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« (…) un élégant manoir victorien; un filet de fumée s'échappant de sa cheminée semblait lui donner un souffle de vie. L'architecture travaillée révélait un porche aux arches crénelées en guise d'entrée. Sur son unique tour, une fenêtre inondée d'or témoignait d'une activité nocturne sans fin. »
Une bien belle illustration en guise de couverture n'est pas gage de réussite pour une oeuvre romanesque. Ici, le mystère distillé par le graphisme s'est plutôt perdu dans un récit brouillon aux multiples personnages (j'en ai compté une cinquantaine, principaux et secondaires inclus), qui n'en finissent plus de se croiser dans une chorégraphie mal maîtrisée. le procédé de la déconstruction narrative ne fonctionne absolument pas dans cette histoire; l'effet s'avère maladroit, bancal et décourage tout lecteur ou toute lectrice de bonne foi. Dommage, tous les éléments semblaient au rendez-vous pour une lecture originale, mais ça n'a pas fonctionné pour moi.
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Avant de faire ma critique, je vais commencer par expliquer dans quel cadre j'ai acheté 669 Peony Street et surtout pourquoi je suis ici pour en faire une critique. J'utilise Babelio pour regarder les dernières sorties avant d'aller voir mon libraire. C'est vrai que je regarde rarement les critiques et ne participe pas (honte à moi).

669 Peony Street avait attiré mon regard et un roman fantastique dans une époque victorienne, je me suis dit banco. Et... J'ai regardé les critiques. J'étais un peu désabusé, mais je suis quand même allé voir en Librairie.

Et je dois vous avouer HEUREUSEMENT. Mon libraire adoré, qui est un véritable amoureux des livres, me l'a justement conseillé. C'était son coup de coeur. Que c'était un livre surprenant avec des personnages hauts en couleur et une histoire qui faisait honneur au fantastique. du coup, ni une ni deux, je repars avec 669 Peony Street et deux autres livres sous le bras. Je me mets au chaud et en avant.

Je l'ai dévoré. L'ambiance victorienne est là, on se sent plongé dans cette brume de la campagne britannique remplie de mystère. On est transporté d'un narrateur à l'autre qui nous raconte un petit bout de son histoire avec en filigrane le fil rouge. L'écriture est fluide, imagée et laisse la part belle à ses moments de vie et à ses personnages tellement différents, tellement attachants. Ils vous marquent dans leur tourmente, dans leur vie où ils sont traînés malgré eux dans une histoire qui les dépasse et dont ils n'en sortiront pas indemnes.

Une histoire qui est très bien amenée avec plusieurs niveaux de lecture. Il y a l'histoire des carnets, mais à cela s'ajoute toute la notion de fantastique qui prend son sens. Rien n'est dévoilé simplement, mais tout est là. Tout a un sens, toutes les discussions, tous les personnages, les noms, les scènes... On nous montre l'intrigue principale à travers ces récits où chaque détail trouve son sens. J'avoue avoir été totalement surpris de la richesse de ses histoires et de leur portée. le principal défaut de 669 Peony street c'est qu'on en demande plus....

Du coup, me voilà écrivant une critique sur Babelio. Merci pour ces avis qui m'ont poussé à demander celui de mon libraire. Merci à lui de me l'avoir recommandé. Ce que je retiens de cette histoire (la mienne) c'est qu'on ne peut se faire son avis que par soi-même et que je suis heureux d'avoir pu passer ces bons moments au côté de Scarlette. Et en écrivant ces mots, je me dis que je vais l'aborder avec mes élèves de Terminal afin d'illustrer la richesse de la construction du récit.
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669 Peony Street, de Mélanie Launay

11.02.2022 🤔Lecture "J'ai rien compris" 🤔

L'histoire:
Vous voici à Sleepy Hawthorn, petite ville anglaise paisible à l'époque de l'Angleterre Victorienne.
Le docteur George Breathman, médecin de la ville, a découvert quelque chose qu'il a consigné dans un mystérieux carnet. Il le confie à son associé, qui a pour mission de le mener jusqu'à Londres. Mais en chemin, le carnet sera perdu...
10 ans plus tard, de nombreux habitants de Sleepy Hawthorn se retrouvent dans un mystérieux train à la tout autant mystérieuse destination : 669 Peony Street.

Mon avis:
J'ai été extrêmement attirée par le résumé ainsi que la sublime couverture de ce roman, on pourrait même parler de coup de foudre au premier regard.
Mais malheureusement, comme un rencard raté, l'histoire en restera là...

Dès le départ, nous sommes bombardés de personnages aux noms plus alambiqués les uns que les autres (d'autant qu'un des personnages du livre donne des surnoms aux autres, donc ça n'arrange pas les choses...), de plus en plus nombreux, sans que vraiment nous ayons le temps de les connaître.

De plus, l'histoire fait des aller-retours dans le passé, à diverses époques, avec différentes personnes (dont certains personnages qui m'ont paru totalement inutiles) et il devient extrêmement compliqué de suivre.

J'ai décidé de terminer l'histoire néanmoins, me disant qu'une chute spectaculaire allait me surprendre et là encore, déception. Une fin un peu fadasse, à mon goût, qui me laisse pantoise.

Malheureusement, ce roman a été pour moi une grosse incompréhension et j'ai eu l'impression d'avoir perdu mon temps.
Dommage.
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Une petite ville de la campagne anglaise, une multitude de personnages aussi excentriques les uns que les autres, quasiment tous à la recherche d'un mystérieux carnet : voici l'intrigue de « 669 Peony street », premier roman de Mélanie Launay.
Si l'ambiance victorienne est très réussie, le profusion de protagonistes, alliée au fait que certains d'entre eux jouissent en plus de plusieurs surnoms, nuit à la compréhension du roman. C'est bien simple, un mois après l'avoir terminé, je me retrouve incapable d'en faire le résumé. C'est dommage, car un peu plus de simplicité aurait servi un scénario pas si mal que ça et, je le redis, une super ambiance.
Bref, bof.
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Le résumé m'ayant beaucoup intrigué avant sa sortie, c'est ravie que j'ai pu me plonger dans cette histoire. La couverture est magnifique avec des dorures et du verni sélectif. C'est un très joli objet livre.
Je ressors de ma lecture satisfaite mais j'avoue qu'il me reste un léger sentiment de manque. L'histoire est assez mystérieuse et un peu fouillis aussi. Des événements du passé et du présent s'emmêlent mais de façon que l'on se demande où l'on en ait dans le récit. Pour les personnages, on fait la connaissance des commères de la ville dont les joutes sont divertissantes. Mais aussi d'un médecin, d'une jeune femme handicapée et de son chat tout doux. D'un homme obsédé par le portrait d'une femme et bien d'autres.
Concernant l'histoire, il faut la suivre et essayer de dénicher le moindre indice qui permet de comprendre certains éléments. Ce n'est pas facile car le contexte général reste très mystérieux et ce n'est que dans la dernière partie que tout se débloque et que l'on découvre la vérité, enfin une certaine forme de vérité.
Pour conclure, malgré un déroulé d'intrigue un peu étrange dans sa construction. J'ai bien aimé ma lecture. le récit se dévore et est intéressant. À chaque fin de chapitre, je voulais savoir la suite. Ce fut une lecture agréable bien qu'un peu courte à mon goût.
Lien : https://la-bibliotheque-du-l..
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Pour ceux qui aiment Camus, Maupassant, Poe. L'histoire est riche et l'auteure nous emmène, à travers des tranches de vie, à la poursuite de carnets. Des carnets qui ne sont que le filigrane d'une intrigue plus grande et nous questionnent. Rien n'est montré mas tout est dit. le nombre de personnages et la structure du récit peuvent dérouter, mais c'est ce qui fait la beauté de ce Roman.
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Avec sa sublime couverture, ce livre n'a que cela de positif malgré de jolies promesses et une trame prometteuse qui nous promettait une quête mystérieuse dans une ambiance victorienne. Car force est de constater que l'histoire est tellement décousue qu'elle en devient véritablement insaisissable et incompréhensible! Avec une plume pas suffisamment travaillée et maîtrisée, la construction est beaucoup trop alambiquée. On change ainsi de narrateur et d'époque au fil des chapitre sans qu'aucune indication ne soit fournie. Les personnages sont à foison et l'on est noyé dans les noms (et les surnoms), sans compter que l'on ne distingue pas de personnage principal et que certains vont et viennent épisodiquement sans que l'on comprenne leur rôle. Tout le récit manque donc cruellement d'éléments et d'explications, ce qui rend le tout terriblement confus et imbuvable. On se demande réellement si le livre a été lu et relu, comment il a pu gagner un prix et s'il n'y a pas eu un problème après impression et qu'il manquerait des pages et qu'il y ait eu des inversions tant il rend perplexe! Car quand il ne s'agit pas d'une question de goût, mais que aucun lecteur pu comprendre quoi que se soit (hormis le résumé de 4ème, salvateur!), il y a de quoi se poser des questions...
Lien : https://www.leslecturesducha..
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Je ne sais pas quoi penser de cette lecture. J'ai trouvé ce roman très bien écrit et pourtant il m'a laissée totalement confuse tout du long. J'ai d'abord dû relire les deux premiers chapitres parce que de nombreux personnages y sont mentionnés et je me sentais un peu perdue. Dans un même temps, il y avait un certain mystère qui se dégageait du récit et qui me poussait à poursuivre.

J'ai donc découvert Sleepy Hawthorn, ses boutiques, ses habitants. Une partie du récit se déroule effectivement dans cette petite ville anglaise, mais l'autre prend place dans un wagon du Blooming Greenfield, pas moins de dix années plus tard. On alterne alors entre les deux époques et on suit également plusieurs personnages. Officier, cocher, majordome, postier, antiquaire. C'est là où l'approche est plutôt déstabilisante. On ne sait pas quelles informations retenir pour la suite de la lecture.

On est entouré de personnages curieux, on s'intéresse au grand mystère autour du Docteur Breathman, à ces carnets échangés, et on se laisse porter par les secrets et demi vérités. Mais personnellement, je me suis sentie totalement extérieure à l'histoire et c'est assez frustrant. On tente de comprendre ce qui est arrivé, on attend impatiemment que tout s'éclaire sans savoir ce qui sert vraiment l'intrigue. C'est donc une fiction historique avec un fort potentiel, mais il y a à mon sens des petits manques ici et là.
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Je trouvais ce livre sublime, les couleurs, les détails et le résumé m'ont tout de suite interpellé et j'ai craqué. Que dire de cette lecture si ce n'est qu'elle m'a laissé confuse. Et je le suis encore. Je n'ai pas apprécié cette lecture mais elle ne m'a pas laissé indifférente, c'est un sentiment assez étrange, en demi-teinte. Une lecture qui m'a laissé confuse et perplexe tout au long.

J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire dès les premières pages du livre et j'ai dû reprendre la lecture des premiers chapitres deux fois car il y avait beaucoup de personnages, avec des surnoms, des narrations différentes, ce qui a rendu la lecture un peu difficile à suivre. La structure du livre ne m'a donc pas convaincu et il m'a fallu un temps d'adaptation pour trouver le fil conducteur entre tous ces personnages. Chaque chapitre porte sur un personnage différent avec une temporalité différente pas toujours mise en évidence, je me perdais un peu. Il faut chercher les indices pour voir où l'autrice veut nous amener et je n'ai pas trouvé ça hyper évident ce qui a rendu la lecture un peu chaotique. L'univers est complet et complexe mais cela ne l'a tout simplement pas fait avec moi.

Après j'ai quand même trouvé que la plume de l'autrice était belle, l'idée générale était bien mais c'est vraiment la mise en forme qui m'a perturbé. J'ai également beaucoup aimé la diversité des personnages, leurs caractères parfois caricaturaux. L'ambiance victorienne est là, j'ai été transporté aux côtés des personnages bien que je ne sache pas le pourquoi du comment.

Malheureusement, je n'ai pas eu d'atomes crochus avec ce livre et je reste sur ma fin avec un gros point d'interrogation. Néanmoins, vous pouvez le lire, car certes, il ne m'a pas plu mais peut-être que vous allez aimer !

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Pour ma part, j'ai beaucoup apprécié cette enquête par la richesse des détails, de l'intrigue et les différents niveaux de lecture. Alors je le concède cette lecture n'est pas donnée à tous, mais je ne comprends pas cette vague de "je ne comprends pas"... Alors que des critiques comparent ce roman à Maupassant, Poe et Camus... le niveau de lecture aurait tant chuté ou alors un souci de ciblage sur la commercialisation de ce roman....
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