Citations sur Homo sapienne (34)
Trouve toi un foyer, si tu as la nostalgie d’un chez-toi.
N’abandonne pas , si tu ne trouves pas de chemin.
Regarde-toi dans le miroir, si tu es sur le point d’abandonner.
Trouve-toi toi même, quand tu te regardes dans le miroir.
Tu trouveras ton foyer quand tu te trouveras toi-même ; et alors, rentre chez toi.
Tu trouveras ton foyer quand tu te trouveras toi-même; et alors, rentre chez toi.
Trouve toi un foyer, si tu as la nostalgie d’un chez-toi.
N’abandonne pas , si tu ne trouves pas de chemin.
Regarde-toi dans le miroir, si tu es sur le point d’abandonner.
Trouve-toi toi même, quand tu te regardes dans le miroir.
Tu trouveras ton foyer quand tu te trouveras toi-même ; et alors, rentre chez toi.
Mais j'en ai assez des saucisses. Je crois avoir essayé toutes sortes de saucisses. Saucisses à hot-dog, saucisses pur porc, saucisses de Francfort, saucisses cocktail, rouges, brunes, jaunâtres, grandes, petites. You name it. J'en ai assez.
12.50 What a day to give up
Mais je n’arrive vraiment pas à être indifférente. Je n’arrive tout simplement pas à ignorer. Je n’arrive pas à faire comme si j’étais contente alors que je vais mal. Je n’arrive pas à sourire alors que je suis de mauvaise humeur. Je ne peux pas faire semblant d’être heureuse alors que je suis franchement triste. Tout mon appartement est propre, mais mes mains sont toujours sales. Ma tentative de jour de joie est un échec. Évidemment, la naissance de l’enfant est absolument inoubliable, mais je ne peux m’empêcher d’avoir pitié d’elle à cause de tous les défis de la vie qu’elle va devoir affronter.
Mes amis ont commencé à se poser des questions sur moi. Ils se demandaient où me situer. Quand mes amis ont commencé à se poser des questions sur moi, j'ai moi aussi commencé à me poser des questions. Je me posais des questions sur la raison pour laquelle ils se posaient des questions. Ma famille a commencé à avoir des doutes sur moi. Ils avaient des doutes sur qui j'étais. Quand ma famille s'est mise à avoir des doutes sur moi, cela m'a fait douter. Je me suis mise à avoir des doutes sur la raison pour laquelle ils avaient des doutes sur moi. [...] Comme ils ont continué à avoir des doutes sur moi, j'ai commencé à avoir des doutes sur qui j'étais. Je me suis posé des questions sur mes doutes. Ils avaient besoin d'une réponse et il m'était nécessaire de la chercher.
J'ai trouvé ma réponse, ma réponse est lesbienne.
Le vide en moi s'agrandit. Mon amour n'a plus aucun goût. Ma jeunesse vieillit.
Quand les contractions deviennent plus fortes, les os de mes doigts sont sur le point de se briser, mais je ne sens que les douleurs de ma sœur. Son visage est rouge foncé. Son corps est si gonflé que je suis sûre qu’il exploserait si on y enfonçait une aiguille. J’aperçois ce qui essaie de sortir et je suis effrayée.
Je refuse de m’évanouir et essaie de ne pas imaginer une grosse tête en train de sortir d’un petit trou. C’est impossible que ce soit possible. Je ne sais pas à quoi ça ressemble. Merde, sérieusement, je ne sais vraiment pas à quoi ça ressemble !
"Mes amis ont commencé à se poser des questions sur moi. Ils se demandaient où me situer. Quand mes amis ont commencé" à se poser des questions sur moi, j'ai moi aussi commencé à me poser des questions. Je me posais des questions sur la raison pour laquelle ils se posaient des questions. […] Quand ils ont continué à avoir des doutes sur moi, j'ai commencé à avoir des doutes sur qui j'étais." p.124 Ivik