une sorte de Delerm mais un peu poussif ; on sent parfois le procédé littéraire trop étiré.
d'agréables passages et l'amour du Cantal.
Marie Hélène Lafon aurait-elle perdu la flamme ?
Je viens de le relire et je fus bien sévère la première fois :
des pépites à découvrir.
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Série de petits textes poétiques et évocateurs d'un monde dont je fais un peu partie. C'est bien.
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