger à soi ou à l'autre. Je n'en dirais pas plus pour vous laisser découvrir.

Cette histoire c'est aussi celle des graines que l'on sème sur son chemin de vie et qui parfois donnent de belles prairies. Une nouvelle fois je suis emportée par un voyage initiatique, une voyage de formation et j'y ai pris grand plaisir.

Merci d'avoir donné en fin de volume les titres des chansons qui ont donné le titre de chaque chapitre.
Lien : http://ramettes.canalblog.co..
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⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
Ce livre est une pépite !
Ce livre est un bonbon !
Cette histoire est bien écrite !
Cette histoire est originale !
Cette histoire est belle !
Cette histoire m'a touchée !
Je l'ai adorée !
Vous avez compris ce qu'il vous reste à faire 🤩
Hop hop hop on le met dans sa valise !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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J'ai adoré ce roman. Une sorte d'intrigue, du suspense, de la poésie. Réticente à la lecture des premières pages, en insistant j'ai plongé dans le parcours initiatique de Léa à la recherche de soi. Beaucoup de bienveillance. Je recommande vraiment ce roman si positif. Il fait bcp de bien.
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12 bis avenue Maréchal Joffre, à Houilles. Voilà où habite Léa. Mais Léa est anorexique et a été hospitalisée. A son retour à domicile, elle souhaite se reconstruire en effectuant un voyage chez les gens qui habitent la même adresse qu'elle mais dans une autre ville. Son but: vérifier par elle-même si une adresse banale comme la sienne détermine son destin. Avec Google, elle va partir à la rencontre de quatre personnes entre Mérignac, Biarritz, Tarbes et La Colle-sur-loup. Quartes, qui elles l'espère, vont lui faire reprendre pied et goût à la vie. Un roman touchant, qui fait du bien au coeur, des rencontres mémorables. Je pense notamment au personnage de Joseph. Ce charmant jardinier prendra Léa sous son aile comme si c'était sa propre fille. Son invention des boules à graines donne une note très poétique au roman. du haut de ses 18 ans, Léa fait preuve d'une grande maturité pour son âge. L'absence du père de Léa m'interroge. Je n'ai pas pu cerné complètement ce personnage mystérieux. Peut-être est-ce un choix de l'auteure? Je laisse la question ouverte. 12 bis avenue Maréchal Joffre est le deuxième roman d' Anne de Kinkelin après « L'année du flamand rose ». Un roman poétique et lumineux. J'ai vécu ce voyage avec Léa comme si je l'avais réellement fait. Une écriture très fluide. Foncez, vous ne serez pas déçu!!
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