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Critique de CalouRmn
Avec son dernier thriller « Hurlements », Alexis Laipsker est encore monté d'un cran dans sa mise en exergue des déviances de la nature humaine et dans l'élaboration d'une intrigue haletante, machiavélique et glaçante.
J'ai retrouvé avec plaisir le commissaire Victor Venturi, alias le cow-boy, et la psychologue Olivia Montalvert, alias Menthe-à-l'eau, qui avaient judicieusement associé leurs compétences dans l'enquête précédente (« Les poupées »).
Un 3° personnage récurrent est un policier, Julien Dastray, qui sera le premier à découvrir l'une des victimes du sadique : une femme atrocement mutilée, détenue dans une cage sur la scène d'un théâtre désaffecté. Assez vite, on découvre que cette découverte n'est pas « neutre » pour lui et qu'il a été personnellement impliqué et ciblé pour être à l'origine de la découverte de cette femme…
Menacé par une enquête disciplinaire, Victor Venturi se trouve sur un « siège éjectable »… lorsque que sa partenaire Olivia est sauvagement agressée en pleine nuit à son domicile…
Lorsqu'ils comprennent que d'autres victimes existent quelque part, une traque éperdue s'engage pour tenter de comprendre le lien qui unit les femmes disparus et de les retrouver avant que le cinglé ne les tue…
Des chapitres courts qui alternent entre les divers protagonistes rendent la lecture rapidement addictive ; difficile de s'arrêter dans cette histoire que j'ai dévorée en 24h !
Comme les auteurs de polar nous y ont désormais habitués, j'ai souri en découvrant l'évocation d'un « capitaine Mehrlicht » (Nicolas Lebel), d'un « capitaine Coste » (Olivier Norek) et d'un « commandant Kahn » (Niko Tackian)… Un petit clin d'oeil à la grande famille du polar 😉
Vous l'avez compris, ce nouvel opus d'Alexis Laipsker est un nouveau coup de coeur avec une fin qui laisse envisager d'autres aventures du duo… pour mon plus grand bonheur 😊
J'ai retrouvé avec plaisir le commissaire Victor Venturi, alias le cow-boy, et la psychologue Olivia Montalvert, alias Menthe-à-l'eau, qui avaient judicieusement associé leurs compétences dans l'enquête précédente (« Les poupées »).
Un 3° personnage récurrent est un policier, Julien Dastray, qui sera le premier à découvrir l'une des victimes du sadique : une femme atrocement mutilée, détenue dans une cage sur la scène d'un théâtre désaffecté. Assez vite, on découvre que cette découverte n'est pas « neutre » pour lui et qu'il a été personnellement impliqué et ciblé pour être à l'origine de la découverte de cette femme…
Menacé par une enquête disciplinaire, Victor Venturi se trouve sur un « siège éjectable »… lorsque que sa partenaire Olivia est sauvagement agressée en pleine nuit à son domicile…
Lorsqu'ils comprennent que d'autres victimes existent quelque part, une traque éperdue s'engage pour tenter de comprendre le lien qui unit les femmes disparus et de les retrouver avant que le cinglé ne les tue…
Des chapitres courts qui alternent entre les divers protagonistes rendent la lecture rapidement addictive ; difficile de s'arrêter dans cette histoire que j'ai dévorée en 24h !
Comme les auteurs de polar nous y ont désormais habitués, j'ai souri en découvrant l'évocation d'un « capitaine Mehrlicht » (Nicolas Lebel), d'un « capitaine Coste » (Olivier Norek) et d'un « commandant Kahn » (Niko Tackian)… Un petit clin d'oeil à la grande famille du polar 😉
Vous l'avez compris, ce nouvel opus d'Alexis Laipsker est un nouveau coup de coeur avec une fin qui laisse envisager d'autres aventures du duo… pour mon plus grand bonheur 😊
