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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
La famille, c'est avant tout un roman sur les femmes, ces mères nourricières pour leurs enfants et pour les membres de cette famille élargie qui oeuvre dans l'ombre dans les quartiers de Brooklyn. Les femmes de ces hommes de l'ombre vivent dans les limites de leur quartier et sous l'autorité de leurs maris car la mafia est affaire d'hommes.
Naomi Krupitsky raconte la vie de ces deux familles italo-américaines, les Colicchio et les Russo, étroitement liées par leur appartenance à la Famille, elle s'attache plus particulièrement à leurs deux fillettes, amies pour la vie : Sofia, indocile et curieuse de la vie, et Antonia, plus réservée et moins assurée que son amie.
« Sofia possède la franche luminosité du soleil, certaine de se lever, convaincue de pouvoir réveiller tout le monde. »
« Antonia se sent libre au côté de Sofia, qui est illuminée par une flamme intérieure à laquelle Antonia peut se réchauffer les mains et le visage. »
Les deux amies se comprennent à merveille et leur amitié grandit dans la distance que leur oppose les autres enfants.
Lorsque le père d'Antonia disparait brutalement, l'amitié survivra malgré le drame, malgré la dépression de Lina la mère d'Antonia. Cette amitié les protégera contre les vicissitudes de la vie.
Devenues jeunes filles, elles trouveront l'amour, amour sage et selon les règles tacites de son milieu pour Antonia qui jettera son dévolu sur Paolo, membre De La Famille. Amour interdit pour Sofia la rebelle qui choisira Saul, un exilé juif.
Enceintes en même temps, elles se demandent si elles sauront être mères à leur tour, pensant à leurs propres mères empêchées de vivre librement leur destin. Leur affection réciproque les aidera à surmonter cette épreuve et leurs enfants, Julia et Robbie, vivront dans la même proximité affective que leurs mères. Y a-t-il un destin commun et obligé pour toutes ces femmes de maffieux ?
Tandis que l'autrice se complait (un peu trop à mon goût) à nous raconter la vie intime de ces deux amies, qui est un échantillon de l'existence de toutes ces femmes issues de l'immigration et d'origine modeste, l'activité des hommes reste assez mystérieuse, comme un lieu de tous les dangers pour ces femmes qui attendent. Leur vie est tournée vers leur foyer et elles s'inquiètent pour leur mari et leurs enfants.
Les hommes, eux, vivent à l'extérieur, à toute heure du jour ou de la nuit. Chez eux, ce sont de bons pères de famille tandis que leur travail occulte les happe dans une violence passée sous silence. Il y a des règlements de compte, des enveloppes de billets qui passent d'une main à l'autre mais on ne connait pas les détails autour du racket sur les marchandises ou bien sur la vente d'alcool prohibé.
La seconde guerre mondiale change la donne et, après la prohibition, c'est le trafic des faux papiers pour les migrants qui fuient l'Europe à feu et à sang qui est plus rémunérateur pour la Famille.
Y a-t-il un destin commun et obligé pour toutes ces filles et femmes de maffieux ? On a l'impression que Sofia et Antonia, comme leurs mères avant elles, vivent dans une cage sous l'autorité des hommes. L'autrice a su recréer le destin de ces femmes en décrivant leur vie de l'intérieur au risque de perdre le lecteur avec tous les atermoiements de ses héroïnes.

Si l'autrice détaille l'intime avec précision, j'ai trouvé que l'écriture souffrait de longueurs qui m'ont assez vite lassée. Beaucoup de redondances aussi dans les pensées, les sentiments des personnages.
Si j'ai suivi avec intérêt le destin des personnages, si l'intrigue m'a tenue en haleine, je n'ai pas vraiment apprécié le dénouement trop convenu et dont le pathétique m'a laissée de marbre.
Je remercie les éditions Gallimard et Babelio pour cette lecture

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Avant de commencer, je voudrais remercier les éditions Gallimard et Nicolas Hecht de Babelio d'avoir pensé à moi pour cette masse critique privilégiée.
*
On assiste ces dernières années à un mouvement littéraire visant à inscrire le point de vue des femmes dans l'Histoire. Ainsi toutes les époques, tous les lieux, du règne élisabéthain à la conquête de l'ouest, sont le cadre de nouveaux romans arpentant autrement des chemins que l'on ne connaissait qu'une paire de jeans sur les fesses, un colt dans la poche et de la testostérone à revendre. Désormais, on découvre que la même histoire peut être racontée autrement et que sous leurs fanfreluches, les femmes aussi étaient là. Signes des temps et aubaine éditoriale.
La Famille appartient à cette veine version New-York mafieux des années 40 et fait de ses personnages principaux Antonina et Sofia. Ainsi les querelles de gangs, les habitudes de travail musclées, la dévotion dominicale du Patron et les grandes tablées familiales du clan des Siciliens sont vues par celles qui, dans une culturelle cinématographique et livresque antérieure, ne jouaient que les utilités. La Parrain deviendrait-il La Marraine ?
Ne nous emballons pas.
On assistera aux premiers pas d'Antonina et de Sofia à l'école, à l'ébauche de leurs rêves de jeunes filles, leur mariage, leurs premiers enfants. On les verra tour à tour comme des individus singuliers et des membres presque indistincts De La Famille. Elles auront été affublées d'un caractère propre, de rêves légèrement différents (Sofia volcanique et séductrice, Antonina réservée et intellectuelle) qui laisseront imaginer au lecteur qu'elles se réaliseront individuellement.
Mais c'est compter sans les générations précédentes, sans la Famille, refuge et prison, qui continuera de les enserrer fermement dans sa nasse. Traditions, alliances, loyauté et nécessités économiques s'enchâssent pour refuser à chacun des personnages un autre destin que celui pour lequel il a été programmé : Récurer des éviers sales et faire la pasta pour ces dames. Terroriser les commerçants impécunieux pour ces messieurs.
Pas facile de détourner le lecteur de l'attrait des bagarres de rue. de lui faire entendre que, du fond de leur cuisine, les femmes modèlent aussi le monde. Pas facile non plus d'aller à l'encontre de l'Histoire et de transformer ces personnages secondaires en véritables actrices de leur destin.
Car c'est une gageure qui frise la science-fiction que de leur imaginer une place de héros public. Et c'est aussi alimenter une brûlante controverse que de camper des femmes puissantes uniquement lorsqu'elles agissent à l'instar des hommes, tirent au pistolet et défendent chèrement leur peau.
L'autre solution c'est de raconter une Machiavel qui régente son monde depuis le fond de ses gamelles. D'imaginer que derrière les règlements de compte, la violence des coups se cache une volonté toute féminine. Sofia a le bon profil pour cela.
Ou encore, plus défaitiste, de croire qu'ici tout particulièrement, les femmes sont tellement conditionnées par leur assignation à une certaine posture qu'il est invraisemblable qu'elles aient la moindre chance d'influer sur le destin du monde.
Femme virile ? âme damnée ? esclaves condamnées ? la Famille explore ces trois voies, cherche la faille. Mais c'est fait sans que ces personnages m'aient vraiment touchée et je ne suis pas sûre, malgré un récit plutôt agréable à lire, qu'elle l'ait vraiment trouvée.

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Un regarde différent sur la Mafia, celui des femmes.

Premier roman d'une jeune autrice californienne, vivant à San Francisco et qui sait déjà jeter un regard, certes un peu féministe, mais surtout approfondi sur un monde peu raconté, celui des compagnes des mafieux. de plus elle s'est jetée dans une période amplement documentée, critiquée, utilisée en fond de commerce filmographie comme écrit, tout en l'observant sous un angle différent.
Elle a fait fait ses études littéraires à la Gallatin School of Individualized Study de New York, ce qui pourrait expliquer qu'elle ait campé son roman là-bas.

Nous sommes donc à New York, en 1930, à une période où la prohibition a remplie les caisses de quelques familles aux States. Elle choisit avantageusement une famille italienne de Boston, celle d'un certain Tommy Fianzo, mafieux contrôlant les trafics par la terreur.
Mais au lieu de prendre les hommes comme principaux personnages, elle va regarder tout ce manège et ses répercussions familiales, amicales au travers du regard des femmes. Et ce qui est intéressant c'est qu'elle nous plonge dans les vécus de deux générations, les mères et les filles des compagnes des trafiquants, bras droit ou hommes de main du big boss Tommy Fianzo.

Les caractères des deux petites héroïnes, Sofia la curieuse et Antonia la réservée, permettent des changements d'observation des faits, des perceptions différentes de ce monde de trafics. Un peu comme nous lorsque nous en débattons ou y réfléchissons tout simplement.
Le destin de ces femmes comme de la plupart des compagnes de trafiquants est tracé et apparait comme sur des rails dont personnes ne veut, n'essaie de dérailler.
L'écriture est simple. Je pense qu'elle va encore évoluer chez cette autrice qui a sagement débuté par une écriture facile et assurée de plaire à bon nombre de lecteurs, et qui a essentiellement misé sur le contenu.
Je ne suis que rarement attirée par les premiers romans des auteurs, mais là il y a de la matière, de l'esprit et un sujet maitrisé.

Dommage que le dénouement soit si convenu. Naomi Krupitsky aurait pu être plus imprévisible, peut-être même plus courageuse en proposant un rebondissement.
Une belle évasion.
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Je remercie vivement Babelio et les Editions Gallimard de m'avoir permis de découvrir ce roman, lors d'une masse critique privilégiée.

La mafia vue de l'intérieur par les femmes. Une belle idée en soit. Cependant, j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire. Non pas parce que c'était compliqué, mais à cause de la tournure des phrases incorrectes. Pour moi, mal traduites. Et également les fautes et les coquilles. Qui suis-je pour critiquer alors qu'il m'arrive d'en faire. Oui, mais moi, je n'écris pas (j'en serai bien incapable) et surtout je ne suis pas éditrice. Je n'ai personne pour me relire. de plus, je confondais souvent Sofia et Antonia. Comme si c'était la même personne.

Si j'ai continué ma lecture, c'est par égard à Babelio et à l'auteure. Aussi parce que je voulais savoir comment Sofia et Antonia allaient évoluer. J'ai beaucoup aimé la façon dont Naomi KRUPITSKY décrit l'état psychologique de Sofia et Antonia, leur mal être, leur façon de penser, de réfléchir, de réagir en tant qu'enfant, ado, adulte et enfin mère. Vous preniez d'autres filles qui ne font pas partie De La Famille et cela fonctionnait également, sauf que justement, en plus, elles avaient ce poids.

La Famille est stigmatisée. Lorsque Sofia et Antonia se sont rendues pour la première fois à l'école, elles se sont fait des amies, qui le lendemain, ne voulaient plus rien savoir d'elles. Et cela a duré tout au long de leur scolarité.

Comment grandir dans ces conditions, surtout après l'assassinat d'un des leurs ? Quels stigmates, angoisses, peurs, haine, colère, résilience ou pas cela a-t-il laissé aux femmes de cette Famille ? Comment ne pas trembler au quotidien de ce qui pourrait arriver ? Peut-on vraiment s'en sortir lorsque l'on est pris dans un tel engrenage qui est une véritable toile d'araignée ? Quelques-uns en ont rêvé, d'autres ont essayé, combien ont réussi ?

J'ai aimé aussi le fait qu'on ne parle pas franchement de ce que la mafia faisait, ou alors, de façon succincte. La force de ce livre, c'est le côté psychologique des différents membres. Les plus forts ne sont pas forcément ceux que l'on croit.

J'aurais mis 4 étoiles s'il n'y avait pas eu autant de fautes, de coquilles, de mauvaise traduction.
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Encore une histoire d'amitié entre 2 filles italiennes me direz-vous.
Comme si L'Amie prodigieuse avait créé une mode. Je ne comprends d'ailleurs toujours pas pourquoi ce roman et les suivants, ont suscité un tel engouement. Alors me direz-vous pourquoi s'aventurer à lire La Famille ?
Eh bien parce que Masse Critique me l'a envoyé pardi ! Et franchement, même si ce n'est pas un coup de coeur total, j'ai trouvé ça nettement mieux que l'Amie pas prodigieuse...
Là, j'ai eu de l'empathie et surtout envie de savoir ce qui allait arriver à ces deux amies, qui vivent à l'ombre de la mafia, et découvrent en grandissant, les avantages et les contraintes que cela implique. L'une a un père qui monte en grade, alors que l'autre a un père qui disparait. L'amitié des deux filles va se construire, se détruire, se découvrir, grandir, évoluer au fil des ans et des choix qu'elles font. Sachant que pour une fille de mafioso dans les années 40 à New York, les choix sont assez limités. C'est mère au foyer ou mère au foyer, mais avec ou sans mafioso. Là, le coeur peut compliquer les choses. Mais je ne dévoilerai rien de plus ! Nous les accompagnons dans leurs angoisses face à la maternité, face à la violence qui permet le confort et la sécurité, mais qui est là comme une mauvaise odeur dont on ne parvient pas à se débarrasser.
Dans la façon d'aborder la maternité, j'ai regretté le manque de nuances. Les deux jeunes femmes sont des exemples de ce que peuvent ressentir les mères, mais trop manichéen. L'une est espiègle et tout à fait épanouie, alors que la seconde est en dépression totale. Puis l'une s'investit en bonne maman poule, alors que la seconde cherche d'autres activités pour se sentir exister. Dans la vraie vie, d'expérience, les mères auraient plutôt tendance à osciller entre les deux états, plusieurs fois par jour.
Il reste que l'histoire est agréable à lire, avec une écriture fluide et claire qui vous embarque dans le New York des années 30/40 quand les gratte-ciels côtoyaient les cabanons des immigrants. Les choses ont-elles tellement changé d'ailleurs...
Alors, faut-il le lire ? Oui ! Je lirai je pense le prochain roman de cette autrice.
Si vous aimez les histoires d'amitiés entre filles italiennes, je ne vous recommande pas l'Amie prodigieuse. En revanche, vous pouvez tenter D'Acier de Silvia Avallone.
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Du « Parrain » aux « Sopranos », la mafia occupe une place importante dans l'imaginaire populaire, et il semble difficile d'aborder le sujet sans tomber dans la caricature et avec originalité. Naomi Krupitsky y réussit en adoptant le point de vue de deux jeunes femmes.
Elle nous dépeint en effet les vies et la relation de deux jeunes italo-américaines qui grandissent dans le quartier de Red Hook à Brooklyn, New York, dans les années 1930 et 1940 à l'ombre de cette société du crime organisé. Elle nous fait entrer dans l'intimité des familles De La Famille.
Nous faisons la connaissance de Sofia et Antonia alors qu'elles ne sont encore que des enfants. Elles sont meilleures amies et voisines. Sofia est impulsive, extravertie, passionnée et spontanée. Antonia est à l'opposé : studieuse, introvertie et timide. Leurs pères travaillent pour le même homme. Les deux familles sont proches et passent dimanche et vacances ensemble. le lien très fort qui unit les fillettes est renforcé par l'ostracisation qu'elles subissent à l'école du fait de l'appartenance de leurs pères à la Famille. Mais suite à une tragédie, la dynamique change.
Quelles sont les perspectives d'avenir des deux jeunes femmes ?

Ce roman sur l'amitié et la loyauté met en avant deux femmes à une époque et au sein d'une organisation criminelle où elles sont censées être très loin en arrière-plan, voire invisibles. En adoptant le point de vue des femmes, la violence est omniprésente mais seulement en toile de fond, puisqu'elles sont à la fois à l'intérieur de cette organisation et à l'extérieur, leur genre leur interdisant normalement de prendre part aux activités criminelles. Mais la fiction permet à l'autrice de défier l'époque et les moeurs et de s'en libérer tout en restant crédible (à l'exception de la toute fin du roman qui ne l'est guère).
L'autrice fait preuve d'un grand talent pour décrire les états internes et émotionnels de ses personnages. C'est ce que j'ai trouvé particulièrement réussi dans ce premier roman. L'écriture est alerte, très agréable (un léger manque de relief parfois), les métaphores et images jamais convenues. Malgré de légers bémols, j'ai trouvé ce premier roman très réussi.
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Ce roman dépeint le conditionnement familial, l'emprise de l'éducation sur deux jeunes filles, amies depuis toujours. Elles sont du quartier de Brooklyn à New York, leurs pères font partie de la mafia italienne. L'un a secrètement le projet de s'en échapper, l'autre doit s'en « débarrasser » pour grandir et asseoir sa puissance. Elles restent amies malgré tout. En revanche, les mères ne se parlent plus …
Nous suivons pendant plusieurs années leur amitié très forte, impressionnante.
Ce livre décrit les loyautés et les trahisons des mafieux, leurs codes, l'enfermement moral, l'enfermement tout court, la violence psychologique et physique. L'auteure raconte aussi comment la mafia s'est emparée du désespoir des juifs durant la seconde guerre mondiale, assurant à ces désespérés une intégration en Amérique.
Le style a un peu entravé le plaisir de cette lecture, sa poésie et son emphase était peut-être vouées à apaiser la dureté du récit, je n'y ai pas été sensible.

Lien : http://objectif-livre.over-b..
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La famille, c'est la mafia, ici au bas de l'échelon. Mais plus qu'un polar, c'est une analyse psychologique fine de ceux et surtout de celles qui la composent et qui subissent son poids et ses règles. Pour un premier roman c'est une écriture ultra-sensible, faite de petites touches, de détails quotidiens qui révèlent l'évolution, l'humeur d'un personnage, d'un couple. On suit particulièrement deux amies d'enfance dès leurs cinq ans en 1928, Sofia l'audacieuse et Antonia, plus discrète, dont les parents sont intimes, le père de l'une comme de l'autre travaillant pour cette « famille », à un rang somme tout modeste. Mais Carlo, le père d'Antonia, qui rêve d'une vie paisible, devenu paria parce que sa loyauté est mise en doute, disparaît. On ne retrouvera jamais son corps. Joey, le père de Sofia, qui aurait pu mettre en garde son ami Carlo, va lui progresser dans la hiérarchie mafieuse. On suit les deux amies, dont les destins divergent et se recroisent, qui seront enceintes en même temps, et qui se questionneront sur leur place dans la famille, tout en regardant leurs propres mères s'étioler. Sofia et Antonia seront en tous cas beaucoup plus volontaires que leurs époux, eux aussi petites frappes de la mafia, qui rêvent également de grandeur ou d'ailleurs. La violence est souvent larvée, suggérée, mais « La famille » est davantage une plongée intime au coeur de cette mafia qu'un polar d'action. Je guetterai son prochain livre.
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"La Famille" est une histoire d'amitié entre deux fillettes (au début du roman) dont les familles ont un lien avec la mafia italienne. C'est une histoire intéressante.
Parfois un peu triste
Cependant, les chapitres sont un peu longs, et il me tardait de finir le livre
La fin est sympa, en soi. C'est positif, mais les événements relèvent un peu du "deus ex machina", je pense...
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