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3,81

sur 320 notes
Pour un premier roman, chapeau bas ! Il y a du niveau.
Il s'agit donc d'un récit d'Héroïc fantasy, un monde de soldats, de guerres, de mages et de monstres. La menace est immense et terrible, bestiale, elle n'offre aucun point de vue, et ce ne sont pas d'autres humains que l'on affronte. Nous sommes donc d'un seul parti : celui des hommes et femmes face à cette menace. Quelque part, cela facilite l'adhésion, de l'autre il manque peut-être cette ambiguïté des récits où l'on est aussi du côté d'un ennemi qu'on peut redouter, mais également admirer ou comprendre.
Les points de vue sont multiples. Les membres de la 9e compagnie tiennent la plupart des focales, ils sont très différents les uns des autres, avec leurs défauts et leur personnalité. Les femmes qu'elles sont guerrières ou mage sont des personnages forts qui ne déméritent pas.
L'écriture fait honneur à la langue française. L'argot est « recherché », les images sont belles, les associations de mots bien trouvées, cela crée une vraie culture locale et une proximité de rang. La qualité descriptive, les choix des mots de la narration montrent un travail somptueux. D'ailleurs, pour le côté héroïque, la magnificence renforce ce côté exceptionnel des exploits.
Il y a un côté « Gemmel » dans ce type d'ambiance, vous vous en doutez. Ce récit comporte quelques belles émotions, mais peut-être moins cette « intimité » et ce travail en diamant des sentiments qui fait vraiment chialer chez Gemmel. Pour un premier roman, Latil-Nicolas fait cependant un boulot narratif d'une rare qualité.
En bref, l'histoire est épique à souhait, le défi est rude, la 9e compagnie est sérieuse et ses membres ont tous leur personnalité, l'écriture est travaillée, les combats sont très nombreux pour ceux qui aiment l'action, et la lecture de Julien Chatelet est agréable si vous écoutez la version audio. C'est un bon divertissement et une aventure épique qui vaut le coup d'être lue.
Lien : https://andreadeslacsfantasy..
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J'ai découvert cet auteur et son premier roman par hasard, grâce à la dernière édition de la Masse critique Mauvais genres de Babelio. Un grand merci à eux ainsi qu'aux éditions Gallimard pour cette opportunité, car j'ai beaucoup apprécié cette lecture !

Le Bleu-Royaume est en péril. La mystérieuse brume noire du Nord s'étend de plus en plus, et apporte avec elle des créatures monstrueuses qui menacent les terres habitables. La neuvième compagnie des légions du Roy, rompue aux batailles mais toujours en quête de plus de gloire, se voit confier par leur souverain une mission primordiale : découvrir la source de ce brouillard maléfique et mettre un terme à cette menace. Pour mener à bien cette tâche, le jeune capitaine Saléon et sa fidèle troupe de légionnaires sont accompagnés des doryactes, un corps d'élite de farouches cavalières et archères, et par le maître-mage Ozgar et son jeune apprenti Jerod. Au fil des combats violents et d'épreuves douloureuses, la neuvième va découvrir la vérité cachée au coeur de la « brume d'encre », et changer le destin du monde…

Ce qui frappe à la lecture de ce roman de fantasy médiévale, c'est le réalisme des scènes de bataille. En effet, les stratégies militaires sont ici décrites avec précision et avec une foule de détails. L'action est ainsi toujours lisible, et on a vraiment l'impression d'être au coeur de la mêlée avec les guerriers ! Cette sensation est d'ailleurs renforcée par le changement de narration qui s'opère parfois du narrateur extérieur au récit à Saléon, qui s'exprime à la première personne lors des affrontements. J'ai été également impressionné par la richesse du vocabulaire employé pour la description des armes et des armures. On sent que l'auteur a une connaissance très pointue de l'art de la guerre du Moyen Âge, et je dois dire que j'ai dû chercher la définition de certains termes !

Au début du livre, j'ai été assez surpris par le langage employé par les membres de la neuvième compagnie. J'admets que le florilège de jurons distillé dans les dialogues m'a quelque peu décontenancé ! Mais on s'y habitue rapidement, et cela contribue au sentiment de camaraderie que l'on ressent entre Saléon, Murtion, Varago et toute la bande (sauf peut-être l'Esquiche, mais on comprend pourquoi…). Justement, au sujet des personnages, je les ai trouvés tous très bien écrits. On apprend leur histoire souvent brièvement, mais cela suffit à s'attacher à eux. Et les personnages féminins ne sont pas en reste ! Que ce soient les doryactes, comme Malandie ou Danbline, ou bien la mage Isore qui étudie la brume d'encre, elles ont toutes dû apprendre à se battre et font bien savoir aux hommes de la compagnie qu'elles sont leurs égales, voire qu'elles sont meilleures qu'eux dans de nombreux domaines. Cela donne d'ailleurs lieu à des joutes verbales particulièrement savoureuses ! Merci à l'auteur pour l'index des personnages à la fin de l'ouvrage, c'est toujours utile pour se remémorer le rôle de chacun.

Le déroulement du récit est assez classique : une menace maléfique, un groupe qui se forme pour le combattre, des batailles épiques… L'influence de Tolkien est évidemment présente (le siège de Crevet m'a inévitablement fait penser à la bataille du Gouffre de Helm !), mais on suit l'histoire avec plaisir. La petite carte du monde présentée au début du livre nous aide à situer l'action, néanmoins j'aurais aimé en apprendre plus sur son passé, les relations entre le Bleu-Royaume et les autres provinces, etc. Mais cela est peut-être plus approfondi dans le deuxième tome, Les Flots Sombres ! Car oui, il y a bien une suite, et je trouve que l'éditeur aurait dû faire apparaître cela plus clairement sur la couverture ou à la fin du livre par exemple…

En résumé, j'ai passé un bon moment de lecture avec Chevauche-Brumes. La quête désespérée de la neuvième compagnie, des doryactes et des mages est haletante, riche en affrontements violents et épiques contre une menace semblant invincible. le cadre est posé pour la suite, que je lirai très probablement lors de sa sortie en poche !

Lien : https://lesaffamesdelecture...
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Les belles couvertures de Mnémos ont le chic pour m'appâter et si en plus ils y greffent un résumé rempli de mystère qui titille ma curiosité et mon imagination, comment faire pour résister ? C'est impossible !

Chevauche-Brumes est le premier roman d'un jeune auteur français, Thibaud Latil-Nicolas, qui a su d'entrée de jeu imposer sa patte et son ton, surtout, au récit qu'il souhaitait mettre en scène. Il a une écriture bien à lui, déjà très mature, qui a été pour moi le gros point fort de cette découverte. de plus, alors que je pensais m'embarquer dans une lecture unique, j'ai découvert qu'il avait développé l'histoire dans un deuxième tome, qui j'espère en appellera un troisième s'il est aussi réussi. Si vous êtes curieux de découvrir cette nouvelle plume, je vous invite à lire son interview sur le site de Bibliocosme : lien.


Mais de quoi parle ce livre au titre si intrigant et pourtant si évocateur ? Eh bien, l'auteur nous emmène à Bleu-Royaume, une terre où la frontière nord est marquée par une étrange brume noire et impénétrable. La neuvième compagnie des légions du roi, une troupe de lansquenets aguerris s'y retrouve un jour confrontée et va découvrir qu'elles sont les créatures qui peuplent ces brumes. En devant les affronter pour leur faire rempart, leur chef épaulé par des cavalières émérites et un mystérieux mage, va en apprendre plus sur les sombres mystères de cette brume d'un autre temps.

Quand on lit ce résumé, on peut trouver que l'élément déclencheur de l'intrigue ainsi que l'univers de celle-ci sont assez classiques, du moins qu'ils nous rappellent d'anciennes lectures où il est aussi question d'un bout de royaume occupé par quelque chose de mystérieux. Et oui, c'est le cas, mais il ne faut pour autant cracher sur les bonnes inspirations. Ici, l'auteur utilise ce décor probablement déjà croisé par certains pour mettre en scène une belle brochette de personnages, des guerriers aguerris à la langue fleurie qui parlent tels de vieux roublards de la guerre, et dont la rencontre avec un élément fantastique pour eux va tout changer et remettre en cause leur vision du monde. J'ai beaucoup aimé la mise en scène de tout cela.

Tout d'abord, j'ai trouvé la plume de l'auteur parfaite pour évoquer une fantasy plutôt militaire puisque l'on suit quand même un groupe de lansquenet ainsi que des amazones. C'est une langue simple, direct, mais avec une belle rondeur et des paroles imagées comme il faut parfois, qui sait aussi bien se faire obséquieuse avec les grands que vulgaires avec le peuple. J'ai beaucoup aimé la polyvalence du style de Thibaud Latil-Nicolas.

Ensuite, j'ai trouvé les personnages très bien campés. J'avais l'impression de me retrouver dans une histoire de cape et d'épée mais avec des personnages peut-être plus sérieux, plus âgés, qui se sont plus frottés aux horreurs de la guerre et des batailles. Que ce soit Saléon, son bras droit Murtion, la charismatique mage Isore, son confrère Ozgar ou l'amazone Malandie, aucun n'a la langue dans sa poche et tous pèsent dans l'histoire. Ils ont tous une présence folle et pourtant dieu sait qu'ils ont de la concurrence quand on voit le nombre de personnages que l'on croise ici. Merci, pour l'index des personnages à la fin du tome, au passage, qui m'a aidée à m'y retrouver plus d'une fois.

Mais surtout, l'intrigue est surprenante. Se déroulant en trois temps, elle démarre en nous plongeant directement, sans filet de sécurité, dans un univers inconnu qui nous semble familier mais ne l'est pas, avant de se lancer à plein galop dans l'action pour ne plus en sortir. La première partie pose les personnages, les lieux, les différentes strates, tandis que les problèmes se font jour et prennent de l'ampleur dans la deuxième partie avant que la dernière ne nous cloue sur place avec une expédition associée à une ville assiégée où le danger est partout. L'auteur parvient à maintenir un excellent rythme tout du long. Il associe intrigue militaire, mystère et magie. J'avais l'impression de me retrouver dans La forêt de Mythagos ou encore chez Stefan Plateau mais avec un récit plus intense et remuant.

L'univers de Chevauche-Brume est protéiforme en plus. Il y a à la fois un côté fantasy crapuleuse/militaire avec la troupe des lansquenet, une fantasy plus politique avec le jeune roi sur son trône vacillant, une touche plus fantastique avec la forêt, sa brume et ses créatures, une pointe de Lovecraft avec la mystérieuse ancienne civilisation Ordourmane, ainsi que pour finir, cerise sur le gâteau, une teinte féministe à l'ensemble grâce au très beau traitement des personnages féminins et en particulier de la troupe des amazones avec Malandie. Ça donnait une saveur toute particulière à ma lecture que j'ai vraiment trouvé riche aussi bien en surprises, actions, émotions que beaux sentiments.

Le premier acte de cette aventure s'est donc révélé être une très bonne surprise. J'ai beaucoup apprécié l'ensemble des aspects de ma lecture que ce soit le style de l'auteur, sa caractérisation des personnages, ses références que l'on sent, le décor militaire et populaire, et surtout l'ambiance étrange et mystérieuse dont il a su englober l'ensemble. Pour un premier roman, c'est juste excellent ! Je re signe donc pour la suite : Les flots sombres.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Chevauche-Brumes est le premier livre de son auteur et le premier tome d'une duologie prenant place dans le monde fantastique du Bleu Royaume, où la Neuvième compagnie de Légions du Roy est envoyée au secours de la ville de Crevet, entourée d'une étrange Brume de laquelle sortent des monstres.

J'ai aimé cette ambiance proche de la troupe de mousquetaires, qu'on croise finalement assez peu en fantasy, mélangée à de la magie et une certaine conception des armées romaines.
J'ai aimé suivre ces bonshommes et j'ai senti avec eux cette menace grandissante de la Brume. Il y a de la magie, des combats, de l'abnégation, des Amazones et des sacrifices.

Il est hyper facile de s'identifier aux personnages qui sont très humains. On pourrait croire qu'ils sont stéréotypés mais j'ai au contraire trouvés qu'ils étaient très bien caractérisés.
Ils se soutiennent, ils s'apprécient, ils se détestent parfois et ils comptent les uns sur les autres.
J'ai particulièrement aimé le petit Lansade et son amitié avec Jerod mais aussi Saléon qui mène sa troupe du mieux qu'il peut.
Il y a une histoire et un background derrière chacun et c'est vraiment chouette d'avoir des personnages qui ne sortent pas de nulle part.

Ce premier tome est ultra dynamique, on enchaine les péripéties mais sans que cela n'en fasse trop. le mélange entre les négociations, les rencontres de personnages, la défense de Crevet et les batailles dans la Brume permet de maintenir un bon rythme où on ne s'ennuie jamais mais sans être dans l'overdose
Et moi j'ai avalé ce libre en à peine un week-end et j'ai maintenant hâte de lire la suite.
Lien : https://yodabor.wordpress.co..
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Un très bon moment de lecture avec ce roman d'un parfait inconnu, qui n'a l'air de rien (bon, ce n'est pas tout à fait vrai : la couverture est magnifique).
Je me suis laissé emporté par cette histoire épique, entre le quotidien d'une compagnie, ses personnalités, son langage fleuri, ses déboires, qui apporte une touche d'humour très bienvenu dans une histoire qui fait froid dans le dos.
L'ennemi - une brume noire - est terrifiant et incompréhensible, et les monstres que l'on croise sont effrayants. Les scènes de batailles sont très bien décrites, et on s'immerge complètement dans les événements. le suspens est au rendez-vous.
Bref, un très bon équilibre entre humour et action, des personnages drôles (parfois malgré eux, car nous n'avons pas à faire à des prix Nobel - mais c'est aussi ce qui les rends attachants), de magnifiques jurons et insultes comme je les aime, et une fin ouverte, porteuse de promesse.
Bref, un livre à découvrir et un auteur à suivre.
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La neuvième compagnie des légions du Roy revient d'une campagne éreintante dans l'ouest du continent, en Libunce. Une campagne où elle n'a eu à affronter que quelques escarmouches et cependant, la rudesse du climat et les maladies ont prélevé leur quota d'hommes et de chevaux.

Avant de rentrer comme prévu à Antinéa, la capitale de Bleu-Royaume, la neuvième va faire une halte bien méritée à Blanc-Rocher. Mais le retour à la civilisation ne va pas se dérouler comme prévu. Saléon, son commandant d'office (le commandant en titre ayant péri au cours de la campagne) ainsi que quelques uns de ses hommes sont mandés séance tenante à chevaucher rapidement vers Antinéa, tandis que le reste de la neuvième, sous les ordres de Varago, son responsable des haquebutiers (ancêtres des arquebusiers), doit marcher vers Crevet, la ville la plus au nord du royaume, la plus proche de la Brume Noire.

Saléon qui espère de cette entrevue avec le régent du royaume obtenir confirmation de son nouveau grade va vite déchanter. On maintient son "poste d'intérim" pour commander une nouvelle mission qui a tout du suicide, tout en lui adjoignant une compagnie d'archères ainsi qu'un mage et son apprenti.
Quant à Varago et le reste de la compagnie, ils n'ont pas atteint Crevet qu'ils vont se frotter à une attaque en règle de monstres noirs survenant lors d'un orage carabiné. La dixième compagnie les précédant a été complètement anéantie, massacrée. Rejoindre Crevet va s'avérer plus compliqué que prévu...

Les chapitres vont alterner entre ces deux groupes, mais également au sein de chaque faction, les points de vue passent de personnage en personnage. Ainsi n'y a-t-il pas franchement de personnage principal dans ce roman, mais une multitude. Si cela dilue l'empathie que l'on peut avoir pour certains, cela permettra à l'auteur de développer les interactions entre ces hommes, les liens d'amitié, d'inimitié, les haines, les jalousies, le tout dans un bain de testostérone bien stimulé par la présence de ces amazones archères.

La magie qui opère dans ce Bleu-Royaume est surprenante et intéressante. Une mention spéciale pour le jeune Jerod, l'apprenti du mage Ozgar, qui m'a beaucoup touchée. Les scènes de bataille, et notamment le siège de Crevet par l'ost noir, sont parfaitement retranscrites et laissent le lecteur bien souvent en haleine. Une écriture soignée, non pas précieuse mais souvent recherchée, qui m'a fait plus d'une fois recourir à mon ami Google (je suis plus savante en poliorcétique dorénavant :)), alterne avec des dialogues bien crus, des blagues grivoises et scatos propres aux...disons... rassemblements de mâles sous le tension, histoire de décompresser quoi ! :)

Il faudra cependant attendre la toute fin de ce roman, l'épilogue plus exactement, pour que son titre prenne sens. Une fin qui en est une, mais avec une fenêtre laissée ouverte. Alors, one-shot ou tome 1 ? C'est souvent la surprise avec les éditions Mnémos :)
Et je ne peux finir cette chronique sans parler de la sublime couverture qui habille ce roman. On la doit à Qistina Khalidah que je salue bien bas. J'avais trouvé son illustration des Mondes-miroirs jolie, mais sans plus. Avec Chevauche-brumes je suis complètement conquise.
Lien : https://bookenstock.blogspot..
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C'est ce livre qui m'a redonné goûté à la lecture de roman. C'est quelque fois balbutiant mais l'atmosphère créée par l'auteur, cette menace inconnue, ces personnages attachants font oublier les quelques reproches que l'on peut faire à l'ouvrage. Les chevauches brumes est une belle introduction à la trilogie.
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Chevauche -Brumes est le premier tome d'une trilogie.
Cela commence fort. Il est difficile de lâcher ce livre tellement il est prenant. Il y a très peu de temps mort.
L'auteur sait nous tenir en haleine. Les personnages sont très bons. le style l'est tout autant.
Vraiment un très bon livre de fantasy.
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Quelle excellente lecture que voila.
J'avais déjà pas mal entendu parlé de ce nouvelle auteur découvert par les éditions mnémos et je comprend mieux pourquoi.
J'ai adoré ce premier tome que j'ai lu d'une traite.
L'histoire n'a rien de révolutionnaire mais le style simple et efficace ainsi que les personnages très attachants (malgré le caractère de certains) m'ont pleinement immergé dans l'univers du bleu royaume.
Les dialogues sont eux aussi excellent.
Je vais me jeter de ce pas sur le tome 2.
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L'auteur à un style bien à lui et l'ambiance militaire transparait dans l'écriture de manière à vous intégrer au bataillon. Ouvrir ce roman c''est participer à d'épiques batailles et se lancer dans une exaltante aventure.
Cela faisait quelques années que je n'avais pas trouvé un roman de fantasy intéressant, avec un style et une histoire qui ne soit pas déjà du réchauffer.
J'ai hâte que la suite sorte en poche pour arpenter de nouveau cet univers !
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