« Honte? Non, je n’ai pas honte. Personne ne connaît mon nom. Je n’y suis pour personne. Dès que les lumières s'éteignent, je cesse d’apparaître.
On peut « paraître » et « ne pas être »: c’est Moi, Ça .
« Ma condition » .
De femme, objet, corps .
Honte ? Oui , si j’avais un nom . Si ce fait s’énonçait: on a vu Unetelle montrer son corps nu à la Foule,.... ».
Il ne craint pas qu'elle se retourne et l'aperçoive - une musulmane ne se retourne jamais - mais elle pourrait distinguer sa silhouette reflétée dans la vitrine d'un magasin. Il tient à ce qu'elle ne se sache pas suivie, fût-ce pour la bonne cause.
On n'adore Dieu que par intérêt, pour sauver sa peau (la crainte de l'enfer, l'aspiration au paradis), or la vraie dévotion serait de ne l'adorer que pour Lui, dans un déni complet de notre moi, de notre ego...
Ce n'est pas en répétant à ces hébétés qu'il y a un islam pacifique, ce n'est pas en essayant de les orienter vers le soufisme qu'on va les convaincre. Autant proposer une tasse de camomille à quelqu'un qui réclame de la vodka - si j'ose dire, vu le sujet...
On se fait des idées, mais les idées tuent.
On n'adore Dieu que par intérêt, pour sauver sa peau (la crainte de l'enfer, l'aspiration au paradis), or la vraie dévotion serait de ne l'adorer que pour Lui, dans un déni complet de notre moi, de notre ego.
On n' adore Dieu que par intérêt, pour sauver sa peau (la crainte de l'enfer, l'aspiration au paradis) or la vraie dévotion serait de ne l'adorer que pour Lui, dans un déni complet de notre moi, de notre ego...
(...) comment peut-on prétendre diviser l'éternité, n'est-elle pas, justement, ce qui annule le nombre ?
Elle se venge des uns en se dénudant pour les autres, et se venge de ceux-là en ne leur accordant rien.
Pourquoi Fatima avait-elle soudain décidé de porter ce niqab ( qui n'en était pas vraiment un) ? Ni son père ni sa mère n'avaient jamais évoqué le sujet, ses frères étaient loin et s'intéressaient peu à la religion, personne n'avait exercé la moindre pression sur elle.