Durant son séjour à Kon'efu, Onisaburô passa son temps à composer des poèmes et s'adonner à la chasse au cœur de l'aride steppe mongole. A partir du milieu du mois d'avril, grâce à ses progrès, il débuta la rédaction d'un « dictionnaire de poésie nippo-mongole ». Il prodigua également son enseignement en mongol et, avec l'assistance d'Ueshiba, œuvra beaucoup en tant que guérisseur, les maladies étant légions sur le territoire. Il pratiqua quotidiennement chinkon kishin à des fins de guérison et prépara de nombreux remèdes. Il gagna alors rapidement en popularité auprès de la population locale. (p. 124)