J'avais lu dans la préface du livre de
François Mauriac "
Thérèse Desqueyroux" (par
Jean Touzot) que le livre de
Valery Larbaud avait rivalisé avec ce dernier ou avec "
Les Dieux ont soif" d'
Anatole France. Appâté par cette critique pour le moins élogieuse, j'ai voulu lire Fermina Marquez et j'ai été déçu. Ce n'est pas mon style de roman, je n'ai pas accroché, et je l'ai fini par acquis de conscience. Il n'y a pas vraiment d'histoire et seule la fin quelque peu nostalgique véhicule un peu de cette émotion qui fait les grands écrivains.
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