Une intrigue complexe. Des ressorts d'intrigue poussifs. Des explications alambiquées et longues. Pas de technologie. Pas d'humour. Pas de suspense. Un scénario qui sent le déjà-vu avec Ingrid et un vieil ennemi du père de Yoko, Ito Kazuki.
Leloup nous reviste le Crime de l'Orient Express en mettant tout un "bel aréopage" à bord du Rheingold, un train qui va se balader en bord de Moselle. Yoko y prend la place de la secrétaire de Kazuki, par curiosité et goût du risque.
Certains écrivains, que j'apprécie comme
Robert Howard ou
Michael Moorcock ou
Thomas Owen ou
Jean Ray, ont passé pas mal d'années à écrire et réécrire des histoires assez semblables. Ce n'est pas un défaut. Même en BD. Par contre, ne pas arriver à fournir un meilleur résultat en reprenant une histoire déjà livrée, voilà qui n'est pas idéal. C'est un peu ce que
Roger Leloup vient de faire consécutivement avec le tome 18 et le tome 19.
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