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Citations sur Le Roi Corbeau, tome 1 : Robin (18)

Le chevalier avait néanmoins rapidement pris la mesure de l’abbé : moins un saint qu’un marchand en robes sacerdotales. Par les os de Job, il avait rencontré des voleurs à la tire plus vertueux !
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A présent, confectionner des flèches. […] Le saule est facile à travailler, mais il est difficile d’en trouver des longueurs utilisables […]. Pareil pour le hêtre ou le bouleau. Le frêne, l’aulne et le charme sont solides. Le chêne est le plus difficile à tailler mais c’est le plus dur de tous. Et le plus lourd, ce qui limite la portée de flèches – idéal pour chasser des animaux plus gros, cependant… et pour le combat bien sûr.
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" Les gens de l'Elfael l'appellent Rhi Bran le Hud ". Avec un geste dédaigneux de la main, il ajouta : " Je n'en peux plus d'en entendre parler.- Robin le Hud ? Vous dites s'enquit l'abbé.
- Pardon, votre grâce, non pas Robin, mais, répondit Falkes. Rhi Bran, ça signifie Roi Corbeau en gallois. Quant à " Hud ", ça veut dire sorcier, enchanteur, ou un truc de ce genre. C'est une histoire pour effrayer les enfants.
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Quand Bran, une flèche déjà encochée dans la corde, brandit son arc, il ressentit dans son épaule et dans son dos la tension dont Iwan lui avait parlé. "Ne vise pas avec ta flèche, lui avait-il appris. Contente-toi de l'imaginer dans ta cible. Envoie-la par la pensée, et si ta pensée est droite, alors le vol de ta flèche le sera aussi."
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Le respect est un précieux trésor qui ne coute rien. Si tu savais tenir ta langue, peut-être verrais-tu tout le bénéfice qu'on peut tirer de la courtoisie.
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- Nous pensions que vous aimeriez avoir quelques renseignements sur votre nouveau troupeau
- Votre présomption vous a détourné du droit chemin Monseigneur. C’est le troupeau qui doit apprendre à connaître et à suivre le berger, pas le contraire.
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Il lui apparut, comme jamais auparavant, qu'une forêt ne se résumait aucunement à un lieu où chasser et ramasser du bois.Qu'elle signifiait bien plus qu'une étendue d'arbres lourds de mousse, qu'une source d'eau douce jaillissant de la base de quelque montagne distante, qu'un étang d'huile miroitant, aussi éclatant qu'un joyau dans un vert vallon caché, qu'une prairie parsemée de fleurs entourée d'une multitude gracieuse de blancs bouleaux oscillants, qu'un blaireau creusant sous les racines d'un orme à l'écorce épaisse, qu'un renardeau échappant à un faucon en chasse, ou qu'un fier cerf veillant sur son clan...Plus que tout cela, la forêt était elle-même une chose vivante, sa vie constituée de toutes les vies plus petites qu'elle abritait à l'intérieur de ses frontières.
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Espèce d’infecte racaille normande, gronda le frère. Tuer d’abord et se repentir ensuite. C’est tout ce qu’ils savent faire. Pire que les Danois !
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Ces Normands étaient, pour ce qu’il en savait d’eux, ambitieux et assidus, capables de grands actes de piété et d’une brutalité plus grand encore. […] On disait des Ffreins qu’ils pouvaient allègrement brûler un village, massacrer tous les hommes, pendre tous les enfants et les femmes, puis se précipiter à l’église de peur de louper une messe.
Au moins les Ffreins étaient-ils chrétiens. […] L’Eglise avait par conséquent décidé qu’il fallait traiter les Normands comme des frères en Jésus-Christ – du moins comme des frères aînés autoritaires, violents et imprévisibles.
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Le fils de Brychan était un voyou, et sa mort a permis d’économiser les gages d’un bourreau. Si quelqu’un doit se lamenter de la mort de Bran ap Brychan, c’est bien le bourreau qu’elle a privé de sa paie.
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