Mariant l’histoire de l’art et l’histoire, l’exposition « Rubens. Portraits princiers » démontre grâce à quelque soixante-cinq œuvres la singularité de l’artiste dans ce genre qu’il appréciait pourtant peu. Elle souligne aussi ses liens non seulement avec les souverains de son temps, telle Marie de Médicis, mais aussi avec les peintres d’alors, croisés lors de ses séjours dans les grandes cours européennes.